Que pensez-vous de ce mouvement fondé en 2007 par
Aroua Abbas, Zitout Mohamed Larbi, Mesli Rachid, Dhina Mourad et Samraoui Mohamed
http://fr.rachad.org/index.php
Rachad est un mouvement politique algérien.
Rachad a été créé dans le but de contribuer à opérer un changement fondamental en Algérie, de rompre avec les pratiques politiques en cours depuis l’indépendance et de redonner espoir au Peuple algérien. Rachad entend œuvrer pour l’instauration d’un Etat de droit régi par les principes démocratiques et de bonne gouvernance.
Rachad est ouvert à tous les Algériens dans le respect de leurs différences, bannit toute forme d’extrémisme, d’exclusion ou de discrimination et prône la non-violence pour amener le changement.
Mouvement Rachad
Pour l’Etat de droit et la bonne gouvernance en Algérie
Tout au long de son histoire, le peuple algérien a résisté à toutes les formes de domination qu’il s’agisse d’occupation extérieure ou de despotisme intérieur. Il a notamment payé le prix fort pour se libérer du joug colonial français, avec l’espoir de fonder un Etat social et démocratique, souverain, dans le cadre des principes islamiques.
Malheureusement, la politique des assassinats d’opposants, pratiquée déjà pendant la Révolution, induite par la culture de règlement des différends par la violence, et l’éviction du gouvernement provisoire, l’été 1962, ont contraint le peuple algérien à vivre sous l’emprise des militaires qui ont instauré la culture putschiste et l’exercice de la violence de l’Etat.
L’avènement de ces pratiques condamnables a conduit à la crise pluridimensionnelle que continue de vivre l’Algérie et qui se traduit par : l’accaparement du pouvoir et sa monopolisation par une partie du haut commandement de l’Armée, de manière directe ou par le biais d’une façade civile contrôlée par leurs soins ; la gestion des affaires politiques du pays de manière essentiellement répressive ; le verrouillage des espaces politique, judiciaire, médiatique, social et associatif ; le mépris affiché envers le peuple algérien et la non-reconnaissance de sa maturité et de sa capacité à assumer ses responsabilités ; la corruption envahissante qui résulte de la mainmise des hauts responsables sur les secteurs économiques et financiers du pays ; la perte effective de la souveraineté nationale sur les plans politique et économique, en dépit des slogans trompeurs du pouvoir en place.
Le pouvoir qui a sévi en Algérie depuis l’indépendance, notamment depuis le coup d’Etat de janvier 1992, a mené l’Algérie à un désastre dont les manifestations les plus graves sont l’exacerbation du militarisme, la restriction des libertés, l’exclusion politique, l’instrumentalisation du droit, la régression économique et sociale, et la crise identitaire.
Il devient ainsi vital de proposer au peuple algérien une alternative pour un changement radical, responsable et à la hauteur de ses convictions, aspirations et ambitions légitimes. Ceci nécessite de la part des initiateurs de ce changement clairvoyance, sincérité, dévouement et fidélité aux valeurs essentielles de notre peuple. C’est dans ce contexte que s’inscrit la naissance du Mouvement Rachad.
Rachad se veut, de par ses objectifs, son mode de fonctionnement et ses buts, un instrument de mobilisation populaire pour opérer le changement qui permettra aux Algériens de vivre dans un pays libre, dans un Etat de droit régi par un système de bonne gouvernance. Il œuvrera pour que l’autorité politique qui gouvernera demain l’Algérie soit attachée à l’Etat de droit, légitime, civile, souveraine, équitable, sociale, prévoyante, participative, efficace, transparente et redevable.
Rachad n’est pas un parti politique car il considère que la structure actuelle du pouvoir algérien ne permet pas une activité politique réelle où s’affronteraient les idées permettant aux Algériens d’exercer leurs responsabilités sociales et citoyennes et de choisir en toute liberté ceux et celles qui auront délégation de mettre en œuvre le programme pour lequel ils auront été élus. Il se défend aussi d’être un parti dans le paysage politique algérien d’aujourd’hui pour afficher clairement son refus de quémander auprès du pouvoir actuel une reconnaissance qui, d’une part, n’a pas lieu d’être requise et qui, d’autre part, indiquerait que Rachad ne serait qu’un énième parti agréé par le pouvoir en place.
Rachad se veut une force politique de rassemblement qui vise un changement véritable du système politique. Car seul un tel changement pourrait libérer pleinement les Algériens et leur garantir un espace démocratique qui donnerait un sens à une compétition politique saine, et ce dans l’intérêt de tous les Algériens.
Rachad adopte les voies non violentes pour parvenir à ses buts. Il entend impliquer et être à l’écoute de toutes les composantes de la société algérienne. Il est ouvert à toute initiative qui vise à jeter des ponts entre les acteurs politiques, à bâtir des relations de confiance entre eux et à contribuer à leur rassemblement.
Rachad considère que l’Etat de droit et la bonne gouvernance en Algérie contribueront à concrétiser la construction maghrébine, à renforcer les liens avec les peuples du Bassin méditerranéen, d’Afrique, du Monde arabe et du Monde islamique, et à favoriser la paix et la stabilité dans le monde.
Aroua Abbas, Zitout Mohamed Larbi, Mesli Rachid, Dhina Mourad et Samraoui Mohamed
http://fr.rachad.org/index.php
Rachad est un mouvement politique algérien.
Rachad a été créé dans le but de contribuer à opérer un changement fondamental en Algérie, de rompre avec les pratiques politiques en cours depuis l’indépendance et de redonner espoir au Peuple algérien. Rachad entend œuvrer pour l’instauration d’un Etat de droit régi par les principes démocratiques et de bonne gouvernance.
Rachad est ouvert à tous les Algériens dans le respect de leurs différences, bannit toute forme d’extrémisme, d’exclusion ou de discrimination et prône la non-violence pour amener le changement.
Mouvement Rachad
Pour l’Etat de droit et la bonne gouvernance en Algérie
Tout au long de son histoire, le peuple algérien a résisté à toutes les formes de domination qu’il s’agisse d’occupation extérieure ou de despotisme intérieur. Il a notamment payé le prix fort pour se libérer du joug colonial français, avec l’espoir de fonder un Etat social et démocratique, souverain, dans le cadre des principes islamiques.
Malheureusement, la politique des assassinats d’opposants, pratiquée déjà pendant la Révolution, induite par la culture de règlement des différends par la violence, et l’éviction du gouvernement provisoire, l’été 1962, ont contraint le peuple algérien à vivre sous l’emprise des militaires qui ont instauré la culture putschiste et l’exercice de la violence de l’Etat.
L’avènement de ces pratiques condamnables a conduit à la crise pluridimensionnelle que continue de vivre l’Algérie et qui se traduit par : l’accaparement du pouvoir et sa monopolisation par une partie du haut commandement de l’Armée, de manière directe ou par le biais d’une façade civile contrôlée par leurs soins ; la gestion des affaires politiques du pays de manière essentiellement répressive ; le verrouillage des espaces politique, judiciaire, médiatique, social et associatif ; le mépris affiché envers le peuple algérien et la non-reconnaissance de sa maturité et de sa capacité à assumer ses responsabilités ; la corruption envahissante qui résulte de la mainmise des hauts responsables sur les secteurs économiques et financiers du pays ; la perte effective de la souveraineté nationale sur les plans politique et économique, en dépit des slogans trompeurs du pouvoir en place.
Le pouvoir qui a sévi en Algérie depuis l’indépendance, notamment depuis le coup d’Etat de janvier 1992, a mené l’Algérie à un désastre dont les manifestations les plus graves sont l’exacerbation du militarisme, la restriction des libertés, l’exclusion politique, l’instrumentalisation du droit, la régression économique et sociale, et la crise identitaire.
Il devient ainsi vital de proposer au peuple algérien une alternative pour un changement radical, responsable et à la hauteur de ses convictions, aspirations et ambitions légitimes. Ceci nécessite de la part des initiateurs de ce changement clairvoyance, sincérité, dévouement et fidélité aux valeurs essentielles de notre peuple. C’est dans ce contexte que s’inscrit la naissance du Mouvement Rachad.
Rachad se veut, de par ses objectifs, son mode de fonctionnement et ses buts, un instrument de mobilisation populaire pour opérer le changement qui permettra aux Algériens de vivre dans un pays libre, dans un Etat de droit régi par un système de bonne gouvernance. Il œuvrera pour que l’autorité politique qui gouvernera demain l’Algérie soit attachée à l’Etat de droit, légitime, civile, souveraine, équitable, sociale, prévoyante, participative, efficace, transparente et redevable.
Rachad n’est pas un parti politique car il considère que la structure actuelle du pouvoir algérien ne permet pas une activité politique réelle où s’affronteraient les idées permettant aux Algériens d’exercer leurs responsabilités sociales et citoyennes et de choisir en toute liberté ceux et celles qui auront délégation de mettre en œuvre le programme pour lequel ils auront été élus. Il se défend aussi d’être un parti dans le paysage politique algérien d’aujourd’hui pour afficher clairement son refus de quémander auprès du pouvoir actuel une reconnaissance qui, d’une part, n’a pas lieu d’être requise et qui, d’autre part, indiquerait que Rachad ne serait qu’un énième parti agréé par le pouvoir en place.
Rachad se veut une force politique de rassemblement qui vise un changement véritable du système politique. Car seul un tel changement pourrait libérer pleinement les Algériens et leur garantir un espace démocratique qui donnerait un sens à une compétition politique saine, et ce dans l’intérêt de tous les Algériens.
Rachad adopte les voies non violentes pour parvenir à ses buts. Il entend impliquer et être à l’écoute de toutes les composantes de la société algérienne. Il est ouvert à toute initiative qui vise à jeter des ponts entre les acteurs politiques, à bâtir des relations de confiance entre eux et à contribuer à leur rassemblement.
Rachad considère que l’Etat de droit et la bonne gouvernance en Algérie contribueront à concrétiser la construction maghrébine, à renforcer les liens avec les peuples du Bassin méditerranéen, d’Afrique, du Monde arabe et du Monde islamique, et à favoriser la paix et la stabilité dans le monde.
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