Six ans après le 11 septembre 2001 Guerre silencieuse autour d'un drame
lequotidien-oran.com
par A. A. D de Washington
Six ans après le drame du 11 septembre 2001 à New York et Washington, où quelque 3.000 personnes ont trouvé la mort, l’on est toujours au stade de l’accusation initiale lancée à chaud par les médias américains, selon laquelle 19 Arabes munis de cutters et affiliés à El-Qaïda en sont les auteurs.
Aucune investigation sérieuse n’est venue depuis lors confirmer ou infirmer cette version devenue consensuelle avec le temps.
Cependant, durant ces dernières années aux Etats-Unis, loin des plateaux de télévision et des rédactions d’agences de presse et de journaux, une guerre silencieuse autour de la vérité des événements a pris forme et s’est installée. C’est sur le Net qui permet désormais une plus grande liberté d’expression par rapport aux médias classiques que des protagonistes ont choisi d’étaler leurs preuves et arguments. Trois groupes d’acteurs, en effet, se livrent à une confrontation à distance. Le premier groupe est conduit par Christopher Bollyn (www.Bollyn.com), un journaliste indépendant dont les investigations et les écrits ont apporté un éclairage nouveau sur des faits importants passés sous silence par les médias dominants, Eric Hufschmid, auteur d’un livre d’images haute résolution sur l’effondrement des deux tours jumelles du World Trade Center (www.Iamthewitness.com) et Daryl Bradford Smith, un animateur d’une radio internet installé en France. Le second groupe est constitué de Webster Tarpley, Alex Jones, Wayne Madsen, David Ray Griffin et autres animateurs du Mouvement pour la Vérité (911 truth-org, scolars for 911 truth, 911 blogger, etc.). Tarpley et Jones, par exemple, ont sillonné l’Amérique du Nord et l’Europe pour promouvoir une version des faits, selon laquelle Dick Cheney, le vice-président américain, serait l’instigateur du 11 septembre 2001. Le dernier groupe, si on peut l’appeler ainsi, est constitué par la puissante et redoutable association ADL (ligue anti-diffamation) qui veille au grain et qui riposte par des lynchages médiatiques chaque fois qu’une voix se lève, où une piste de recherche évoque l’implication d’Israël ou de son bras secret, le Mossad, dans les événements. Cette guerre virtuelle fut acharnée par moments et avait même débordé sur le réel d’un des protagonistes, Christopher Bollyn en l’occurrence, qui a eu des démêlés avec la justice qui l’ont poussé à la clandestinité et à l’exil.
Christopher Bollyn est un journaliste indépendant qui travaillait à American Free Press, un hebdomadaire paraissant à Washington, avant d’être licencié pour des raisons extra-professionnelles. Ses investigations et articles ont abouti à plusieurs découvertes très intéressantes à la compréhension de ce qui s’est passé avant et après le drame. Cependant, parce que ses révélations ne soutiennent pas la version officielle des faits, il a fait l’objet d’une série de campagnes qui ont visé à le discréditer. Il s’est vu appelé, entre autres, «théoricien anti-gouvernement de la conspiration» et accusé d’antisémitisme. Le 15 août 2006, trois policiers en civil, selon ses dires, se sont présentés à son domicile situé dans la banlieue de Chicago, dans l’Illinois, et ont procédé à son arrestation de manière brutale. Ils l’auraient électrocuté avec un Taser (pistolet électrique de 50.000 volts), alors qu’il était immobilisé au sol. Son coude droit a été fracturé devant son épouse et sa fille de 8 ans. Plus tard, il fut accusé de résistance à arrestation. Durant son procès, la police a refusé de présenter la vidéo de son arrestation enregistrée systématiquement par une caméra placée à l’intérieur du véhicule sous prétexte que la vidéo en question a été recyclée. La police venait, par ce fait, de commettre une infraction à son propre règlement. Il fut reconnu, le 5 juin dernier, coupable des faits qui lui sont reprochés. Le 25 juin, jour du prononcé de la sentence, Christopher Bollyn ne s’est pas présenté au tribunal et s’est éclipsé depuis. Qu’a-t-il écrit pour mériter de tels ennuis ? Pour le savoir, faisons une halte dans son site Web. Plusieurs de ses articles ont été traduits en français et sont disponibles sur d’autres sites.
LES CINQ DANSEURS
Le 11 septembre 2001, vers midi, une information fut rapportée et reprise par l’ensemble des médias américains, selon laquelle cinq personnes, moyen-orientales d’apparence, ont été vues à New Jersey en train de filmer et célébrer l’effondrement du Wold Trade Center (WTC).
Pour des millions d’Américains qui associent automatiquement Moyen-Orient avec Arabes, cette information a planté dans leur tête l’idée que des Arabes du Moyen-Orient sont derrière l’attaque terroriste de New York et Washington. Ce cheminement de pensée devint rapidement la seule version acceptable pour les médias, et même si, par la suite, elle n’a pas été prouvée, elle resta la version officielle du 11 Septembre.
Plus tard, lorsque ces cinq personnes furent arrêtées non loin de Hudson River et qu’elles se sont avérées être des Israéliens, les médias n’ont pas daigné apporter des correctifs ou des mises à jour.
Les cinq hommes qui se sont photographiés souriant et dansant, avec en arrière-plan les tours jumelles en flammes, sont de nationalité israélienne et nommés: Siran et Paul Kurzberg, Oded Ellner, Omer Marmari et Yaron Schumel. Ils se faisaient passer pour des employés de déménagement d’une compagnie dénommée Urban Moving Systems. Lorsque la police a arrêté leur camionnette, elle y a trouvé des habits arabes, des cutters, des liasses d’argent, une multitude de passeports et leurs visas de séjour expirés. L’information de leur arrestation a été rapportée le lendemain par un journal local de New Jersey, The Bergen Record, mais n’a pas été reprise par les médias lourds. Ils furent incarcérés à la prison de Brooklyn. Après dix semaines de détention durant lesquelles ils n’ont pas été interrogés, ils ont été expulsés vers Israël pour infraction de séjour illégal. Le 21 novembre 2001, hormis les deux frères Kurzberg qui seraient des agents du Mossad, les trois autres sont montrés dans une émission de télévision israélienne et l’un d’eux a affirmé qu’il était allé pour filmer l’événement, en d’autres termes, il en avait eu connaissance avant sa survenue. Des rapports de presse ont relevé que durant les mois qui ont suivi le 11 Septembre, quelque 200 jeunes Israéliens, parmi eux des anciens militaires, ont été arrêtés puis renvoyés en Israël sans aucune investigation. Dominic Suter, le propriétaire de la compagnie de déménagement Urban Moving Systems, et premier suspect, a été autorisé à quitter les Etats-Unis à destination d’Israël avant que le FBI ne l’interroge une deuxième fois.
lequotidien-oran.com
par A. A. D de Washington
Six ans après le drame du 11 septembre 2001 à New York et Washington, où quelque 3.000 personnes ont trouvé la mort, l’on est toujours au stade de l’accusation initiale lancée à chaud par les médias américains, selon laquelle 19 Arabes munis de cutters et affiliés à El-Qaïda en sont les auteurs.
Aucune investigation sérieuse n’est venue depuis lors confirmer ou infirmer cette version devenue consensuelle avec le temps.
Cependant, durant ces dernières années aux Etats-Unis, loin des plateaux de télévision et des rédactions d’agences de presse et de journaux, une guerre silencieuse autour de la vérité des événements a pris forme et s’est installée. C’est sur le Net qui permet désormais une plus grande liberté d’expression par rapport aux médias classiques que des protagonistes ont choisi d’étaler leurs preuves et arguments. Trois groupes d’acteurs, en effet, se livrent à une confrontation à distance. Le premier groupe est conduit par Christopher Bollyn (www.Bollyn.com), un journaliste indépendant dont les investigations et les écrits ont apporté un éclairage nouveau sur des faits importants passés sous silence par les médias dominants, Eric Hufschmid, auteur d’un livre d’images haute résolution sur l’effondrement des deux tours jumelles du World Trade Center (www.Iamthewitness.com) et Daryl Bradford Smith, un animateur d’une radio internet installé en France. Le second groupe est constitué de Webster Tarpley, Alex Jones, Wayne Madsen, David Ray Griffin et autres animateurs du Mouvement pour la Vérité (911 truth-org, scolars for 911 truth, 911 blogger, etc.). Tarpley et Jones, par exemple, ont sillonné l’Amérique du Nord et l’Europe pour promouvoir une version des faits, selon laquelle Dick Cheney, le vice-président américain, serait l’instigateur du 11 septembre 2001. Le dernier groupe, si on peut l’appeler ainsi, est constitué par la puissante et redoutable association ADL (ligue anti-diffamation) qui veille au grain et qui riposte par des lynchages médiatiques chaque fois qu’une voix se lève, où une piste de recherche évoque l’implication d’Israël ou de son bras secret, le Mossad, dans les événements. Cette guerre virtuelle fut acharnée par moments et avait même débordé sur le réel d’un des protagonistes, Christopher Bollyn en l’occurrence, qui a eu des démêlés avec la justice qui l’ont poussé à la clandestinité et à l’exil.
Christopher Bollyn est un journaliste indépendant qui travaillait à American Free Press, un hebdomadaire paraissant à Washington, avant d’être licencié pour des raisons extra-professionnelles. Ses investigations et articles ont abouti à plusieurs découvertes très intéressantes à la compréhension de ce qui s’est passé avant et après le drame. Cependant, parce que ses révélations ne soutiennent pas la version officielle des faits, il a fait l’objet d’une série de campagnes qui ont visé à le discréditer. Il s’est vu appelé, entre autres, «théoricien anti-gouvernement de la conspiration» et accusé d’antisémitisme. Le 15 août 2006, trois policiers en civil, selon ses dires, se sont présentés à son domicile situé dans la banlieue de Chicago, dans l’Illinois, et ont procédé à son arrestation de manière brutale. Ils l’auraient électrocuté avec un Taser (pistolet électrique de 50.000 volts), alors qu’il était immobilisé au sol. Son coude droit a été fracturé devant son épouse et sa fille de 8 ans. Plus tard, il fut accusé de résistance à arrestation. Durant son procès, la police a refusé de présenter la vidéo de son arrestation enregistrée systématiquement par une caméra placée à l’intérieur du véhicule sous prétexte que la vidéo en question a été recyclée. La police venait, par ce fait, de commettre une infraction à son propre règlement. Il fut reconnu, le 5 juin dernier, coupable des faits qui lui sont reprochés. Le 25 juin, jour du prononcé de la sentence, Christopher Bollyn ne s’est pas présenté au tribunal et s’est éclipsé depuis. Qu’a-t-il écrit pour mériter de tels ennuis ? Pour le savoir, faisons une halte dans son site Web. Plusieurs de ses articles ont été traduits en français et sont disponibles sur d’autres sites.
LES CINQ DANSEURS
Le 11 septembre 2001, vers midi, une information fut rapportée et reprise par l’ensemble des médias américains, selon laquelle cinq personnes, moyen-orientales d’apparence, ont été vues à New Jersey en train de filmer et célébrer l’effondrement du Wold Trade Center (WTC).
Pour des millions d’Américains qui associent automatiquement Moyen-Orient avec Arabes, cette information a planté dans leur tête l’idée que des Arabes du Moyen-Orient sont derrière l’attaque terroriste de New York et Washington. Ce cheminement de pensée devint rapidement la seule version acceptable pour les médias, et même si, par la suite, elle n’a pas été prouvée, elle resta la version officielle du 11 Septembre.
Plus tard, lorsque ces cinq personnes furent arrêtées non loin de Hudson River et qu’elles se sont avérées être des Israéliens, les médias n’ont pas daigné apporter des correctifs ou des mises à jour.
Les cinq hommes qui se sont photographiés souriant et dansant, avec en arrière-plan les tours jumelles en flammes, sont de nationalité israélienne et nommés: Siran et Paul Kurzberg, Oded Ellner, Omer Marmari et Yaron Schumel. Ils se faisaient passer pour des employés de déménagement d’une compagnie dénommée Urban Moving Systems. Lorsque la police a arrêté leur camionnette, elle y a trouvé des habits arabes, des cutters, des liasses d’argent, une multitude de passeports et leurs visas de séjour expirés. L’information de leur arrestation a été rapportée le lendemain par un journal local de New Jersey, The Bergen Record, mais n’a pas été reprise par les médias lourds. Ils furent incarcérés à la prison de Brooklyn. Après dix semaines de détention durant lesquelles ils n’ont pas été interrogés, ils ont été expulsés vers Israël pour infraction de séjour illégal. Le 21 novembre 2001, hormis les deux frères Kurzberg qui seraient des agents du Mossad, les trois autres sont montrés dans une émission de télévision israélienne et l’un d’eux a affirmé qu’il était allé pour filmer l’événement, en d’autres termes, il en avait eu connaissance avant sa survenue. Des rapports de presse ont relevé que durant les mois qui ont suivi le 11 Septembre, quelque 200 jeunes Israéliens, parmi eux des anciens militaires, ont été arrêtés puis renvoyés en Israël sans aucune investigation. Dominic Suter, le propriétaire de la compagnie de déménagement Urban Moving Systems, et premier suspect, a été autorisé à quitter les Etats-Unis à destination d’Israël avant que le FBI ne l’interroge une deuxième fois.
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