Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le Maroc fonde ses espoirs sur les TIC pour stimuler les exportations

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le Maroc fonde ses espoirs sur les TIC pour stimuler les exportations

    Le Maroc fonde ses espoirs sur les TIC pour stimuler les exportations
    21/08/2007

    Magharebia.com

    L'Afrique de l'Ouest et l'Europe de l'Ouest sont des destinations de choix pour les exportations marocaines dans le secteur des TIC, dont les ventes dans ces régions totalisent 246 millions de dirhams, selon une étude récente de l'Association des Professionnels de technologies de l'Information (APEBI) au Maroc, financée par la Société Financière Internationale (SFI), un organisme du Groupe de la Banque Mondiale.

    Le Maroc renforce sa position dans l'économie du savoir, avec des entreprises marocaines qui exportent des solutions technologiques dans plusieurs pays du monde, dans des domaines aussi spécialisés que la banque électronique, l'intégration de réseaux de télécommunications, l'édition, l'intégration budgétaire et la gestion des dépenses, et l'externalisation via l'ITO (Internet Technologies Outsourcing).

    Selon une étude financée par la Société Financière Internationale (SFI) du Groupe de la Banque Mondiale, les vingt-huit membres marocains de l'APEBI ont exporté des produits pour une valeur de plus de 246 millions de dirhams en 2006, dont 59 pour cent provenaient d'entreprises fournissant des services de technologie de l'information et des services de banque électronique. Les deux principales régions géographiques bénéficiant de l'expertise marocaine sont l'Afrique de l'Ouest et l'Europe de l'Ouest.
    L'importance de la région européenne, et de la France et de la Belgique en particulier, trouve son origine dans des facteurs historiques et des liens linguistiques, et également dans la décision de nombreuses entreprises européennes de délocaliser certaines de leurs opérations au Maroc, par le biais des investissements directs ou de la sous-traitance.

    L'attrait du Maroc comme région d'externalisation augmente par suite de l'accroissement de la demande des entreprises européennes, dont les besoins de délocalisation sont estimés à vingt pour cent de tous les services externalisés, avec un budget total qui devrait avoisiner les trente milliards d'euros dans les dix prochaines années.

    L'attractivité du pays pour le marché européen est également renforcée par la mise en oeuvre du Contrat de Progrès 2006-2012 et du projet EMERGENCE, destiné à évaluer la division du travail dans les services électroniques et à développer l'externalisation.

    Cette étude de la SFI révèle par ailleurs que les exportations vers les marchés africains, dont le Maghreb et l'Afrique de l'Ouest, représentent 40 pour cent des ventes à l'international du secteur marocain des technologies de l'information et des communications.

    Le Moyen-Orient est une autre région porteuse de promesses. Les exportations vers cette région sont encore insignifiantes à l'heure actuelle, raison pour laquelle les salariés du secteur et les autorités ont décidé de renforcer la présence du Maroc lors du salon commercial GITEX de Dubaï, reconnu au plan international comme un stimulus important du commerce dans la région.

    Outre l'examen des exportations, l'étude de la SFI cherchait également à identifier les besoins d'assistance en termes de services à valeur ajoutée pour les entreprises exportatrices dans les pays membres de l'APEBI. Grâce au soutien technique et financier de la SFI, un centre de services à valeur ajoutée disposant d'un département exportations est également en cours d'élaboration. Les priorités de ce centre seront l'étude des opportunités stratégiques sur les marchés cibles pour les exportateurs affiliés à l'APEBI et la création d'un service de conseil personnalisé à l'export, pour mieux identifier les maîtres d'oeuvres et assister le processus de références commerciales.

    La SFI est un organisme du Groupe de la Banque Mondiale, dont la mission consiste à promouvoir les investissements durables dans les pays en développement par le biais du secteur privé, aux fins d'aider à lutter contre la pauvreté et à améliorer les conditions de vie.

  • #2
    pour le merché francophone et hispanophone, le gisement de développement est encore très important contrairement au marché anglophone du feite du faible taux d'externalisation des entreprises de ce marché comparativement au second

    et ils sont condamné à externaliser pour rester dans la competition internationale
    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

    Commentaire


    • #3
      e Maroc renforce sa position dans l'économie du savoir, avec des entreprises marocaines qui exportent des solutions technologiques dans plusieurs pays du monde, dans des domaines aussi spécialisés que la banque électronique, l'intégration de réseaux de télécommunications, l'édition, l'intégration budgétaire et la gestion des dépenses, et l'externalisation via l'ITO (Internet Technologies Outsourcing).
      Aprés la bulle internet avec la catastrophe que l'on sait voilà maintenant bulle.ayoub7.ma, investissez c'est du rendement garanti....

      Commentaire


      • #4
        c une bonne chose.c un des crenaut de l'avenir.
        faut suivre ca avec un bon systeme educatif c tt.
        le maroc va dans le bon chemin......on est plus des consomateur 100% mais des producteure de savoir aussi.c le premier pas

        Commentaire


        • #5
          Si le Maroc garde sa place de leader dans l'offshoring comme l'INde a garde sa place de leader vis a vis des US. On pourrait avoir 20 a 30% du flux de delocalisation de 30 milliards d'euros, sans parler des centaines de miliers d'emploi engendres. C'est effectivement l'avenir.

          Pour Augustin, tu es HS mon ami, tu craches ta haine comme tjs et tjs aussi mal.

          Commentaire


          • #6
            Ayoub qui veut dire celui qui revient toujours, le prophète vers dieu et toi vers le délire,

            30% de 30 milliards ça fait 9 milliards d'euros. Soit 12 milliards de dollars. Je ne pense pas que les centres d'appels coûtent tout autant. Ou alors tous les marocains vont se mettre à répondre au téléphone lol

            quant à te comparer à l'inde, cela prouve que tu ne connais pas ce pays mais le rêve reste toute de même permis.

            Commentaire


            • #7
              augustin l'offshoring c pas juste les centre d'appelle.
              tu sait je t'invite a venir a casa et rabat et tanger.........et tu verra les enseignes des plus grand developeur de logiciel.
              pour les centre d'appelle.........juste un exemple augustin....quand une livebox en france se desynchronise........c un marocain qui fait le reset du port DSLAM pour la synchroniser.
              et pour la changer...........a 80% si un marocain ne t'envoie pas un livreure.....bah tu peut toujour courire.
              quand on critique une chose faut avant se documenter.
              bonne nuit

              Commentaire


              • #8
                Augustin, Mon ami, le BPO et l'ITO n'a rien avoir avec les centres d'appels, si tu connais un peu l'histoirique de l'offshoring entre l'inde et les US, tu saurais comment il s'est transforme de centres d'appels aux activites de backend (BPO), aux activites de developpement (ITO), et aujourd'hui aux centres de recherches ou tu as des Microsoft et des Google et des IBM et des DELL qui delocalisent des campus et des centres de recherches en Inde...

                Le Maroc a deja boucle la premiere phase des centres d'appels, cette derniere est rodee, il est incontestablement le leader du marche francophone loin devant le 2eme et le 3eme, depuis bientot 3-4 ans ce sont les SSII et les activites de BPO qui s'implantent.

                C'est une strategie etudiee sur le court et moyen terme qui se fait par sequences avec un avantage de taille : marche francophone et hispanophone, attends toi a voir laayoune-shore pour le marche espagnol dans pas longtemps

                Article court qui traite de ce point:

                Maroc : les centres d'appel, premier étage de la fusée marocaine

                http://www.01net.com/article/320392.html

                Les details en entier du plan marocain des 2004:

                http://www.septi.gov.ma/septi/Fiche_pdf/Telecom/Centres_d'Appels_Maroc_2004.pdf
                Dernière modification par ayoub7, 23 août 2007, 01h58.

                Commentaire


                • #9
                  hurican

                  C'est pas les mots savants qui vont faire changer une réalité.

                  "reseter" un port, ce n'est pas sorcier. c'est une simple commande qui porte bien son nom ou certainement un click sur un bouton pour l'opérateur marocain de l'autre côté. Pour réduire encore plus le cout le couts, je ferais faire ça par un automate lol

                  Il faut que tu saches que les opérateurs marocains (qui entre nous sont surdiplomés pour le job) ont en leur possesion des procédures qu'ils suivent à la lettre, font faire des tests au client comme décrit dans la procédure et si la réponse du client n'est pas prévue tu tournes en rond pendant des heures au telephone... boulot intgrat ou les pauvres opérateurs se font engueler ar les clients et où le turn over est halllucinant et pour cause...

                  c'est ça la haute technologie?

                  Commentaire


                  • #10
                    Ayoyoub

                    t'as déjà ^posté l'étude marketing en question faite par je ne sais quel cabinet. je t'en fais une plus séduisante pour moins cher, tu te verrais sans la sillicon valley

                    Commentaire


                    • #11
                      augustin pour le service technique des FAI c juste un exemple.et la plupart qui y travail ont un bac +2 et c juste leur premier job.....c mieu de rester hitiste a vie.et il gagne 500 euro par mois......ce qui 2,5 foi le smig.
                      c ca qui compte pour moi.
                      a part ca je te parlerais du vrais offshoring avec les grand editeur de logiciel et les grand maison de gestion de compte boursier.
                      ayoub est plus competant que moi.........

                      Commentaire


                      • #12
                        Oui c'est magnifique Ayoub, avec ses produits de l'externalisation, le Maroc va conquérir le monde et va devenir trés prospère grace ça et pourra meme détroner l'Inde d'ici peu

                        Mais en parlant d'exports et de marchés exérieurs, ça serait bien utile de nous rappeller les statistiques du commerce extérieur marocain pour 2006 ?

                        Commentaire


                        • #13
                          On va pas détroner l'inde lol on ne joue pas sur leur terrain, eux ils font dans l'offshoring eng nous fr et spa.

                          Commentaire


                          • #14
                            bonjour mendz
                            Dans le domaine de l'offshoring détroner l'inde peut etre pas(c'est pas le meme ordre de grandeur) mais devenir leader du sud de la mediterrannée et de l'afrique ca c'est sur on est sur la bonne voie.pour ce qui est des exportations elles representent a peu pres 12 à 15 fois les exportations algeriennes hors hydrocarbures.
                            cordialement.

                            Commentaire


                            • #15
                              Ok, vous ambitions sont bien modestes alors .

                              Mais je me demande bien, combien le Maroc va gagner de milliards de $ avec ce genre de secteur ?

                              Et puis comment compte-il faire pour preçuader les entreprises étrangères demandeuses d'externalisation de rester longtemps au royaume ? Alors que d'autres pensent meme à se désengager de l'Inde au profit de la Chine toujours à chercher le moindre cout en main d'oeuvre et plus de façilités.

                              Donc es-ce intéressant de baser l'économie d'un pays sur ce type de secteur trés volatile et trés fortement concurrenciel ?

                              pour ce qui est des exportations elles representent a peu pres 12 à 15 fois les exportations algeriennes hors hydrocarbures.
                              Non, ici on ne parle pas de l'Algérie voyons, pourquoi vous ramnez toujours ce pays à toutes les sauces ?

                              Et puis meme s'il y a une comparaison à faire, ça n'a auccun sens d'exclure les hydrocarbures de la valeur des exportations algériennes puisque ces hydrocarbures sont une marchandise 100 % algérienne.

                              Donc parlons plutot du Maroc et quels sont ses statistiques du commerce extérieur pour 2006 ?

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X