120 millions de dollars ! Peut mieux faire.
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En dépit du potentiel touristique que recèle l’Algérie, les politiques adoptées depuis des années, abstraction faite de la décennie noire, se sont avérées inefficaces voire inutiles étant donné que l’Algérie n’a pu réaliser que 120 millions de dollars en 2006 alors que les recettes de la Tunisie et du Maroc ont dépassé le seuil de 6 milliards de dollars.
L’Algérie est classée dernière dans la région arabe et 93ème mondialement, selon le rapport le plus récent du Forum Economique Mondiale qui évalue les facteurs favorisant le développement de l’industrie touristique à l’échelle mondiale.
Le plus grand problème pour l’Algérie classée loin derrière la Mauritanie demeure l’absence de structures touristiques, et la qualité des touristes dont la majorité sont des ressortissants.
Bien que le gouvernement ait déclaré que le tourisme en Algérie peut supplanter les hydrocarbures, les politiques adoptées démontrent le contraire. Les investissements arabes qu’évoque le gouvernement dans le domaine du tourisme n’ont pas encore vu le jour, et la décision du président Bouteflika de fusionner le ministère de l’environnement et celui du tourisme reflète l’importance accordée à ce secteur vitale par l’Etat.
S. Bouayad
19-08-2007. El Khabar
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En dépit du potentiel touristique que recèle l’Algérie, les politiques adoptées depuis des années, abstraction faite de la décennie noire, se sont avérées inefficaces voire inutiles étant donné que l’Algérie n’a pu réaliser que 120 millions de dollars en 2006 alors que les recettes de la Tunisie et du Maroc ont dépassé le seuil de 6 milliards de dollars.
L’Algérie est classée dernière dans la région arabe et 93ème mondialement, selon le rapport le plus récent du Forum Economique Mondiale qui évalue les facteurs favorisant le développement de l’industrie touristique à l’échelle mondiale.
Le plus grand problème pour l’Algérie classée loin derrière la Mauritanie demeure l’absence de structures touristiques, et la qualité des touristes dont la majorité sont des ressortissants.
Bien que le gouvernement ait déclaré que le tourisme en Algérie peut supplanter les hydrocarbures, les politiques adoptées démontrent le contraire. Les investissements arabes qu’évoque le gouvernement dans le domaine du tourisme n’ont pas encore vu le jour, et la décision du président Bouteflika de fusionner le ministère de l’environnement et celui du tourisme reflète l’importance accordée à ce secteur vitale par l’Etat.
S. Bouayad
19-08-2007. El Khabar
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