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Le poète Abder Zeghout

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  • Le poète Abder Zeghout

    LE CLANISME

    Depuis la nuit des temps
    Le Kabyle résiste à toute invasion,
    Printemps noir,
    Combat non identifié,
    Le chemin de la gloire en silence,
    La souffrance blesse,
    Les rebelles ne pouvaient accepter...
    Nul ne connaît l'avenir,
    Encore moins notre histoire !
    Toutes les menteries
    Prouvent que la raison est oubliée.
    Ni pouvoir, ni citoyen ,
    Ne sont Justifiés auprès de la majesté.
    Vie trompeuse,
    Mensonge des traîtres,
    Le lâche agresse le meilleur,
    Femmes violées...
    Jeunes filles forcées...
    Famille massacrée...
    Sur la place l'agresseur est récompensé
    Abder Zeghout
    Dernière modification par zwina, 02 septembre 2007, 19h51.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    L’HEUREUSE DE LA KABYLIE

    Beauté, regard, combat,
    Resplendissent comme le village,
    La belle vue montre un visage
    Comme neige sur les monts de Djurdjura.

    Je t'aime,
    Tendre est ta présence,
    Qui caresse comme une main
    De tes bras et de tes pas.

    Les robes kabyles
    Dont tu choisis les sorties,
    Jettent dans le regard du poète
    La folie de rêve !

    Ces modèles sont les décors
    De ton corps adoré,
    Doux, dont je suis fasciné !
    Je t'embrasse autant que tu m'attires !

    Quelques instants dans ce lieu
    Où je m'assois toujours,
    Je sens comme une présence,
    La pluie pleure sur mon mal..
    --------------------
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      BALLADE

      Prendre place et s'ouvrir à l'univers!
      Le sentiment est à la fois
      Liqueur de miel,
      Belles paroles,
      Chant mélodieux.

      Rendre l'espoir, pas seulement son fruit,
      Le matin tôt ou Ie soir tard dans la nuit,
      Des sens et des goûts,
      Sourire enjôleur,
      Regards rebelles,
      Rythmes tapageurs
      Qui redonnent courage !
      Abder Zeghout
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #4
        LA FUITE EN AVANT

        Dans un quotidien algérien
        L'âme pleure ses jours,
        Ni travail, ni vie sociale,
        Les nuits font peur.
        Les généraux vivent sans soucis,
        Accaparant la richesse du sous-sol,
        Fantôme dans un cabinet noir,
        Le peuple en misère, Triste et insolite histoire,
        Seul l'exil est un sauvetage.

        Peur de l'âme,
        Peur de l'autoritarisme aveugle,
        En coulisse,
        Crainte, peur aux tripes,
        Pénible quotidien,
        Système voué à l'échec,
        Les généreux ne sont pas les généraux.
        La jeunesse sans espoir,
        L'exil est le seul souhait.
        Partir sans jamais revenir...
        Abder Zeghout
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          bjr

          Quelle est l'opinion de zwina dans toute cette poêsie.Adhérante au fond n'est ce pas?

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          • #6
            Bienvenu Nayzek

            Forcement adherente puisque je vois les decors qui pourraient aller avec les mots et même les personnes.
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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