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Bouteflika s'amuse

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  • Bouteflika s'amuse

    Cartes en main
    Le président de la République est « branché » directement sur la population, testant régulièrement sa popularité dans des visites marathons à l’intérieur du pays. Il en fait sa réponse à ceux qui le croient inapte à gouverner et qui cèdent aux rumeurs sur son état de santé. Choisissant de se placer au-dessus de la mêlée, il ne juge pas nécessaire d’intervenir personnellement et « à chaud » sur les crises cycliques, telle celle qui affecte la population dans son pouvoir d’achat, suite à la hausse brutale des prix des produits de base. Il laisse ce rôle au chef du gouvernement comme il a choisi les présidents de l’APN et du Sénat pour relancer le dossier de la révision constitutionnelle. Si Ziari et Bensalah ont intégré cette question dans leurs discours d’ouverture des sessions parlementaires, c’est que manifestement Bouteflika ne veut plus que Belkhadem — engagé en tant que patron du FLN dans la compétition électorale — se saisisse au nom de l’Etat de la question de la refonte de la Loi fondamentale. Evoquée par les deuxième et troisième hommes du pays, celle-ci ne tardera pas à voir le jour. Et c’est certainement le chef de l’Etat qui a demandé à l’autre homme fort du pouvoir, Yazid Zerhouni, de rectifier le tir sur son propos autour de la possibilité pour les anciens de l’AIS de revenir sur la scène politique. Le ministre de l’Intérieur a fini par se raviser, excluant toute opération de clonage de l’ex-FIS. Les autorités semblent se ressaisir après la passage à vide créé par l’attentat du GSPC contre Kertali, un émir passé à la réconciliation et devenu « modèle » en matière de repentir. Dans cet ordre d’idées, c’est Bouteflika qui pourrait bien être derrière les tergiversations des pouvoirs publics pour traduire en justice Ali Benhadj qui, sur une chaîne satellitaire arabe, a souillé la mémoire du général Smaïn Lamari et insulté l’ANP : un procès serait politiquement contre-productif et risquerait d’entacher le processus de réconciliation nationale, cher au chef de l’Etat. Ce dernier paraît veiller au grain sur la politique du pays mais semble se désintéresser de l’ambiance de règlements de comptes régnant au sein de l’Alliance présidentielle : après le fleuret moucheté des années précédentes, les trois chefs de partis sont passés à la guerre ouverte. Ils affichent de plus en plus leurs préférences partisanes et évoquent de moins en moins leur dénominateur commun, voire leur seule ambition, le programme du président Bouteflika. Le boycott massif des élections législatives le 17 avril dernier par la population a fait l’effet d’une douche froide sur le FLN, le MSP et le RND qui se sont rendu compte qu’ils ont beaucoup perdu de leur spécificité en se mettant sous la coupe du chef de l’Etat. Mais s’ils cherchent à se libérer quelque peu de cette tutelle trop encombrante avant le scrutin des locales de fin novembre, leur grande ambition est de s’en affranchir totalement courant 2008. C’est l’année de préparation de la présidentielle d’avril 2009 et chacun des leaders de ces trois partis entend s’y positionner. Pour la première fois depuis 1999, la donne Bouteflika sera intégrée dans leur stratégie non pas en termes de soutien mais sous le prisme de la succession. Et cela le président de la République le sait. Il laisse faire pour réunir toutes les cartes en main. Ali Bahmane
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    Il a certainement raison ce journaliste d'El Watan, Bouteflika (et ceux de l'ombre) laisse faire en ce moment car ils veulent avoir toutes les cartes pour choisir le prochain president et le presenter comme candidat à la succession de Bouteflika. Ils doivent nous reserver une surprise.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      zouinoche

      tu vois qui toi?

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      • #4
        Si je peux me permettre, moi, je vois, augustin ou mandez.

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        • #5
          Zwina

          Quoi qu'on dise et quoi qu'on fasse, le Président reste presque seul à faire véritablement de la politique suivi de très près par Ouyahia. Le reste.... ils feraient d'aller manger tibekhsisine alors surtout le bedouin Belkhadem ; à celui-là on lui donnera 2 "tighetènes".
          Si tu ne veux pas ton frère comme frère, tu mérites d'avoir ton ennemi pour seigneur.

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          • #6
            Algerois

            OH merci, je n'ai pas le profil. Mais moi je vois bien zouinoche battre campagne à partir de Paris , 0,001% pointé l'essentiel est de partciper :-)

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            • #7
              Augustin

              Justement je cherche qui ça pourrait être. mais serieusement moi.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                il n' ya aucune surprise
                le prochain president est
                ouyahia
                Gone with the Wind.........

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                • #9
                  Quoi qu'on dise et quoi qu'on fasse, le Président reste presque seul à faire véritablement de la politique suivi de très près par Ouyahia. Le reste.... ils feraient d'aller manger tibekhsisine alors surtout le bedouin Belkhadem ; à celui-là on lui donnera 2 "tighetènes".
                  C'est un peu contradictoire ! les deux hommes sus-cités sont des adeptes de la même "Zaouya "

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                  • #10
                    oui ouyahia mais il y a un mais pas assez populaire pour arranger sans trop de dégats les chiffres.

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                    • #11
                      Algerois

                      Je soutiens la candidature de Zwina avec un bon conseiller politique comme Augustin. Je suis sûr qu'on sortira définitivement de la crise ... au moins de la crise de nerfs !
                      Si tu ne veux pas ton frère comme frère, tu mérites d'avoir ton ennemi pour seigneur.

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                      • #12
                        il n' ya aucune surprise
                        le prochain president est
                        ouyahia
                        Moi je dirai Boutef même s'il sera mort !

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                        • #13
                          populaire il le deviendra
                          qhelques mesurettes et le tour est joué

                          il est en stand by pour le moment
                          les "mokh" travaillent a alger
                          Gone with the Wind.........

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                          • #14
                            il n' ya aucune surprise
                            le prochain president est
                            ouyahia
                            Y'aura donc fraude électorale !

                            Mais une fraude de ce type est impossible car l'autre parti est lui aussi au pouvoir, le FLN ne le peremettra pas.

                            Si Boutef ne se présente pas, je pense que les prochaines élections seront plus ou moins transparentes, d'autant plus que si l'on va permettre la présence des militants de chaque parti dans les bureaux de vote. C'est la meilleur arme contre la fraude.

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                            • #15
                              la designation d'un president n'a jamais ete du ressort d'un parti


                              elle est l'exclusivite d'un cercle
                              Gone with the Wind.........

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