Dépêche de Kabylie. Samedi 25 août 07
La révision de la Constitution et la création du poste de vice-président de la République ont été les points importants des discussions.Mouloud Hamrouche, un nom beaucoup associé, ces dernières semaines, à la vie partisane du FFS, avait conclu un deal politique avec Hocine Aït Ahmed, non pour lui succéder à la tête du parti, mais pour se garantir le soutien du chef historique sur la révision de la Constitution. Celle-ci, qui est annoncée tambour battant depuis la maladie de Abdelaziz Bouteflika, devra inclure dans ses amendements, la création du poste de vice-président de la République. Et tout porte à croire que l’ancien chef du gouvernement, jouissant de l’appui des “Tagarins”, est fortement pressenti à ce poste.
Le changement de ligne de conduite du FFS par son président en soutenant l’idée de la révision de la Constitution annoncée depuis le 27 septembre 2005 dans " l’appel pour les libertés publiques et syndicales en Algérie ", qualifiée jusque-là par Aït Ahmed de " révision déchirante " abandonnant par là même la revendication d’une assemblée constituante, aura encouragé Hamrouche à s’approcher encore davantage du FFS. Les premiers rapprochements formels sur le sujet de la révision de la Constitution entre les deux hommes se sont déroulés à la mairie de Paris, le 20 avril dernier, à l’occasion de la journée commémorative sur l’assassinat de André Ali Mecili –" Trois heures pour Mecili "-. Une manifestation, faut-il le préciser, à laquelle avait pris part l’actuel chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner.
A en croire nos sources, Hocine Aït Ahmed, président de cérémonie, a été approché par Ghazi Hidouci et Goumeziane anciens ministres de l’économie et du commerce dans le cabinet Hamrouche ainsi que par Ali Boudoukha, un journaliste free lance, considérés comme fidèles parmi les fidèles de Hamrouche. Il est vrai que le contenu des discussions qui se sont déroulées en aparté pendant près de deux heures, restent secret à ce jour même par les plus proches d’Aït Ahmed, nos sources parlent d’un sérieux échange de points de vue entre les deux parties sur les sujets de la politique générale du pays, notamment sur l’idée de la révision de la Constitution et des amendements beaucoup apportés à la loi électorale et sur les partis. Une forme de sondage d’opinion qu’ont eu donc à réaliser les émissaires de Hamrouche auprès du chef du plus vieux parti de l’opposition sur des questions intéressant l’éventuel futur vice-président de la République, qui a besoin notamment de l’appui d’un chef historique mais aussi de son parti " seul à même de mener la Kabylie vers l’acceptation de la nouvelle Constitution. "
La révision de la Constitution et la création du poste de vice-président de la République ont été les points importants des discussions.Mouloud Hamrouche, un nom beaucoup associé, ces dernières semaines, à la vie partisane du FFS, avait conclu un deal politique avec Hocine Aït Ahmed, non pour lui succéder à la tête du parti, mais pour se garantir le soutien du chef historique sur la révision de la Constitution. Celle-ci, qui est annoncée tambour battant depuis la maladie de Abdelaziz Bouteflika, devra inclure dans ses amendements, la création du poste de vice-président de la République. Et tout porte à croire que l’ancien chef du gouvernement, jouissant de l’appui des “Tagarins”, est fortement pressenti à ce poste.
Le changement de ligne de conduite du FFS par son président en soutenant l’idée de la révision de la Constitution annoncée depuis le 27 septembre 2005 dans " l’appel pour les libertés publiques et syndicales en Algérie ", qualifiée jusque-là par Aït Ahmed de " révision déchirante " abandonnant par là même la revendication d’une assemblée constituante, aura encouragé Hamrouche à s’approcher encore davantage du FFS. Les premiers rapprochements formels sur le sujet de la révision de la Constitution entre les deux hommes se sont déroulés à la mairie de Paris, le 20 avril dernier, à l’occasion de la journée commémorative sur l’assassinat de André Ali Mecili –" Trois heures pour Mecili "-. Une manifestation, faut-il le préciser, à laquelle avait pris part l’actuel chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner.
A en croire nos sources, Hocine Aït Ahmed, président de cérémonie, a été approché par Ghazi Hidouci et Goumeziane anciens ministres de l’économie et du commerce dans le cabinet Hamrouche ainsi que par Ali Boudoukha, un journaliste free lance, considérés comme fidèles parmi les fidèles de Hamrouche. Il est vrai que le contenu des discussions qui se sont déroulées en aparté pendant près de deux heures, restent secret à ce jour même par les plus proches d’Aït Ahmed, nos sources parlent d’un sérieux échange de points de vue entre les deux parties sur les sujets de la politique générale du pays, notamment sur l’idée de la révision de la Constitution et des amendements beaucoup apportés à la loi électorale et sur les partis. Une forme de sondage d’opinion qu’ont eu donc à réaliser les émissaires de Hamrouche auprès du chef du plus vieux parti de l’opposition sur des questions intéressant l’éventuel futur vice-président de la République, qui a besoin notamment de l’appui d’un chef historique mais aussi de son parti " seul à même de mener la Kabylie vers l’acceptation de la nouvelle Constitution. "
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