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Le kamikaze de Dellys avait 15 ans

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  • Le kamikaze de Dellys avait 15 ans

    Il avait à peine 15 printemps. Il y a près de deux mois, il s’apprêtait à passer son brevet d’enseignement moyen (BEM) au collège de Bourouba, à Bachdjarah (est d’Alger) lorsque des adultes ont changé le cours de sa destinée. D’un élève très sérieux, apprécié par ses camarades et ses voisins, Nabil s’est transformé en kamikaze, portant le pseudonyme de Abou Mossaâb Zerkaoui, un des chefs d’Al Qaïda tué par les Américains en Irak.



    Il s’est fait tuer dans le camion qui a explosé dans la caserne des gardes-côtes à Dellys en emportant une trentaine de marins et en causant de graves blessures à autant d’autres, en cette matinée du samedi 8 septembre. Dans un communiqué du GSPC revendiquant les attentats de Batna et de Dellys, Nabil apparaît avec un large sourire, portant une tenue militaire, la tête entourée d’un turban et entre les mains une kalachnikov. Dans son quartier, à la cité des Fonctionnaires de Bachdjarah, c’est la consternation. Le choc. Dans le désarroi, sa famille n’arrive pas à admettre. « Nabil est mon petit-fils préféré. C’est un enfant des plus respectueux et des plus calmes. Je l’ai vu grandir et jamais je n’aurais pensé un jour qu’il pouvait faire du mal à quelqu’un », déclare en pleurs sa grand-mère. La maison ne désemplit pas. Tout le monde vient exprimer sa compassion à la famille Belkacemi dont les parents ont été convoqués par la police. Les voisins sont unanimes à vanter l’éducation de Nabil, né en 1992 à la cité même, tout comme d’ailleurs celle de ses deux autres frères moins âgés que lui. « Il jouait au ballon et n’a jamais élevé sa voix ou manqué de respect aux habitants. C’est un garçon exemplaire », révèle un des voisins rencontrés sur les lieux. C’est en fin de journée que les Belkacemi arrivent complètement abattus et lourdement éprouvés. Ils refusent de revenir sur ce drame, mais ils acceptent de livrer quelques détails sur ce qui est arrivé à leur fils. « Il était le plus calme de mes enfants. Il étudiait normalement et devait passer son BEM cette année. Il aimait beaucoup jouer au football devant l’immeuble et tout le monde ici lui reconnaît sa bonne éducation. Il fait la prière mais n’a pas un comportement extrémiste. Il n’a jamais interdit la télévision ou la musique. Il ne laissait transparaître aucun geste ou acte qui pourrait exprimer son penchant vers l’extrémisme. Il ne parlait jamais de politique, encore moins du gouvernement ou des partis politiques. Puis, il a commencé à fréquenter régulièrement la mosquée d’Apreuval, à Kouba, tout en allant à l’école. Il ne s’est jamais absenté, jusqu’au jour où il a passé la nuit à la mosquée, puis il a disparu. Il m’a appelé sur un téléphone portable pour me dire de ne pas m’inquiéter et qu’il allait rentrer. C’était dix jours avant le BEM », raconte en pleurs sa mère. Elle s’arrête quelques moments puis reprend difficilement son récit. Elle essuie ses larmes et s’abreuve d’eau fraîche. « Il m’a dit : ‘‘Maman j’ai peur. Je ne sais pas où je suis. J’ai envie de m’enfuir mais j’ai peur qu’ils vous tuent. Ils m’ont averti que si jamais je leur échappais, ils s’en prendront à vous. Mais ne t’inquiètes pas, je trouverai l’occasion de fuir.’’ Puis il a raccroché. Il m’a rappelé deux ou trois fois seulement. J’ai informé tout le monde. J’ai tout fait pour le sauver mais ils ont fini par le tuer. Je sais qu’on l’a obligé à aller dans ce fourgon maudit pour tuer autant de marins. Je sais qu’il a voulu s’échapper et le chauffeur l’a retenu de force. Ce n’est qu’un gosse. Comment expliquer qu’un homme de 35 ans fréquente un enfant de 15 ans ? Laissez-moi faire mon deuil et je montrerai au monde entier ce dont sont capables ces gens-là. Ils sont en train de tuer nos enfants. Pourquoi n’ont-ils pas envoyé ceux qui écument les maquis depuis des années ? Pourquoi le choix des enfants ? Si c’était un adulte, je dirais qu’il n’a que ce qu’il mérite, mais ce n’est qu’un enfant que des adultes ont transformé en kamikaze », lance en pleurs la mère de Nabil. Cette mère éplorée estime que son fils ne vaut pas plus que cette trentaine de marins tués le matin du dimanche alors qu’ils levaient l’emblème national. « La mort de Nabil n’a pas été plus dure que de savoir qu’il a servi pour déchiqueter une trentaine d’Algériens. Je n’arrive pas à le croire. Je ne laisserai pas ceux qui ont enlevé mon fils en paix », déclare cette femme d’une quarantaine d’années. « Je ne peux même pas l’enterrer. Tout comme ces marins déchiquetés. Ils n’ont trouvé que son sang. Comment pourrais-je lui faire une tombe ? Pour moi, il a été enlevé et tué au maquis. C’est une victime des tueurs », dit-elle à son mari avant que les policiers ne viennent chercher après lui. Le père Belkacemi est lui aussi très choqué. Parfois il se culpabilise de s’être chamaillé avec Nabil, la veille de son départ, mais précise que cette dispute ressemble à celles que tous les pères ont avec leurs enfants. « Je l’ai grondé et même frappé une fois, parce qu’il ne quittait plus la mosquée d’Apreuval et rôdait tout le temps avec l’imam et un autre adulte du quartier. Il s’est absenté de l’école et je me suis énervé parce que ce n’était pas de ses habitudes. Il est très studieux et respectueux », déclare le papa avant de tenir sa tête entre les mains et quitter précipitamment la maison. En fait, l’imam en question semble un multirécidiviste en endoctrinement puisque de nombreux jeunes de Kouba, y compris le fils de Ali Belhadj, ont pris le chemin du maquis grâce à ses prêches. Il est certain que les Belkacemi ne s’attendaient nullement à un tel drame avant que les policiers ne leur apprennent la nouvelle. Un drame qui, disent-ils, menace toutes les familles algériennes. « Nos enfants sont devenus la proie des criminels et tous les parents doivent être conscients de cela », lâche un des voisins des Belkacemi. Dans le communiqué diffusé samedi soir, le GSPC a rendu publics les noms des kamikazes. Abou Mossaâb Zerkaoui pour Dellys, sans pour autant divulguer le nom du deuxième kamikaze qui ont conduit le camion bourré de 800 kg d’explosifs pour exploser dans la cour de la caserne au moment de la levée des couleurs, à 7h45. Le GSPC affirme que l’attentat de Batna a été mené par Abou Mokdad El Wahrani qui avait une ceinture d’explosifs autour de sa taille. Fait troublant : le communiqué précise que l’attentat ciblait Bouteflika, mais le kamikaze ne pouvant l’atteindre, s’est fait exploser au milieu des forces de sécurité. L’organisation terroriste tente de tromper l’opinion publique en affirmant que les morts se comptaient parmi les services de sécurité.

    Salima Tlemçani

    === MODERATION ===
    Lisez la FAQ pour apprendre à rédiger correctement vos topics/messages : http://www.algerie-dz.com/forums/faq...edaction_topic

  • #2
    Dans les années 90 ils tuaient les enfants en les massacrant avec toute leur famille. Maintenant ils en font des kamikazes. joindre l'utile à l'agréable..

    Je suis écoeuré

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    • #3
      Le kamikaze de Dellys avait 15 ans
      Cest une blague ?!!!!!!!
      Nom de mille hyènes enragées

      Puréee de puréee !!! je ne pense pas que ces gens là qui l on transformé en bombe humaines sont des être humains, j arrive pas à croire mes yeux !!! puréeeeeee 15 ans !!!!!!!!!!

      Faut les tracker et les éliminer jusqu au dernier ces commenditaires, c est la seule solution. Une chance de se rendre leur a été donner, mnt qu ils crevent tous.
      Dernière modification par absent, 10 septembre 2007, 09h31.

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      • #4
        Il faut afficher entièrement l'article pour montrer toute l'empleur de la bétise des parents qui n'encadrent pas et ne surveillent pas assez leur enfants et les laisse fréquenter librement tous les criminels et les pourritures de la terre.

        ça ne sert à rien de pleurer maintenant que le mal est fait et leur fils a emporté avec lui des dizaines d'innocents.

        Dans ce coup là les parents ont une entière responsabilité.

        Maintenant que les terroristes voient leur rangs entièrement décimés et les maquis entièrement asséchés et les adultes ne croient plus à leur monsonges ils ne trouvent pas mieux que d'endocriner des enfants et de les enroler avec eux.

        Il avait à peine 15 printemps. Il y a près de deux mois, il s’apprêtait à passer son brevet d’enseignement moyen (BEM) au collège de Bourouba, à Bachdjarah (est d’Alger) lorsque des adultes ont changé le cours de sa destinée. D’un élève très sérieux, apprécié par ses camarades et ses voisins, Nabil s’est transformé en kamikaze, portant le pseudonyme de Abou Mossaâb Zerkaoui, un des chefs d’Al Qaïda tué par les Américains en Irak.

        Il s’est fait tuer dans le camion qui a explosé dans la caserne des gardes-côtes à Dellys en emportant une trentaine de marins et en causant de graves blessures à autant d’autres, en cette matinée du samedi 8 septembre. Dans un communiqué du GSPC revendiquant les attentats de Batna et de Dellys, Nabil apparaît avec un large sourire, portant une tenue militaire, la tête entourée d’un turban et entre les mains une kalachnikov. Dans son quartier, à la cité des Fonctionnaires de Bachdjarah, c’est la consternation. Le choc. Dans le désarroi, sa famille n’arrive pas à admettre. « Nabil est mon petit-fils préféré. C’est un enfant des plus respectueux et des plus calmes. Je l’ai vu grandir et jamais je n’aurais pensé un jour qu’il pouvait faire du mal à quelqu’un », déclare en pleurs sa grand-mère. La maison ne désemplit pas. Tout le monde vient exprimer sa compassion à la famille Belkacemi dont les parents ont été convoqués par la police. Les voisins sont unanimes à vanter l’éducation de Nabil, né en 1992 à la cité même, tout comme d’ailleurs celle de ses deux autres frères moins âgés que lui. « Il jouait au ballon et n’a jamais élevé sa voix ou manqué de respect aux habitants. C’est un garçon exemplaire », révèle un des voisins rencontrés sur les lieux. C’est en fin de journée que les Belkacemi arrivent complètement abattus et lourdement éprouvés. Ils refusent de revenir sur ce drame, mais ils acceptent de livrer quelques détails sur ce qui est arrivé à leur fils. « Il était le plus calme de mes enfants. Il étudiait normalement et devait passer son BEM cette année. Il aimait beaucoup jouer au football devant l’immeuble et tout le monde ici lui reconnaît sa bonne éducation. Il fait la prière mais n’a pas un comportement extrémiste. Il n’a jamais interdit la télévision ou la musique. Il ne laissait transparaître aucun geste ou acte qui pourrait exprimer son penchant vers l’extrémisme. Il ne parlait jamais de politique, encore moins du gouvernement ou des partis politiques. Puis, il a commencé à fréquenter régulièrement la mosquée d’Apreuval, à Kouba, tout en allant à l’école. Il ne s’est jamais absenté, jusqu’au jour où il a passé la nuit à la mosquée, puis il a disparu. Il m’a appelé sur un téléphone portable pour me dire de ne pas m’inquiéter et qu’il allait rentrer. C’était dix jours avant le BEM », raconte en pleurs sa mère. Elle s’arrête quelques moments puis reprend difficilement son récit. Elle essuie ses larmes et s’abreuve d’eau fraîche. « Il m’a dit : ‘‘Maman j’ai peur. Je ne sais pas où je suis. J’ai envie de m’enfuir mais j’ai peur qu’ils vous tuent. Ils m’ont averti que si jamais je leur échappais, ils s’en prendront à vous. Mais ne t’inquiètes pas, je trouverai l’occasion de fuir.’’ Puis il a raccroché. Il m’a rappelé deux ou trois fois seulement. J’ai informé tout le monde. J’ai tout fait pour le sauver mais ils ont fini par le tuer. Je sais qu’on l’a obligé à aller dans ce fourgon maudit pour tuer autant de marins. Je sais qu’il a voulu s’échapper et le chauffeur l’a retenu de force. Ce n’est qu’un gosse. Comment expliquer qu’un homme de 35 ans fréquente un enfant de 15 ans ? Laissez-moi faire mon deuil et je montrerai au monde entier ce dont sont capables ces gens-là. Ils sont en train de tuer nos enfants. Pourquoi n’ont-ils pas envoyé ceux qui écument les maquis depuis des années ? Pourquoi le choix des enfants ? Si c’était un adulte, je dirais qu’il n’a que ce qu’il mérite, mais ce n’est qu’un enfant que des adultes ont transformé en kamikaze », lance en pleurs la mère de Nabil. Cette mère éplorée estime que son fils ne vaut pas plus que cette trentaine de marins tués le matin du dimanche alors qu’ils levaient l’emblème national. « La mort de Nabil n’a pas été plus dure que de savoir qu’il a servi pour déchiqueter une trentaine d’Algériens. Je n’arrive pas à le croire. Je ne laisserai pas ceux qui ont enlevé mon fils en paix », déclare cette femme d’une quarantaine d’années. « Je ne peux même pas l’enterrer. Tout comme ces marins déchiquetés. Ils n’ont trouvé que son sang. Comment pourrais-je lui faire une tombe ? Pour moi, il a été enlevé et tué au maquis. C’est une victime des tueurs », dit-elle à son mari avant que les policiers ne viennent chercher après lui. Le père Belkacemi est lui aussi très choqué. Parfois il se culpabilise de s’être chamaillé avec Nabil, la veille de son départ, mais précise que cette dispute ressemble à celles que tous les pères ont avec leurs enfants. « Je l’ai grondé et même frappé une fois, parce qu’il ne quittait plus la mosquée d’Apreuval et rôdait tout le temps avec l’imam et un autre adulte du quartier. Il s’est absenté de l’école et je me suis énervé parce que ce n’était pas de ses habitudes. Il est très studieux et respectueux », déclare le papa avant de tenir sa tête entre les mains et quitter précipitamment la maison. En fait, l’imam en question semble un multirécidiviste en endoctrinement puisque de nombreux jeunes de Kouba, y compris le fils de Ali Belhadj, ont pris le chemin du maquis grâce à ses prêches. Il est certain que les Belkacemi ne s’attendaient nullement à un tel drame avant que les policiers ne leur apprennent la nouvelle. Un drame qui, disent-ils, menace toutes les familles algériennes. « Nos enfants sont devenus la proie des criminels et tous les parents doivent être conscients de cela », lâche un des voisins des Belkacemi. Dans le communiqué diffusé samedi soir, le GSPC a rendu publics les noms des kamikazes. Abou Mossaâb Zerkaoui pour Dellys, sans pour autant divulguer le nom du deuxième kamikaze qui ont conduit le camion bourré de 800 kg d’explosifs pour exploser dans la cour de la caserne au moment de la levée des couleurs, à 7h45. Le GSPC affirme que l’attentat de Batna a été mené par Abou Mokdad El Wahrani qui avait une ceinture d’explosifs autour de sa taille. Fait troublant : le communiqué précise que l’attentat ciblait Bouteflika, mais le kamikaze ne pouvant l’atteindre, s’est fait exploser au milieu des forces de sécurité. L’organisation terroriste tente de tromper l’opinion publique en affirmant que les morts se comptaient parmi les services de sécurité.

        Salima Tlemçani (El watan)

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        • #5
          mais que font nos politique?? c'est incroyable il n'y a pas une seule meusure prise pour essayer de stoper ce fléau et je m'adresse plus particulierement au ministre de l'education

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          • #6
            pffffffffffff incroyable, 15 ans, drarri

            quelqu'un aurait le lien de la revendication de l'attentat ?
            Un chemin de mille lieues commence toujours par un premier pas.
            Lap-tzu

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            • #7
              Envoyé par colonel snake
              mais que font nos politique?? c'est incroyable il n'y a pas une seule meusure prise pour essayer de stoper ce fléau et je m'adresse plus particulierement au ministre de l'education
              Le ministère de l'éducation sa mission s'arrete à l'école donc en dehors de l'école c'est les parents qui ont la responsabilité exclusive sur leur enfants.

              Franchement les parents de cet enfant sont des parents indignes.

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              • #8
                mais que font nos politique????????????????
                MOI JE SUIS FURIEUSE CONTRE LES PARENTS DE CE MOME , ?
                Voila a quoi méne le laxisme des parents inconscient que le monde est plein de danger pour des enfants sans sens de la réalité & des responsabilités :22:
                ¸.¤*¨¨*¤.¸¸...¸.
                \¸.♥ ALGERIE ♥.¸¸.
                .\¸.¤*¨¨*¤.¸¸.¸.¤
                ..\

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                • #9
                  Mendz,

                  Franchement les parents de cet enfant sont des parents indignes.
                  ça pourrait être ton fils si tu as des enfants.

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                  • #10
                    Cela prouve encore plus que les commanditaires sont les pires criminels. Comment font-il pour dominer une personne au point de l'envoyer se tuer ainsi.

                    Cet enfant n'a aucune conscience de ce qu'il fait, c'est impossible. Nous faire croire qu'il le fait pour des raisons "idéologiques", nous sommes loin. Il y a beaucoup de manipulation derrière tout cela. Je pense qu'ils sont drogués, on ne peut faire un tel acte en étant conscient. J'ai vu déjà comment en Afrique il droguaient les enfants soldats pour qu'ils tuent !

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                    • #11
                      Il jouait au ballon et n’a jamais élevé sa voix ou manqué de respect aux habitants. C’est un garçon exemplaire », révèle un des voisins
                      Si on se base sur cette citation ,ça reflete la bonne education que cet enfant avait reçu de ses parents .
                      وألعن من لم يماشي الزمان ،و يقنع بالعيش عيش الحجر

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                      • #12
                        Envoyé par Akouvli
                        ça pourrait être ton fils si tu as des enfants.
                        Oui biensur, si j'était un parent irresponsable qui laisse trainer mon enfant avec n'importe qui, je le laisse meme dormir dehors avec des inconnus sans problème, et ne me questionne jamais sur ses fréquentations.

                        Il faut se dire qu'il y a un laisser aller terrible en Algérie et celà à tous les niveaux sans une exception auccune.

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                        • #13
                          Selon El Watan, le père a déclaré :

                          "Le père Belkacemi est lui aussi très choqué. Parfois il se culpabilise de s’être chamaillé avec Nabil, la veille de son départ, mais précise que cette dispute ressemble à celles que tous les pères ont avec leurs enfants. « Je l’ai grondé et même frappé une fois, parce qu’il ne quittait plus la mosquée d’Apreuval et rôdait tout le temps avec l’imam et un autre adulte du quartier. Il s’est absenté de l’école et je me suis énervé parce que ce n’était pas de ses habitudes. Il est très studieux et respectueux », déclare le papa avant de tenir sa tête entre les mains et quitter précipitamment la maison."
                          http://www.elwatan.com/spip.php?page..._article=75952

                          Je constate que rares sont ceux qui ont LU les articles en lien et se permettent de commenter et critiquer.
                          Dernière modification par MbAbA, 10 septembre 2007, 11h13.

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                          • #14
                            Des Mosquées et des Imams qui créent des Monstres

                            « Je l’ai grondé et même frappé une fois, parce qu’il ne quittait plus la mosquée d’Apreuval et rôdait tout le temps avec l’imam et un autre adulte du quartier. Il s’est absenté de l’école et je me suis énervé parce que ce n’était pas de ses habitudes. Il est très studieux et respectueux », déclare le papa avant de tenir sa tête entre les mains et quitter précipitamment la maison. En fait, l’imam en question semble un multirécidiviste en endoctrinement puisque de nombreux jeunes de Kouba, y compris le fils de Ali Belhadj, ont pris le chemin du maquis grâce à ses prêches. Il est certain que les Belkacemi ne s’attendaient nullement à un tel drame avant que les policiers ne leur apprennent la nouvelle. Un drame qui, disent-ils, menace toutes les familles algériennes. « Nos enfants sont devenus la proie des criminels et tous les parents doivent être conscients de cela », lâche un des voisins des Belkacemi.
                            Au vu et au su de tous les algériens, gouvernement et peuple, notre société écoutent chaque vendredi des prêchent qui sèment la haine et l’hostilité envers tous les infidèles de la planète, occidentaux qu'ils soient ou algériens.
                            Ils enseignent les ‘meilleures’ recettes à faire face au soit disant fléau des ennemis de l'islam et ceux qui complotent contre la nation.
                            La société ne fait que payer et subir les conséquences de son hypocrisie.

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                            • #15
                              jE PENSE QUE LES PARENTS DE CE GAMIN SONT RESPONSABLES , C 'EST à FORCE D'ENTENDRE ces parents jeter leur echec sur l'etat que ces enfants tombent entre les griffes de l'integrtisme alors le choix de l'enfant est vite fait.
                              ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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