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Durant la nuit de mardi à mercredi ; un jeune homme âgé de 37 ans répondant au initiales A. Z, originaire du village de Taguemount Azouz, à été découvert mort aux environs de 21 h à proximité du stade communal d’Aït Mahmoud. Il était fonctionnaire à l’APC d’Aït Mahmoud dans le cadre du filet social.
Juste après la découverte de corps par des proches et citoyens du village, l’information est donnée aux forces de sécurité, qui ont déplacé le corps au CHU Nedir-Mohammed de Tizi-Ouzou pour les besoins de l’autopsie.
Une enquête est diligentée par la Police pour connaître les circonstances exactes de cette mort, à noter que des traces de coups sont observés sur le corps de la victime, précisément au niveau de la tête, comme aussi un morceau de bois a été trouvé à côté du corps sans vie, et serait l’outil de l’agression utilisé par le (ou les) criminels.
A présent le corps se trouve à la morgue de l’hôpital. Cette nouvelle a plongé dans l’émoi total la population de la région, car, un crime de plus est un crime de trop, dans cette wilaya qui ne cesse d’enregistrer des drames de toutes sortes et parait loin de rompre avec ces phénomènes jamais connus par le passé, l’insécurité bat son plein et les citoyens s’enbisent dans la détresse.
Par la Dépêche de Kabylie
Juste après la découverte de corps par des proches et citoyens du village, l’information est donnée aux forces de sécurité, qui ont déplacé le corps au CHU Nedir-Mohammed de Tizi-Ouzou pour les besoins de l’autopsie.
Une enquête est diligentée par la Police pour connaître les circonstances exactes de cette mort, à noter que des traces de coups sont observés sur le corps de la victime, précisément au niveau de la tête, comme aussi un morceau de bois a été trouvé à côté du corps sans vie, et serait l’outil de l’agression utilisé par le (ou les) criminels.
A présent le corps se trouve à la morgue de l’hôpital. Cette nouvelle a plongé dans l’émoi total la population de la région, car, un crime de plus est un crime de trop, dans cette wilaya qui ne cesse d’enregistrer des drames de toutes sortes et parait loin de rompre avec ces phénomènes jamais connus par le passé, l’insécurité bat son plein et les citoyens s’enbisent dans la détresse.
Par la Dépêche de Kabylie
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