L'Algérie va payer 2 centrales électrique le prix de deux centrales nucléaires!!! Vive les deux Rais Algérien et Egyptien!!!
Pour s’octroyer un contrat pharaonique – avec la complicité gourmande de la compagnie égyptienne Orascom – Alstom s’est débarrassé de la concurrence des soumissionnaires potentiels et met Sonelgaz, et l’Etat algérien, devant l’obligation de lui offrir… 4 milliards de dollars.
Soit, selon l’aveu du DG de Siemens Algérie, le double de la valeur réelle du marché portant sur la réalisation de deux centrales électriques. Nous savions que les réserves de change considérables accumulées ces dernières années par l’Algérie allaient, inévitablement, attirer en nos contrées des chasseurs de contrats d’une grande cupidité, mais nous ignorions tout sur les us en vigueur dans le monde des «vendeurs» de technologie.
Dans cette affaire, cela semble mystérieux qu’un marché d’une telle importance n’emporte pas l’adhésion des constructeurs de centrales électriques et qu’au bout du bout, il ne reste qu’une paire de soumissionnaires déjà fortement installés dans le pays. Curieusement, seule l’offre du trust franco-égyptien a traversé le touffu maquis bureaucratique.
Dans un fonctionnement démocratique normal, une commission parlementaire se serait déjà constituée pour enquêter sur cet incroyable avatar commercial. Il s’agit, tout de même, d’une dépense de plusieurs milliards de dollars ! Cela ne suffirait-il pas à aiguiser la curiosité de nos députés, à moins qu’ils ne considèrent «au dessus de leurs compétences» la gestion de ce dossier «délicat».
Gageons que les zones d’ombre entourant cette transaction seront éclaircies pour ne pas jeter, un peu plus, le trouble et la confusion dans l’esprit des Algériens déjà échaudés, par la question de l’utilisation ou des destinations futures de la manne pétrolière. Quant aux sociétés étrangères, l’Etat doit se pencher sérieusement sur leur mode opératoire dans les contrats passés avec leurs homologues algériennes pour que celles-ci n’apparaissent plus comme les dindons d’une farce de mauvais goût derechef.
L’Algérie ne peut plus se permettre de se laisser déplumer ainsi sans réagir. A moins que les voies du sérail restent encore, dans cette parodie de marché, résolument impénétrables… Mais, l’Algérien, qui endure dans sa chair les conséquences de la libéralisation effrénée, souffre de voir son cher pays transformé en «vache à traire» par des multinationales voraces et sans scrupules.
Par said kaced
Pour s’octroyer un contrat pharaonique – avec la complicité gourmande de la compagnie égyptienne Orascom – Alstom s’est débarrassé de la concurrence des soumissionnaires potentiels et met Sonelgaz, et l’Etat algérien, devant l’obligation de lui offrir… 4 milliards de dollars.
Soit, selon l’aveu du DG de Siemens Algérie, le double de la valeur réelle du marché portant sur la réalisation de deux centrales électriques. Nous savions que les réserves de change considérables accumulées ces dernières années par l’Algérie allaient, inévitablement, attirer en nos contrées des chasseurs de contrats d’une grande cupidité, mais nous ignorions tout sur les us en vigueur dans le monde des «vendeurs» de technologie.
Dans cette affaire, cela semble mystérieux qu’un marché d’une telle importance n’emporte pas l’adhésion des constructeurs de centrales électriques et qu’au bout du bout, il ne reste qu’une paire de soumissionnaires déjà fortement installés dans le pays. Curieusement, seule l’offre du trust franco-égyptien a traversé le touffu maquis bureaucratique.
Dans un fonctionnement démocratique normal, une commission parlementaire se serait déjà constituée pour enquêter sur cet incroyable avatar commercial. Il s’agit, tout de même, d’une dépense de plusieurs milliards de dollars ! Cela ne suffirait-il pas à aiguiser la curiosité de nos députés, à moins qu’ils ne considèrent «au dessus de leurs compétences» la gestion de ce dossier «délicat».
Gageons que les zones d’ombre entourant cette transaction seront éclaircies pour ne pas jeter, un peu plus, le trouble et la confusion dans l’esprit des Algériens déjà échaudés, par la question de l’utilisation ou des destinations futures de la manne pétrolière. Quant aux sociétés étrangères, l’Etat doit se pencher sérieusement sur leur mode opératoire dans les contrats passés avec leurs homologues algériennes pour que celles-ci n’apparaissent plus comme les dindons d’une farce de mauvais goût derechef.
L’Algérie ne peut plus se permettre de se laisser déplumer ainsi sans réagir. A moins que les voies du sérail restent encore, dans cette parodie de marché, résolument impénétrables… Mais, l’Algérien, qui endure dans sa chair les conséquences de la libéralisation effrénée, souffre de voir son cher pays transformé en «vache à traire» par des multinationales voraces et sans scrupules.
Par said kaced
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