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Tunisie: Ces grands projets qui vont changer la physionomie de la capitale

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  • Tunisie: Ces grands projets qui vont changer la physionomie de la capitale

    Tunis, la ville du futur ?
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    Echangeurs et axes routiers, projet Sama Dubaï (une ville dans la ville), Cité de la Culture, pont Radès-La Goulette, projet de la Petite Sicile Voilà qui, dans les années à venir, fera de Tunis, trait d'union entre le Maghreb et le Machrek et tête de pont entre l'Afrique et l'Europe, une grande métropole régionale.

    Le pont Radès-La Goulette

    Tunis, principale ville du pays, est aussi la capitale sans interruption depuis le règne de la dynastie des Hafsides en 1229 jusqu'à nos jours. La cité actuelle s'étend sur la plaine côtière et les collines avoisinantes, avec un nombre d'habitants estimé à plus de deux millions et une superficie qui a beaucoup augmenté au cours de la seconde moitié du XXesiècle. La ville actuelle est en train de s'étendre dans plusieurs directions.

    Huit nouveaux échangeurs seront construits dans la capitale

    Le noyau central de Tunis n'accueille qu'une infime partie de la population de l'agglomération, tandis que la banlieue s'étend sur les gouvernorats de Ben Arous, l'Ariana et La Manouba pour accueillir la majorité des résidents de la capitale. C'est ce qu'on appelle le Grand-Tunis. Un Tunis grand, tentaculaire et moderne qui abrite et pousse depuis un certain nombre d'années à la multiplication des grands travaux qui ont pour impact direct de modifier la configuration de la capitale et de faire de Tunis une métropole moderne par ses constructions, ses espaces, ses routes, ses monuments et les services qui y sont rendus.

    Notre dossier vise à faire le tour des principaux grands travaux en chantier sans prétendre à l'exhaustivité. Ils sont nombreux. Ils sont avant tout l'expression de choix politiques, à l'initiative du Président Ben Ali, qui suit de très près, y compris par des visites sur le terrain, la réalisation de ces grands projets pour la mise en place d'une ville nouvelle, non pas d'apparat aux tours élancées, mais d'une cité solide, cohérente et fonctionnelle qui se développe harmonieusement et parallèlement à l'essor général que connaît le pays dans son ensemble.

    Les échangeurs du Grand-Tunis

    Il fut un temps où le réseau routier était tellement défectueux qu'il portait atteinte à l'image du pays. Les Tunisiens étaient fortement contrariés par l'état de leurs routes. Et c'est avec conscience et un grand professionnalisme que depuis un certain nombre d'années, grâce à des choix politiques judicieux, l'infrastructure routière a commencé à faire peau neuve. Il est désormais rare de circuler dans le Grand-Tunis, ainsi qu'à l'intérieur du pays, et de ne pas trouver des indications annonçant la construction d'un pont ou l'élargissement d'une voie.

    Les échangeurs sur les grands axes routiers reliant le Nord au Sud, Tunis-Msaken à Tunis-Bizerte. Dans le gouvernorat de l'Ariana, un échangeur a été construit au niveau de la cité Ennasr, plus un autre au niveau de la route X 20, sur la rue Othman Ibn Affan menant des quartiers d'El Menzah à Ennasr. D'autres échangeurs, huit en tout, sont planifiés dans le Grand-Tunis, dont six sur l'avenue du 7-Novembre, laquelle représente un axe routier capital avec ses 100 mille véhicules par jour.

    L'échangeur Cyrus-le-Grand-Ghana se situe sur la liaison nord-sud, à quelques mètres du viaduc de l'avenue de la République. Il se prolonge après l'entrée de la rue Cyrus-le-Grand. Il comprendra en outre deux voies latérales, avec les directions suivantes: de Sousse vers l'avenue de Ghana (centre-ville), de l'avenue 7-Novembre (centre-ville) vers Bizerte et de La Goulette vers l'avenue de Ghana ou Bizerte. Les travaux ont démarré en avril 2006 et l'achèvement est prévu en 2008. Le trafic journalier prévu est estimé à 130.000 véhicules avec un coût total de 32 millions de dinars. C'est un projet qui contribuera de façon déterminante à décongestionner la circulation sur ces axes routiers très fréquentés.

    Le grand pont Radès-La Goulette. Il représente l'un des grands projets entrepris dans la zone du Grand-Tunis également. Lancés en 2004, les travaux devraient s'achever fin 2008. C'est un pont suspendu qui va assurer la liaison directe et rapide entre les banlieues sud et nord avec 2.000 m linéaires et 20 m de haut par rapport à la mer afin d'assurer le passage des navires. Ce projet grandiose, le premier du genre, est réalisé en coopération avec le Japon, avec un coût estimé à 141 millions de dinars.

    La suite...
    http://fr.allafrica.com/stories/2007...00.html?page=2
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin
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