Il m'arrive souvent qu'une musique crée en moi, allez savoir comment et pourquoi, des mots qui jaillissent de mon esprit pour venir se cristalliser dans l'écrit et donc voilà cette musique là a fait naître ce poème, je remercie Hope WIMP.
La musique:
http://media.putfile.com/Lied-an-den-Morgen
Mon poème:
La musique:
http://media.putfile.com/Lied-an-den-Morgen
Mon poème:
La fuite dans le désert…
Le cheval cavale fougueusement dans le désert
Il dévale rapidement le sable et les poussières
Soulevant passionnément des nuages de mystères
Le cavalier affectueusement le prie d’aller au loin
Couvert généreusement dans un large burnous brun
Fabriqué tendrement par une mère au petit soin
Le cavalier anxieusement le retient de ses mains
La fuite les conduira sans doute à la tant souhaitée liberté
Poursuivis par l’effrayante soldatesque soumise du Palais
L’animal et la cavalier ne font qu’un sous le signe de l’amitié
La nuit tombe sous le croissant luisant de la lune
Il est temps de vite se trouver un abri de fortune
Découvrir une bienveillante et accueillante dune
Là, à l’abri des regards le cavalier se déshabille
Et la resplendissante chevelure tombe et brille
Sous la lumière du feu vacillant et des étoiles qui scintillent
De mille et un éclat, suspendues au ciel bleu nuit roi
Le vent vient apaiser langoureusement les émois
Cachés hospitalièrement par la nuit, le désert et les dunes
La femme et le cheval se reposent autour du feu protecteur
Inutile de parler l’une et l’autre se comprenne en âme sœur
Les temps sont durs mais il fut un autre où tout n’était que douceur
En souvenir, l’espérance et l’espoir d’un temps bien meilleur
Donne la force d’aller de l’avant pour oublier le malheur
Le passé fait place désormais au lendemain prometteur.
Le jour se lève et le couple repart dans la brume du matin
Plus vite qu’hier, pressés de se prendre enfin en mains…
Le cheval cavale fougueusement dans le désert
Il dévale rapidement le sable et les poussières
Soulevant passionnément des nuages de mystères
Le cavalier affectueusement le prie d’aller au loin
Couvert généreusement dans un large burnous brun
Fabriqué tendrement par une mère au petit soin
Le cavalier anxieusement le retient de ses mains
La fuite les conduira sans doute à la tant souhaitée liberté
Poursuivis par l’effrayante soldatesque soumise du Palais
L’animal et la cavalier ne font qu’un sous le signe de l’amitié
La nuit tombe sous le croissant luisant de la lune
Il est temps de vite se trouver un abri de fortune
Découvrir une bienveillante et accueillante dune
Là, à l’abri des regards le cavalier se déshabille
Et la resplendissante chevelure tombe et brille
Sous la lumière du feu vacillant et des étoiles qui scintillent
De mille et un éclat, suspendues au ciel bleu nuit roi
Le vent vient apaiser langoureusement les émois
Cachés hospitalièrement par la nuit, le désert et les dunes
La femme et le cheval se reposent autour du feu protecteur
Inutile de parler l’une et l’autre se comprenne en âme sœur
Les temps sont durs mais il fut un autre où tout n’était que douceur
En souvenir, l’espérance et l’espoir d’un temps bien meilleur
Donne la force d’aller de l’avant pour oublier le malheur
Le passé fait place désormais au lendemain prometteur.
Le jour se lève et le couple repart dans la brume du matin
Plus vite qu’hier, pressés de se prendre enfin en mains…
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