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La république islamique d'Algérie

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  • #16
    Il est vrai que ça se coopte à tour de bras dans la république démocratique.
    Il devrait tirer ça à pile ou face. Pile, tu es président à vie, face, tu es en prison pour lèse-majesté!
    Il est retors à ce point, le Boutef?

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    • #17

      Il est vrai que ça se coopte à tour de bras dans la république démocratique.
      Il devrait tirer ça à pile ou face. Pile, tu es président à vie, face, tu es en prison pour lèse-majesté!
      Il est retors à ce point, le Boutef?

      ...... On y est presque !

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      • #18
        Azul, Salam à tous,

        Que se passe t-il dès lors qu'un groupe d'individus s'accaparent le pouvoir au nom de la religion ?
        L'Histoire nous l'a montré et nous le montre encore, les hommes n'ont jamais été d'accord sur l'interpretation des livres sacrés, et parmi ceux ci il s'est toujours formé un groupe avec des interpretaions extermistes.
        L'intégrisme religieux n'est pas nouveau.

        Les extremistes ont une vision inhumaine de la religion, ils la considèrent comme une contrainte, comme des obligations dans la vie de tous les jours, mais en réalité où est la foi dans tout ça ?

        Ce qui énervent ces extremistes c'est de voir que les autres n'appliquent pas la religion comme eux l'entendent, et ils n'acceptent pas cette différence. C'est cela L'intégrisme.

        Revenons donc à la question intiale : que se passerait-il si des personnes prenaient le pouvoir au nom de la religion.

        Par définition de l'extremisme, ces gens imposerait à l'ensemble de la population des règles à appliquer dans sa vie de tous les jours. Des règles qui découlent d'un interpretation archaïque du Coran.
        On aurait plus le droit à la différence, à vivre sa religion comme on l'entend. La vie sociale s'en verrait fortement perturbée.
        En somme, la fin de toute liberté.

        NON je ne veux pas que notre chère ALGERIE devienne un IRAN ou un PAKISTAN et elle ne le deviendra pas !

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        • #19
          De quel ministre de l'intérieur tu parles, car il était tellement bien choisit que je ne me souviens plus de son nom... Ouyahia risque bien de faire l'affaire dans 6 ans, à ce que je vois, et a bien plus de mérite et de maturité politique que celui que tu déffends aujourd'hui. Concernant l'efficacité des uns et des autres, les forces d'inerties étaient bien moins agressifs contre Ouyahia que contre Bouteflika, qui a dans ses bagages des réformes sérieuses et bénéfiques à mon sens pour ce pays, et je parle notamment sur le plan économique. Nous oublions vite ce qu'il a réalisé pour une aprtie, et essayé de réalisé pour d'autres... et puis il faut être fou comme Bouteflika pour s'attaquer frontalement ainsi... et Ouyahia n'est pas fou...

          Ott.

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          • #20
            Oui, tu as raison, l'intégriste a ceci de dangereux:il tentera d'imposer ses vues religieuses. Il n'est guère loin du fanatique.

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            • #21
              Je crois qu'il est difficile d'admettre pour quiconque de se faire doubler ainsi. Chirac n'a jamais pardonné son "crime" à baladure, et 7 ans après, Chirac le fait toujours bien chèrement payer. Et la situation de la France est bien moin critique que celle de l'Algerie d'aujourd'hui, avec des défis d'autant plus grands qui requierent toutes les energies positives...

              Ott.

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              • #22
                Oui mais en France, on ne coopte pas. Il n y'a que la voix majoritaire du peuple qui sait le faire.

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                • #23
                  LeGrandBleu, que tu peux être naif. Crois tu que les hommes politiques en France, comme dans d'autres démocraties sortent du jour au lendemain en plein jour, et n'ont pas des années d'apareils politique et de cooptages... et Baladure y compris.

                  Ott.

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                  • #24
                    Oui, mais il ne s'agit pas là de la même cooptation que celle pratiquée en Algérie.
                    Car la nôtre ressemble plus à la désignation, voire même la nomination. Comme on fait la clique de généraux et autre décideurs quand ils ont coopté le moins pire.
                    Évidemment qu'en démocratie, les partis désignent leur candidat, Les candidats cherchent à se faire coopter par les plus hautes personnalités dans leurs partis respectifs. Il n'y a là rien de méprisant pour le peuple souverain. Hélàs, en Algérie quand les grosses légumes cooptent, c'est pour pour utiliser les rouages de l'administration, tricher et faire l'élu qu'ils ont préalablement coopté. Cela, c'est bafouer la démocratie.

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                    • #25
                      Bon je m'y met moi aussi, je dérive du sujet et Anakin m'en excusera

                      @Blackmore,

                      Ouyahia ne pourrait gagner une presidentielle qu'avec le soutien de toute notre famille politique au moins (RND, FLN). Or aujourd'hui c'est impossible avec Benflis et Bouteflika qui s'arrache le FLN comme des affamés.

                      @Ott,

                      Ouyahia n'est pas fou oui. Mais ne pense pas que s'attaquer à Bouteflika est difficile ces jours ci. Si Ouyahia l'avait envoyé paitre le jour ou le president lui avait demandé de prendre le gouvernement, j'aurais bien aimait voir comment il aurait geré ses affaires? Il n'a plus aucun parti politique aui le soutient si ce n'est le notre. Au bout du compte Bouteflika est un homme qui a programme different du notre au RND, mais pour la stabilité du pays il serait bon qu'il effectue un deuxieme mandat a mon avis. En echange il va falloir qu'il baisse le volume sur sa reconciation nationale et qu'il nous laisse etre plus aggressif pour les reformes. Ce qui est faisable puisque il n'a pas mentionné la reconciliation nationale depuis Mai 2003. Mazal el khir incha'allah.

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                      • #26
                        @ LeGrandBleu,
                        Le système de cooptation est le même, en démocratie comme en dictature, et les lecteurs ont souvent un choix réduit entre deux tendances, et aux USA, c'est encore plus criant.

                        @double6,
                        Je partage la même analyse concernant la stabilité de ce pays, et le lendemain des élections permettra sera porteurs de changements majeures au FLN à mon sens. concernant la réconciliation, je constinue à dire qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, et qu'il faut ABSOLUMENT entériner la defaite militaire des islamistes par une défaite politique, sans quoi, nous ne sommes pas à l'abris des pires des retournements.

                        Ott.

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                        • #27
                          A Ott

                          Concernant la soi disant trahison de Benflis , parlons en !
                          Tu dis que Benflis n'etais rien sans Bouteflika en oubliant qu'il a été le premier ministre à démissionner de son poste de garde des sceaux pour désaccord avec Ghozali , bien avant la venue de ..... Bouteflika .
                          Ensuite il faudra être clair , quand on est sensé être le chef d'un gouvernement issu de législatives et que quelques petits planqués et autres patriotes de la dernière minute , qui sont censés être sous sa tutelle , le traitent comme la dernière merde ; une seule attitude différencie l'homme à principes et convictions , du larbin .

                          Contrairement à ce que tu penses , je ne voterais pas cette fois encore , ni pour Benflis ni pour un autre . Car après tout le coté obscur du FLN est apparu lors du vote sur l'amendement interdisant l'importation des vins et alcools .
                          Il n'y a que le RND pour faire pire !
                          Surtout pour nous faire l'éternel chantage- alibi de la stabilité des institutions . Mais en oubliant de préciser que cette stabilité bénéficie le plus aux élus dont le statut est exhorbitant pour le trésor public et que deux mandats c'est toujours mieux qu'un seul .
                          En fin de compte , les changements qui risqueraient de tarir le pis de la rente de certaines "élites" , faudra pas trop y compter , c'est assimilé à de la subversion et le ciel risquerait de nous tomber sur la tête .

                          On avait compris , merci ! :wink:

                          Commentaire


                          • #28
                            République, gestion d’un pays à travers des institutions élues, d’une façon ou d’une autre, très souvent d’une façon plus que d’une autre. République démocratique, stipule l’exercice du pouvoir par le peuple par le biais de représentants qu’il a choisi. Nous savons que ce leurre démocratique sur le plan de l’appellation a été usé jusqu’à la corde, abusant de peuples entiers, les entraînant souvent dans les méandres de l’incompréhensible.
                            Nous avons donc goûté à la démocratie à la l’algérienne en lisant au fronton de nos mairie le plus grand mensonge de notre histoire. L’interprétation savante de la notion de démocratie (loi de la majorité) s’est doublée de la représentation qu’en ont fait les démocraties populaires à l’époque en hommage au lien direct qui y est nourri entre le « guide » (toujours infaillible et ….presque divinement éclairé) et la masse populaire, souvent entretenue dans le culte de la personnalité, principal ingrédient de l’acculturation politique.
                            Ce lien solide entre le za3im et la base populaire passe nécessairement par le laminage de la classe moyenne principale pourvoyeuse de la société en intelligentsia, donc en réflexions, souvent elle-même bassin de la contestation et de la remise en cause d’acquis et de mal acquis.
                            Très souvent, le za3im est lui-même issu de cette masse et cela ne peut attester de son pouvoir de décider en faveur de son appartenance sociale. Son nouveau statut le désengage automatiquement de ses origine pour le mettre politiquement au service du corollaire du pouvoir politique, l’inévitable pouvoir économique.
                            L’enjeu donc serait le bien-être et lequel?
                            La pilule ne passe que lorsqu’on la fait passer au nom de la majorité. Boumediene s’y est essayé en arguant que le bien –être du peuple devait passer par le musellement de la société. La contestation ne devait avoir droit de cité que lorsqu’elle était orientée vers le renforcement de ses politiques dirigées contre les impérialismes de tous bords. Mais Boumedienne ne s’accommodait pas de velléités démocratiques réelles. Il s’est ingénié à saper ses bases et ses foyers par le leste qu’il était obligé de céder conjoncturellement à l’islamisme pour faire contrepoids.
                            Plusieurs voix s’élèvent aujourd’hui pour décrier le mouvement démocratique algérien, tantôt comme ancré dans une démarche élitiste, lui reprochant une espèce de déracinement, à défaut duquel il aurait puisé ses valeurs dans la réalité du pays, tantôt dans son acoquinement avec les vrais détenteurs du pouvoir, à savoir les militaires.
                            Les islamistes, ayant horreur par nature du vide, ne laisse pas passer cette aubaine et s’incrustent, aidés en cela par la fausse culture politique de la population. Ils mettent donc en valeur des principes reconnus ancestrale ment par l’inculture comme voie de salut pour tous.
                            Le problème de notre pays réside dans sa propre histoire de l’indépendance et du cheminement qu’il a emprunté des lors. Le mot d’ordre de la guerre de libération, pour des besoins stratégiques à l’époque, compte tenu de l’état du peuple devait être brandit par les Oulémas (littéralement : ceux qui savent déjà). Pour le besoin de la mobilisation en vue du sacrifice suprême, rien de plus efficace que de placer la lutte pour l’affranchissement d’un peuple sous le sceaux de la divinité et du devoir spirituel. Le peuple ayant consenti tous les sacrifices imaginables au nom de Dieu, les dirigeants de l’époque de l’indépendance auraient été mal inspirés de vouloir changer un slogan mobilisateur aussi payant. Mais l’enjeu a changé. Les priorité ne sont plus les mêmes. Pour maintenir la flamme avec des objectifs différents, il fallait donc entretenir le rêve et lui donner des contours autres. La justice sociale à teneur marxisante tenait le haut du pavé. Étranglement de toute issue de liberté qui aurait donné naissance à des projets viables, centralisation des pouvoirs pour un contrôle policé de la société. Il n’y avait que le folklore et encore, auquel il était laissé "libre cours" à condition qu’il soit embrigadé.
                            Le système en lui-même ne tolérait pas la remise en question d’acquis qui se voulaient au nom du peuple. C’est une lapalissade que de reconnaître que celui-ci est traversé de part en part par le courant islamiste. L’islamisme, plus que la religion elle-même a régi les relations sociales chez nous et continue à les régir. Nier ce courrant, c’est faire preuve d’une grave cécité. Cela ne veut pas dire que c’en est la Solution.
                            D’aucuns pensent aussi à la solution turque par opposition à celles de l’Iran, de l’Afghanistan et du Soudan. La « non expérience » islamiste est restée comme une arête au travers de la gorge de tous les déçus de l’après « législatives interrompues du Fis ». Nous aurions dû laisser venir et voir, nous disent-ils. Le peuple s’y exprimé « librement » arguent-ils. J’ai même cru halluciner en lisant sur ce fil de discussion qu c’étaient les seules « élections libres » qu’à connues l’Algérie…. Balivernes!
                            Tous ceux qui étaient sur place vous le confirmeront, le Fis n’a pu se targuer d’avoir remporté « massivement » le premier tour que de façon très relative, aidé en cela par la très forte abstention, par des pressions visibles, par le trucage des listes électorale (ils détenait à l’époque la grande majorité des APC). La démagogie conjuguée à la déliquescence de la société, celle-ci plongée jusqu’au cou dans le marasme économique, ont fait le reste.
                            Le cycle infernal ayant été enclenché par la déception islamiste causée par l’interruption du processus électoral a montré à quel point de barbarie pouvait mener le système dans sa globalité, car l’islamisme était et est toujours une des ses principales composantes. La prise du pouvoir par le Fis était loin de nous mener vers la « turquisation » du régime. Les assises du pouvoir en Turquie et en Algérie lors des deux expériences n’avaient ni les mêmes assises philosophiques, ni les mêmes contraintes exogènes.
                            Le dépit nous fait dire que nous aurions dû laisser faire et le bon sens nous fait constaté que nous le disons par ce que nous avons connu les affres de la décennie noire…rouge, ou les deux à la fois.

                            :wink:
                            Sacov.

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                            • #29
                              Salut Ott,

                              La reconciliation nationale de Bouteflika est louche à mon avis. Je suis tout a fait d'accord pour ce qui est de tout faire pour faire cesser le terrorisme en Algerie, mais pardonner et amnisitier les responsables politiques: non. Je ne suis pas pyromane mais pas maso non plus.

                              D'abord un rappel de la realité:

                              On a eut la loi sur la rahma avant que Bouteflika ne vienne, pour offir aux terroristes de se rendre et de recevoir une peine allegée (qui excluerait la peine de mort). Ensuite il y a eut la concorde nationale. Malheureusement Bouteflika nous a fait un sale coup avec celle ci. La loi sur la concorde civile voté par le parlement et le sénat, ratifiée par le president Bouteflika etait suffisante à nos yeux. On parle peu du contenu de cette loi. La loi dit clairement que les terroristes sont invités a quitter le maquis et rejoindre la societe pour ceux qui n'ont pas participé aux attentats à la bombe ou aux viols ou aux meurtres de civils et pour les autres une peine allegée, bref a ceux qui n'avait pas de sang sur les mains. Pour les autres terroristes qui auraient commis cela une peine allegée qui exclueraient la peine de mort. De plus tout les terroristes etaient censés etre privés de leur droits civiques pendant 10 ans sous le coup de cette loi, et aussi devaient se rendre aux comissariats de polices tout les mois pour se presenter et signer un papier et cela pendant une periode de plus de 18 mois au moins.

                              Pour tout te dire, la loi etait deja ficelée lorsque Bouteflika etait arrivé, et certaines l'avez deja precedées, telles que la loi qui offrait aux familles des terroristes morts, une petite somme d'argent (inferieur a celle des familles victimes du terrorisme). A l'epoque on avait dit que Ouyahia (le chef du gouvernement de l'epoque: fin 1998) legué une bombe a retardement et toutes les familles victimes des tangos avaient soulevées ciel et terre devant le parlement. Bref.

                              Ensuite vient Bouteflika, trouve cette loi ficelée, la fait votée sans probleme (avec le soutien de ces memes associations de victimes du terrorisme qui decriée l'allocation aux familles des terroristes morts quelques mois avant). Mai non satisfait Bouteflika la soumet au referendum. Soit! Il n'y a pas de problemes jusque là. Mais la ou il a exageré c'est quand il a promulgué l'amnistie aux terroristes par decret presidentiel pendant l'intercession parlementaire.

                              En effet, en diable rusé il a utilisé le droit que lui offre la Constitution de legiferer pendant les "vacances" du parlement, soit l'intercession parlementaire pour emettre un decret presidentiel leur donnant l'amnistie TOTALE!?! Pleins droits civiques, etc... Ensuite la constitution dit que à la rentrée les parlementaires doivent accepter ou rejetter le decret. Et là il a fait du chantage au parlement: Vous acceptez ou je vous refuse l'augmentation de vos salaires que vous vous etes votés en demandant l'avis du Conseil Constitutionel "auquel je conseillerais" de rejetter votre demande. Et voilà comment on s'est retrouvé avec des deputés a plat ventre qui l'ont faite passée et que plus rien, pas meme leur chefs ne pouvaient convaincre du contraire.

                              Je ne parlerais meme pas du coup d'etat tenté sur notre parti lorsque notre SG a foutu à la porte plus de 90% des anciens deputés qui voulaient se representer aux legislatives sous notre banniere plus tard. Nous nous souvenons parfaitement de l'episode et on a pas oublié qui etait derriere.

                              Donc voilà la verité Ott. On s'est retrouvé avec un chef terroriste qui attaquait un chef de redaction en justice pour avoir "oser" publier sa photo avec un klach alors que normalement ce chef terroriste etait destitué de ses droits civiques selon la loi de la concorde civile. Mais malheureusement Boutef leur offra un casier judiciaire vierge et cette loi est devenue caduque depuis. Heureusement que Ouyahia tenait la justice et l'a envoyé paitre ce miserable. A l'epoque le FLN ne voyait pas de problemes dans l'affaire, et nous etions quasiment les seuls a denoncer publiquement. Un ministre de Benflis aurait parfaitement laisser faire et donner droit au terroristes car la loi etait de son coté du point de vue "legal".

                              Ensuite Boutef veut recidiver avec une "reconcialiation nationale"... Mais se reconcilier avec qui? Le FIS??? Alors trop, c'est trop. On a donné le maximum avec la loi de la concorde civile, et il a meme poussé le bouchon plus loin avec l'amnistie par decret et maintenant barakate. Les beni oui oui qui lui donne des idées avec toutes ses inventions d'amnisties et de reconciliations en ont trop fait. On ne peut plus rien offrir aux terroristes a present si ce n'est la guerre totale, et il n'est pas question de pardonner au responsable moral le FIS avec une "reconciliatin nationale". Aujourd'hui le comble c'est qu'ils utilisent cela contre lui les beni oui oui d'hier. Il est temps à present que la presidence se remette a donner des coups de batons sur les tetes des islamistes. C'est cela la victoire politique contre l'Islamisme. Elle est de meme nature que la victoire militaire. Elle se doit d'etre aggressive. Il est hors de question de pardonner au FIS, et ca n'aurait aucun interet sur le terrain de toutes les façons. Les terroristes aujourd'hui ne decendront pas avec un appel de Madani. Le FIS a raté sa chance avec Zeroual, il n'en aura pas une deuxieme.

                              A+

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                              • #30
                                Mais voyons, Le RND n'est pas du camp de Boutef?

                                Commentaire

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