Elle a été pourtant bien accueillie cette stèle en hommage à Matoub Lounès, qui ne ressemble pas aux autres réalisations dédiées à l’auteur de Daghurru. Cette œuvre d’art représentant un grand livre ouvert d’environ trois mètres de largeur, où est peint le portrait du Rebelle, ainsi que celui de Slimane Azem se referme pour protéger les pages et les peintures. Le tout est clôturé par une petite porte, et une charpente.
Cependant, cette réalisation artistique située au centre d’Aït Haggoune, offre aujourd’hui une image lamentable en étant devenue un lieu de repos et de détente 24h sur 24, d’où la destruction de la portière de la clôture et des vitres du livre, due à aux ouvertures et fermetures répétées et continuelles. Beaucoup d’étrangers désirant marquer une halte et admirer cette réalisation, rebroussent chemin constatant l’état répugnant des lieux.
Un citoyen, en l’occurrence K. A. n’a pas cessé de nous interpeller pour rendre publique sa préoccupation et celle de beaucoup d’autres citoyens et attirer ainsi l’attention des autorités locales et des bienfaiteurs pour réhabiliter ce site et lui redonner un minimum de considération.
Un autre citoyen, un sexagénaire s’est porté volontaire pour payer les nouvelles vitres s’il le faut, à condition qu’il cesse d’être un lieu ouvert à tous les vents et utiliser le pied de ce livre comme banc pour s’y relaxer. C’est sans doute l’art en général qui s’est vu piétiner à travers le piétinement et le non-respect de cette stèle.
Par la Dépêche de Kabylie
Cependant, cette réalisation artistique située au centre d’Aït Haggoune, offre aujourd’hui une image lamentable en étant devenue un lieu de repos et de détente 24h sur 24, d’où la destruction de la portière de la clôture et des vitres du livre, due à aux ouvertures et fermetures répétées et continuelles. Beaucoup d’étrangers désirant marquer une halte et admirer cette réalisation, rebroussent chemin constatant l’état répugnant des lieux.
Un citoyen, en l’occurrence K. A. n’a pas cessé de nous interpeller pour rendre publique sa préoccupation et celle de beaucoup d’autres citoyens et attirer ainsi l’attention des autorités locales et des bienfaiteurs pour réhabiliter ce site et lui redonner un minimum de considération.
Un autre citoyen, un sexagénaire s’est porté volontaire pour payer les nouvelles vitres s’il le faut, à condition qu’il cesse d’être un lieu ouvert à tous les vents et utiliser le pied de ce livre comme banc pour s’y relaxer. C’est sans doute l’art en général qui s’est vu piétiner à travers le piétinement et le non-respect de cette stèle.
Par la Dépêche de Kabylie
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