De tous les acteurs algériens, Sid Ahmed Agoumi est l’un des plus racés. Adoré en Algérie, admiré à l’étranger, il n’a de cesse de donner aux uns et aux autres le meilleur de lui-même.
Né en 1940 en Algérie, Sid Ahmed Méziane fréquente, très jeune, les bancs de l’école coranique, tout en s’imprégnant de culture française. Ces deux cultures, aux antipodes l’une de l’autre, se compléteront pourtant pour forger sa personnalité. Devenu Sid Ahmed Agoumi, il débute sa carrière artistique dans les années 1960. Touchant, sans distinction ni préférence mais avec la même énergie, au théâtre, à la télévision ou encore au cinéma, il épate le public avec son jeu, à la fois généreux et réaliste.
Portant ses rôles comme une seconde peau, il contribue, presque à lui seul, au succès des films dans lesquels il apparaît. Au fil des années et des distributions (il compte une cinquantaine de films à son actif), il est devenu l’icône du cinéma algérien.
Ce qui est tout à son honneur. Doué et intelligent, il est installé à la tête de la Maison de la culture et du théâtre à Tizi-Ouzou ainsi que du Théâtre national algérien. Deux institutions culturelles auxquelles il insuffle un air nouveau, un air de création et d’émulation.
Au début des années 1990, il décide de partir à l’étranger. C’est la France qui l’accueille lui et son talent. Là-bas, il poursuit une carrière de comédien au théâtre et au cinéma. Il prête notamment sa voie à Jean Sénac, Mouloud Feraoun, Rachid Mimouni, Benamar Mediene et Kateb Yacine (Nedjma). Il est, d’autre part, distribué dans Le Collier d’Hélène de la Québécoise Carole Fréchette ainsi que dans La Chute de Biljana Sbrajanovic où il campe le rôle de Milosevic.
Il reçoit, dans la foulée, le prix d’interprétation masculine pour Les Diseurs de vérité de Karim Traïdia, avant d’être contacté par Djamel Bensalah qui lui confie un rôle dans L’étranger, dans lequel il joue un immigré de condition très modeste puis dans Il était une fois dans l’oued, présenté à Alger il y a quelques mois.
- La nouvelle republique
Né en 1940 en Algérie, Sid Ahmed Méziane fréquente, très jeune, les bancs de l’école coranique, tout en s’imprégnant de culture française. Ces deux cultures, aux antipodes l’une de l’autre, se compléteront pourtant pour forger sa personnalité. Devenu Sid Ahmed Agoumi, il débute sa carrière artistique dans les années 1960. Touchant, sans distinction ni préférence mais avec la même énergie, au théâtre, à la télévision ou encore au cinéma, il épate le public avec son jeu, à la fois généreux et réaliste.
Portant ses rôles comme une seconde peau, il contribue, presque à lui seul, au succès des films dans lesquels il apparaît. Au fil des années et des distributions (il compte une cinquantaine de films à son actif), il est devenu l’icône du cinéma algérien.
Ce qui est tout à son honneur. Doué et intelligent, il est installé à la tête de la Maison de la culture et du théâtre à Tizi-Ouzou ainsi que du Théâtre national algérien. Deux institutions culturelles auxquelles il insuffle un air nouveau, un air de création et d’émulation.
Au début des années 1990, il décide de partir à l’étranger. C’est la France qui l’accueille lui et son talent. Là-bas, il poursuit une carrière de comédien au théâtre et au cinéma. Il prête notamment sa voie à Jean Sénac, Mouloud Feraoun, Rachid Mimouni, Benamar Mediene et Kateb Yacine (Nedjma). Il est, d’autre part, distribué dans Le Collier d’Hélène de la Québécoise Carole Fréchette ainsi que dans La Chute de Biljana Sbrajanovic où il campe le rôle de Milosevic.
Il reçoit, dans la foulée, le prix d’interprétation masculine pour Les Diseurs de vérité de Karim Traïdia, avant d’être contacté par Djamel Bensalah qui lui confie un rôle dans L’étranger, dans lequel il joue un immigré de condition très modeste puis dans Il était une fois dans l’oued, présenté à Alger il y a quelques mois.
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