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Plus d’une année après l’ouverture de la nouvelle aérogare internationale d’Alger, la société de gestion de services aéroportuaires poursuit son effort de modernisation des structures d’accueils des passagers.
Ainsi et selon la revue Aéroports éditée par l’EGSA l’ex- aérogare internationale d’Alger est en plein rénovation pour abriter une nouvelle infrastructure dédiée aux lignes domestiques, dénommée terminal 2.
Selon la revue de l’EGSA, les travaux sont bien avancés et concernent «le réaménagement des espaces, la création de nouvelles boutiques, au design moderne, de bureaux, d’un très grand hall d’embarquement, une nouvelle climatisation et tout ce qui concerne les voiries et les réseaux diverses».
L’objectif de cette réhabilitation vise l’optique d’une qualité de services rendus aux usagers, selon les normes internationales en vigueur. Il est question, entre autres, selon le président-directeur général de la Société de gestion et infrastructures aéroportuaires (SGSIA), M. Allache, rapporté par la revue Aéroports, d’asseoir «une gestion efficace de l’espace, de la facilitation, d’une sûreté efficiente et d’une qualité de service égale à celle de la nouvelle aérogare internationale», et ce, tout en précisant «que nous ne faisons aucune différence, au point de vue qualité de service entre le passager de l’international et le passager national». Les travaux de réhabilitation de l’ancien aérogare international d’Alger, construit au milieu des années cinquante, avancent à un rythme accéléré et l’entreprise gestionnaire promet d’agréables surprises aux passagers une fois cette infrastructure opérationnelle. Par ailleurs, l’espace côté ville n’a pas été oublié par les concepteurs du projet. Il sera, lui aussi, réaménagé en implantant des espaces verts, une station de taxis et de bus à proximité avec des «déposés minute» facilitant ainsi l’accès au passager et notamment aux personnes à mobilité réduite précise la revue aéroports.
Il est utile de préciser que le futur terminal 2 aura une capacité de trois millions de passagers par an. Il vient, ainsi, à point nommé pour compléter les services fournis par la nouvelle aérogare internationale d’Alger.
Vu qu’un nombre non négligeable des usagers étrangers de l’aéroport international empruntent les lignes intérieures pour se rendre dans les zones pétrolières du Grand Sud. Par ailleurs, le développement du tourisme passe inévitablement par le développement des infrastructures de transport, en premier lieu, le transport aérien.
Enfin, la direction des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA), l’actuelle aérogare nationale sera destinée aux vols vers les Lieux Saints de l’Islam.
- La Nouvelle Republique
Ainsi et selon la revue Aéroports éditée par l’EGSA l’ex- aérogare internationale d’Alger est en plein rénovation pour abriter une nouvelle infrastructure dédiée aux lignes domestiques, dénommée terminal 2.
Selon la revue de l’EGSA, les travaux sont bien avancés et concernent «le réaménagement des espaces, la création de nouvelles boutiques, au design moderne, de bureaux, d’un très grand hall d’embarquement, une nouvelle climatisation et tout ce qui concerne les voiries et les réseaux diverses».
L’objectif de cette réhabilitation vise l’optique d’une qualité de services rendus aux usagers, selon les normes internationales en vigueur. Il est question, entre autres, selon le président-directeur général de la Société de gestion et infrastructures aéroportuaires (SGSIA), M. Allache, rapporté par la revue Aéroports, d’asseoir «une gestion efficace de l’espace, de la facilitation, d’une sûreté efficiente et d’une qualité de service égale à celle de la nouvelle aérogare internationale», et ce, tout en précisant «que nous ne faisons aucune différence, au point de vue qualité de service entre le passager de l’international et le passager national». Les travaux de réhabilitation de l’ancien aérogare international d’Alger, construit au milieu des années cinquante, avancent à un rythme accéléré et l’entreprise gestionnaire promet d’agréables surprises aux passagers une fois cette infrastructure opérationnelle. Par ailleurs, l’espace côté ville n’a pas été oublié par les concepteurs du projet. Il sera, lui aussi, réaménagé en implantant des espaces verts, une station de taxis et de bus à proximité avec des «déposés minute» facilitant ainsi l’accès au passager et notamment aux personnes à mobilité réduite précise la revue aéroports.
Il est utile de préciser que le futur terminal 2 aura une capacité de trois millions de passagers par an. Il vient, ainsi, à point nommé pour compléter les services fournis par la nouvelle aérogare internationale d’Alger.
Vu qu’un nombre non négligeable des usagers étrangers de l’aéroport international empruntent les lignes intérieures pour se rendre dans les zones pétrolières du Grand Sud. Par ailleurs, le développement du tourisme passe inévitablement par le développement des infrastructures de transport, en premier lieu, le transport aérien.
Enfin, la direction des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA), l’actuelle aérogare nationale sera destinée aux vols vers les Lieux Saints de l’Islam.
- La Nouvelle Republique