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Pétrole : les résultats du danois A.P. Moller Maersk affectés par l’Algérie
La hausse des taxes pour les entreprises étrangères opérant dans le secteur pétrolier en Algérie commence à produire ses premiers effets négatifs sur les résultats des géants pétroliers mondiaux. Le groupe danois A.P. Moller Maersk a annoncé aujourd’hui avoir révisé en baisse ses prévisions de résultats pour l’année en cours.
Certes, AP Moller-Maersk s'attend toujours à des ventes de 50 milliard de dollars, comparé contre 44.5 milliard réalisées en 2006. Mais son résultat sera en baisse pour deux principales raisons, selon le groupe : hausse des dépenses de production et augmentation des impôts sur les bénéfices des entreprises pétrolières étrangères en Algérie. AP Moller-Maersk n’a donné aucune indication chiffrée sur l’impact de cette hausse sur ses résultats mais il serait important au point de réduire d’une manière significative son résultat par action.
Selon les spécialistes, d’autres géants pétroliers devraient également pâtir de cette hausse des impôts en Algérie. En vigueur depuis août 2006, la nouvelle taxe mise en place par le ministère de l’énergie est destinée à imposer les superprofits des groupes pétroliers étrangers opérant dans le pays. Elle a été prise pour faire profiter davantage l’Algérie de la hausse soutenue des prix du baril sur les marchés mondiaux.
Tout sur l'Algérie.
Certes, AP Moller-Maersk s'attend toujours à des ventes de 50 milliard de dollars, comparé contre 44.5 milliard réalisées en 2006. Mais son résultat sera en baisse pour deux principales raisons, selon le groupe : hausse des dépenses de production et augmentation des impôts sur les bénéfices des entreprises pétrolières étrangères en Algérie. AP Moller-Maersk n’a donné aucune indication chiffrée sur l’impact de cette hausse sur ses résultats mais il serait important au point de réduire d’une manière significative son résultat par action.
Selon les spécialistes, d’autres géants pétroliers devraient également pâtir de cette hausse des impôts en Algérie. En vigueur depuis août 2006, la nouvelle taxe mise en place par le ministère de l’énergie est destinée à imposer les superprofits des groupes pétroliers étrangers opérant dans le pays. Elle a été prise pour faire profiter davantage l’Algérie de la hausse soutenue des prix du baril sur les marchés mondiaux.
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