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Renault Algérie inaugure un magasin de pièces de rechange à Boufarik

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  • Renault Algérie inaugure un magasin de pièces de rechange à Boufarik

    À cette occasion, une importante cérémonie d’inauguration a été organisée et ce, en présence de Stéphane Galoustian, directeur général de Renault Algérie, de Luc-Alexandre Menard, directeur des relations extérieures de Renault et président du conseil d’administration de Dacia, leader du comité de management de la région Euromed, de Bernard Cambier, directeur monde division pièces et accessoires, de Gilles Moncond’huy, directeur commercial Euromed, de Christian Parfait, directeur qualité service Euromed, de Mme Sylvie Blanchet, directrice de la communication Euromed, ainsi que du P/APC de Tessala El-Merdja, représentant des autorités algériennes, et de nombreux autres invités. Il s’agit du 27e magasin inauguré dans le monde de Renault, et ce, au prix de huit mois de travaux menés sans perturber le fonctionnement de l’entreprise. Le tout a coûté deux milliards de dinars, “un investissement que Renault n’a pas hésité à faire en Algérie”, précisera M. Galoustian, un directeur apparemment satisfait.

    Le magasin central de pièces de rechange (MCPR) se situe en dehors d’Alger, il s’étend sur un terrain de plus de 15 000 m2 et jouit d’une surface de stockage de 8 000 m2, soit quatre fois supérieure aux précédentes installations de la zone industrielle de Oued-Smar, ce qui lui confère le titre du plus important site de stockage de pièces et accessoires automobiles en Algérie. En effet, le MCPR permet une gestion quotidienne de 1 000 pièces et le stockage de 20 000 références. Bénéficiant d’une situation géographique idéale qui permet d’optimiser les temps d’expéditions par un accès rapide aux grands axes routiers et autoroutiers, il dispose, en plus, de deux types de quais niveleurs ou à déchargement latéral, permettant de recevoir tous types de transporteurs. Conçu selon les normes Renault, le MCPR offre des conditions de travail optimisées et des zones de stockage adaptées selon les types de pièces, leur niveau de fragilité et la fréquence de leur utilisation. Lors de son discours d’inauguration, Stéphane Galoustian s’attardera à remercier une à une les personnes qui ont contribué à la réalisation, dans les délais prévus, de ce colossal projet qui, toujours selon le directeur de l’entreprise, “assurera une distribution de la pièce de rechange d’origine, garantie un an, qui offre au client toute la garantie et la sécurité Renault”.

    Ce dernier insistera longuement sur la nécessité de couvrir les besoins du marché algérien en pièces de rechange “d’origine” et ce, dans le but de lutter contre les dangers que présente la vente des pièces de la contrefaçon. “Avec ce nouveau magasin, le groupe Renault en Algérie dispose d’un outil aux meilleurs standards mondiaux pour mener à bien sa mission qui est de distribuer des pièces de rechange d’origine, ce qui garantira une meilleure maîtrise du service en qualité, coût, délai mais surtout en sécurité”, dira-t-il. M. Galoustian ajoutera qu’“il compte combattre le fléau des pièces contrefaites avec l’aide des autorités et de la justice algérienne qui, une fois encore, ont démontré leur engagement en condamnant, il y a quelques jours, un revendeur de fausses pièces de rechange Renault à une peine d’emprisonnement ainsi qu’à verser des dédommagements à son entreprise”.

    source : Liberté

  • #2
    L'Arnaque

    Pour ce qui est d'écouler sa marchandise, Renault à toujours été presente en Algerie.
    Mais dès qu'il s'agit de créer une usine pour fabriquer des voitures ou des pièces de rechange, Renault lui préfère ses voisins...
    franchement qu'ils aillent en enfer....

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    • #3
      Pour ce qui est d'écouler sa marchandise, Renault à toujours été presente en Algerie.


      tout simplement les Français nous prennent pour des cons , et nos dirigeants nE font aucune pression sur la France pour la forcer a ivestir chez nous , pourtant les moyens pour fAIre pression sur ce pays existent ( GAZ ,PETROLE ETC ......°
      ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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      • #4
        mais c ca le commerce.......votre bourgoisie a de l'argent....bah elle doit acheter lol.
        plus serieusement dans ce domaine faut etre atractif.
        a quand une voiture maghrebine .......on l'appelera 3wicha

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        • #5
          Moi, je rejoint le point de vue de Rebrab qui dit que ce ne sont pas les IDE qui vont développer le pays, les IDE sont un plus, il ne faut des champions nationaux, une croissance basée sur les IDE représente un danger a long terme.

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          • #6
            kawkawa

            sauf si ces ide permettent de creer des champions nationaux grace au transfert technologique..

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            • #7
              Pour ce qui est d'écouler sa marchandise, Renault à toujours été presente en Algerie


              Parts de marchés auto et équipement legers en Algérie 2006 :

              - Les Sud corréeennes (Hyundai, Kia et Chevrolet) : 30%
              - Les françaises (Renault-Dacia, Peugeot et Citroën) : 26%
              - Les japonaises : 22%
              - les allemandes (mercedes, BMW) : 6%
              - Les chinoises (Chana, Hafei, Foryota) : 10%
              - Autres (FIAT Italie, indiennes Maruti etc ..) le reste

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              • #8
                Distro

                Oui bien sur, c’est ce que font les chinois par exemple, mais ce n’est pas le cas partout dans le monde.

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                • #9
                  Ben, parce que la société algérienne donne l'image d'une société de consomation et non de production. ça rejoint les autres discussions sur le travail.

                  Au lieu d'envouloir aux Français, il faudra se poser la question : pourquoi on n'est pas attractifs.

                  Le Maroc, à l'inverse de notre pays, a su préserver son système productif, ce qui permet à d'autres industries lourdes de s'y installer plus facilement. Chez nous, il a été complètement anéanti, et ce n'est pas pret de changer malheureusement. Ajouter à cela notre système financier archaïque, notre bureaucratie, ...

                  Il n'y a que les activités commerciales qui sont encouragées chez nous. A l'état actuel des choses, ce n'est pas une surprise qu'un investisseur préfère vendre que de produire chez nous. ça serai même étonnant de s'étonner!!!

                  Il ne faut envouloir à personne qu'à nos dirigeants et à nous même. Peut être qu'un jour on finira par réfléchir à trouver de vrais solutions. Pour le moment, nos cerveaux sont pleins de pétrole...
                  ----->>>no comment<<----

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                  • #10
                    Renault continue sa stratégie: au Maroc il implante une usine de production; en Algérie les pièces détachés avec toute la publicité autour de cet évènement pour influencer et inciter les consommateurs pour acheter renault et prendre la première place sur le marché.
                    Mr NOUBAT

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                    • #11
                      Envoyé par goudzila
                      nos dirigeants nE font aucune pression sur la France pour la forcer a ivestir chez nous
                      Forcer les français à investir?!
                      Les multinationales n'investissent pas dans les autres pays pour faire plaisir aux politiques des pays d'implantation mais pour faire des bénéfices. Si Carlos Ghosn a choisi le Maroc c'est tout simplement parceque les marocains lui ont offert des conditions alléchantes. Investir 1 milliard d'euros dans un pays n'est pas une décision qui se prend à la légère.

                      Si Renault n'a pas choisi l'Algérie, c'est tout simplement parce que notre gouvernement n'a rien fait pour séduire Renault en lui offrant des conditions meilleures que les offres concurrentes pour réaliser son projet.

                      "Capter" les IDE est tout un métier et notre gouvernement aveuglé par la rente pétrolière, fait très peu d'efforts sinon aucun pour séduire les gros investisseurs.

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                      • #12
                        BIEN DIT NASSIM
                        et j'ajoute sans IDE il n'y aura jamais de savoir faire locale,et surtout on resoudra jamais le probleme du chomage

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                        • #13
                          Trois mille ans de malédiction ça suffit. Maintenant la paix pour la prospérité.

                          Bonjour,

                          Ya rebbi, ya rebbi : qu' a-t-on fait pour mériter tout ça.

                          Sommes-nous maudits pour avoir donner hospitalité à la reine Didon ( Elisa ) il y a de celà presque trois mille ans ( 2821 ans )?

                          Depuis que Carthage a déclenché ses hostilités avec Rôme, point de stabilité dans notre pays ( Afrique du nord ).

                          Stabilité, risques et rentabilité sont les maitres mots dans les politiques libres d'investissement ( hors considération de pure politique intérieure ou extérieure ).

                          Pour attirer des investisseurs crédibles et non pas des charognards, il faut assurer une stabilité politique à très long terme donc avoir une paix durable. Cette paix ne pourra se faire que dans le cadre d'un consentement populaire.

                          Ce n'est pas la violence d'une frange de la population ou la dictature du pouvoir qui baliseront le chemin de la paix.

                          Pour aller vers la prospérité, faisons la paix. Pour faire la paix, commençons par construire ensemble notre propre maison ( constitution ) et batissons la sur des fondations solides pour être le gage de stabilité et de garantie.

                          Ce n'est qu'après cette phase que l'on pourra choisir nos partenaires pour les investissements lourds.

                          Jusqu'à maintenant, ce n'est que du pipo et du vol.

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