Tweet
L’essentiel de la journée d’information son le thème de Ramadhan et le diabète” organisée le 6 septembre à la maison de culture de Béjaïa par l’association des diabétiques Assiren, a été dit par l’imam Mohamed Latiane, directeur des affaires religieuse la wilaya de Béjaïa.
Après avoir devant plusieurs présidents d’associations de diabétiques venus de différentes wilaya et devant un nombreux public, cité la souate du Coran qui traité du Ramadhan et des conditions dans lesquelles il est permis aux musulmans de ne pas jeûner et mis en relief la différence qui existe entre ceux qui sont pour une raison ou une autre (voyage, maladie) momentanément dans l’obligation de rompre le jeûne qu’ils devront par la suite compenser par une nourriture aux pauvres et par jeûne d’un nombre de jours égaux à jeûner des jours un jeunes et les malades chroniques à qui le jeûne causerait beaucoup de mal et qui ne sont pas malades ou incurables, l’imam a indiqué la somme à payer par jour aux pauvres par le malade qui ne peut jeûner. Il s’agit, précise l’imam d’un “Moude”, soit l’équivalent du creux de deux mains réunies de la nourriture que le malade mange habituellement soit 480 grammes de semoule ou 500 grammes pour arrondir, soit pour arrondir encore la somme de 30 DA par jour soit 900 DA pour tout le mois du Ramadhan.
Au cours de son intervention l’imam a souligné qu’il appartient aux médecins tratants croyants et à eux seuls de prescrire ou non la pratique du jeûne pendant le mois de Ramadhan.
A noter que certains malades habitués dès l’âge de 13 ou 14 ans à observer le jeûne du mois de Ramadhan ne peuvent, la quarantaine passée, se resoudre à “manger” le Ramadhan malgré qu’ils soient diabétiques insulinodépendants et malgré la prescription du médecin du travail ainsi le risque d’hypoglycémie et celle de coma qui pourrait s’en suivre.
Par ailleurs et en marge de la journée d’information sur le Ramadhan et le diabète, les présidents des associations de diabétiques venus des différents wilayas dont, entre auitres, Guelma, Annaba, M’sila, Skikda, Batna, El-Oued, Sétif, se sont réunis et ont tiré à boulets rouges sur le président de la Fédération nationale des diabétiques pour ses pratiques antidémocratiques qui est loin des préoccupations des malades.
Après un débat riche en enseignements, ils ont décidé la mise sur pied d’une commission composée de six personnes à l’effet, soulignent-ils “d’ester en justice le président de la Fédération nationale des diabétiques pour unsurpation de fonction et d’annuler les élections du 23 mars 2007 à l’hôtel Aurassi où il a été désigné directement d’avant l’élection du bureau de la Fédération qui devait l’élire ou le désigner. Les président d’avocats des diabétiques revenus à Béjaïa reprochent surtout au président de la Fédération l’absence de présentation des bilans moral et financier et la gestion approximative des dons faits par différents organismes au profit exclusif des diabétques.
Par La Dépêche de Kabylie
Après avoir devant plusieurs présidents d’associations de diabétiques venus de différentes wilaya et devant un nombreux public, cité la souate du Coran qui traité du Ramadhan et des conditions dans lesquelles il est permis aux musulmans de ne pas jeûner et mis en relief la différence qui existe entre ceux qui sont pour une raison ou une autre (voyage, maladie) momentanément dans l’obligation de rompre le jeûne qu’ils devront par la suite compenser par une nourriture aux pauvres et par jeûne d’un nombre de jours égaux à jeûner des jours un jeunes et les malades chroniques à qui le jeûne causerait beaucoup de mal et qui ne sont pas malades ou incurables, l’imam a indiqué la somme à payer par jour aux pauvres par le malade qui ne peut jeûner. Il s’agit, précise l’imam d’un “Moude”, soit l’équivalent du creux de deux mains réunies de la nourriture que le malade mange habituellement soit 480 grammes de semoule ou 500 grammes pour arrondir, soit pour arrondir encore la somme de 30 DA par jour soit 900 DA pour tout le mois du Ramadhan.
Au cours de son intervention l’imam a souligné qu’il appartient aux médecins tratants croyants et à eux seuls de prescrire ou non la pratique du jeûne pendant le mois de Ramadhan.
A noter que certains malades habitués dès l’âge de 13 ou 14 ans à observer le jeûne du mois de Ramadhan ne peuvent, la quarantaine passée, se resoudre à “manger” le Ramadhan malgré qu’ils soient diabétiques insulinodépendants et malgré la prescription du médecin du travail ainsi le risque d’hypoglycémie et celle de coma qui pourrait s’en suivre.
Par ailleurs et en marge de la journée d’information sur le Ramadhan et le diabète, les présidents des associations de diabétiques venus des différents wilayas dont, entre auitres, Guelma, Annaba, M’sila, Skikda, Batna, El-Oued, Sétif, se sont réunis et ont tiré à boulets rouges sur le président de la Fédération nationale des diabétiques pour ses pratiques antidémocratiques qui est loin des préoccupations des malades.
Après un débat riche en enseignements, ils ont décidé la mise sur pied d’une commission composée de six personnes à l’effet, soulignent-ils “d’ester en justice le président de la Fédération nationale des diabétiques pour unsurpation de fonction et d’annuler les élections du 23 mars 2007 à l’hôtel Aurassi où il a été désigné directement d’avant l’élection du bureau de la Fédération qui devait l’élire ou le désigner. Les président d’avocats des diabétiques revenus à Béjaïa reprochent surtout au président de la Fédération l’absence de présentation des bilans moral et financier et la gestion approximative des dons faits par différents organismes au profit exclusif des diabétques.
Par La Dépêche de Kabylie
Commentaire