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L’ENIE produira des panneaux solaires en 2009

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  • L’ENIE produira des panneaux solaires en 2009

    L’ENIE de Sidi Bel-Abbès produira des panneaux solaires en 2009
    Un protocole d’accord a été entériné ce mercredi au siège de l’ENIE par son P-DG et le représentant d’Isofoton Espagne. Ce protocole permettra la création d’un partenariat stratégique à court, moyen et long terme sur le plan d’abord de la commercialisation exclusive des produits d’Isofoton en Algérie et en Afrique du Nord d’une part et du bassin méditerranéen rive Sud.
    Les deux parties vont conjuguer leurs efforts lors des premières étapes pour aboutir à la reconversion de l’unité semi-conducteurs en une unité de fabrication de solutions solaires. Le partenariat débutera par une phase commerciale immédiatement et en 2008. Il se conclura par la distribution exclusive des produits Isofoton sur le plan régional par ENIE-Solar. A partir de 2008, date butoir du premier bilan, les deux parties passeront à une vitesse supérieure, «phase de coopération industrielle et technologique». Cette nouvelle étape permettra à l’unité ENIE-Solar d’encapsuler les panneaux solaires. Etape cruciale et déterminante dans ce partenariat. Au vu du coût de la main- d’œuvre locale, les prix des panneaux solaires seront réduits conséquement et deviendront accessibles. Pour rappel, Isofoton a un partenaire en Algérie parmi les pionniers et militants de la sauvegarde de la planète bleue, Al Solar. Ils ont créé une société de droit algérien basée à Djelfa. C’est le Dr Khelifa Mohamed qui est le promoteur, côté algérien. L’objectif de cette entreprise est de faire faire des économies aux collectivités locales par l’utilisation de l’énergie solaire dans l’éclairage public. L’expérience menée avec la direction générale des gardes communaux dans l’alimentation électrique des postes de vigiles est très concluante et bénéfique sur le plan financier. Une autre expérience, malheureusement stoppée net par le nouveau haut-commissaire au développement de la steppe, consistait à fournir et à installer des kits solaires pour les maisons rurales. Cette action a créé un engouement certain chez les ruraux qui ont lors d’une première étape ralenti l’exode rural, encore mieux, la campagne commençait à être réinvestie. Une certaine classe rurale comme celle de Saïda travaillera en hiver même après le coucher du soleil.
    Le soleil arrose l’Algérie durant les douze mois de l’année et une bonne partie de la journée, à tel point que les promoteurs des énergies renouvelables considèrent à juste titre, le plus grand gisement mondial solaire. La proximité de l’Algérie avec l’Europe fait d’elle le pays fournisseur en excellence pour les décennies prochaines.

    14-08-2007




  • #2
    C'est une trés bonne nouvelle de l'Algérie qui avance.

    J'espaire qu'elle risque de plaire à certain dans ce forum qui se reconnaitra

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    • #3
      C'est bien, keep the good job

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      • #4
        bonne nouvelle, car ça va renforcer la place de l'algerie comme grand acteur energetique en europe et en mediterrannee

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        • #5
          Ouf il était grand temps que la fabrication démarre localement!!! Quand on sait que le potentiel en matière de production et de rendement de l'Algérie est le plus grand du monde!!!!

          On ne sait plus ce que devient le village solaire qui devait être installé dans les environs de Chéraga!!! C'était du temps de ce farceur de Chadli!!!
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            mais alsolar racheté auparavant par isofoton ne fabriquait pas de panneaux solaires?

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            • #7
              bonne chance à nos frères et ca fait plaisir.
              Voilà un article qui compléte le post: source le bien public, un quotidien régional.

              mercredi 22 août 2007

              énergie solaire
              Les centrales algériennes veulent bronzer



              Consciente que ses ressources en pétrole et en gaz naturel ne sont pas inépuisables, l'Algérie ambitionne d'exploiter à une échelle industrielle le généreux soleil qui inonde son territoire, pour ses propres besoins en énergie mais aussi pour l'exportation vers l'Europe.
              La construction d'une première centrale hybride, utilisant le soleil et le gaz naturel pour produire 150 mégawatts, a commencé le mois dernier à Hassi R'mel, à 420 km au sud d'Alger. Elle utilisera 180 000 m2 de miroirs paraboliques géants, soit l'équivalent de 45 stades de football, pour générer 25 mégawatts.
              L'ouvrage devrait être prêt en 2010, et l'objectif sera ensuite d'exporter 6 000 mégawatts d'énergie solaire en Europe d'ici 2020. Soit un dixième de la consommation actuelle d'électricité de l'Allemagne. « Notre potentiel en énergie solaire thermique représente quatre fois la consommation énergétique mondiale », affirme Tewfik Hasni, dirigeant de New Energy Algeria (NEAL), compagnie publique, pour les énergies renouvelables.
              Un projet coûteux
              Restent des obstacles financiers et technologiques majeurs. Les partisans de l'énergie solaire estiment qu'il faudra dix ans pour qu'elle devienne compétitive économiquement.
              La firme espagnole Abener, qui a remporté un appel d'offres pour construire avec NEAL ce site évalué à 310 millions d'euros, en détiendra 66 %. Les centrales hybrides utiliseront la technologie dite de la concentration de l'énergie solaire (CSP) dans laquelle les rayons du soleil chauffent des fluides pour faire fonctionner une turbine produisant de l'électricité.
              Le système est considéré comme moins cher et avec une plus grande capacité de stockage pour la production à grande échelle que la technologie photovoltaïque, qui convertit directement la lumière du soleil en électricité. L'Algérie espère construire trois autres centrales hybrides générant 400 mégawatts chacune d'ici 2015.
              Les experts croient dans le solaire sur le long terme. Selon Franz Trieb, de l'Agence spatiale allemande à Stuttgart, d'ici 2020 le coût de la collecte de l'énergie solaire pourrait être équivalent à payer le baril de pétrole seulement 15 dollars.
              « En 2020, nous aurons une capacité considérable de CSP installés dans le monde et cela conduira à des réductions de coûts », dit-il.
              Selon l'Agence internationale de l'énergie, les énergies renouvelables, à l'exception de l'hydroélectricité, représentent seulement 2% de l'électricité mondiale.
              Mais si les énergies fossiles devraient rester dominantes au moins jusqu'en 2030, les investissements dans les renouvelables sont passées de 80 milliards de dollars (58 mds d'euros) en 2005 à 100 milliards (73 mds d'euros) en 2006 dans le monde.

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