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Maroc: concertations du roi pour nommer le Premier ministre

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    Maroc: concertations du roi pour nommer le Premier ministre

    RABAT - Le roi Mohammed VI du Maroc a reçu à Casablanca les dirigeants des six principaux partis politiques dans l'optique de nommer un premier ministre après les élections législatives du 7 septembre, a-t-on indiqué jeudi de source officielle.
    Il s'agit des dirigeants de l'Istiqlal (nationaliste), du Parti justice et développement (PJD, islamiste), du Mouvement Populaire (MP, centre), du Rassemblement National des Indépendants (RNI, centre droit), de l'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP) et de l'Union Constitutionnelle (UC, droite), a indiqué l'agence marocaine Map.
    Tous ces partis ont remporté chacun plus de 20 sièges lors des législatives du 7 septembre, minimum exigé pour constituer un groupe parlementaire, selon la même source. L'Istiqlal, lors de ce scrutin, est arrivé en tête des partis en lice avec 52 députés, suivi du PJD et du MP.
    A l'issue de son entrevue avec le roi, le chef de l'Istiqlal Abbas el Fassi a affirmé que le roi "entendait être à l'écoute de toutes les sensibilités politiques en prélude à la désignation du Premier ministre".
    Pour sa part, Saad Eddine Othmani, dirigeant du PJD a déclaré que son parti restait ouvert à toutes les éventualités et se prononcerait sur sa participation au prochain gouvernement une fois le Premier ministre désigné, et en fonction de l'invitation qui lui sera faite et des portefeuilles qui lui seront proposés", a ajouté le dirigeant islamiste.
    Quant au premier secrétaire de l'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP), Mohamed El Yazghi, qui a été le grand perdant du scrutin, il a laissé entendre que son parti était prêt à siéger au gouvernement avec ses alliés traditionnels alors que des militants sont tentés par le passage à l'opposition.
    "L'USFP s'engage à poursuivre l'action dans le cadre de la Koutla démocratique", a-t-il dit. Il s'agit de l'alliance scellée en 1992 sous le règne du roi Hassan II, entre l'Istiqlal, l'USFP et le Parti du progrès et du socialisme (PPS) - qui étaient tous des partis d'opposition à l'époque.
    (©AFP / 13 septembre 2007 21h47)


  • #2
    peut importe qui il nomera,les decisions viendront toujours de lui,quelle blague.

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    • #3
      non loula ca a beaucoup d'imporatance car c'est le premierr ministre qui fait le travail sur le terrain.

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      • #4
        Personne ne peut nier l'effet JETTOU
        l'affaire Renault n'est qu'un petit exemple
        Un Karim Lamrani, ou Abdellatif Filali naurait jamais eu le même résultats malgrè toute la volonté de M6. D'ailleurs lors des deux années M6-Youssefi, la cadence des reformes était nettement moins rapide qu'avec Jettou


        Les six premiers moins Jettou a expedié des dossiers qui ont fermeté pendant 20 ans sans que personne n'ose les faire bouger : La legislation du travail, les sociétés agricoles étatiques ... . . .. .. . Six mois ont suffit
        .
        .
        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
        Napoléon III

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        • #5
          éxactement Pihman,on peut faire une analogie avec les militaires:le roi c'est le ministre de la defense et le premier ministre est le chef d'etat major des armées. évidemment quand t'as un mauvais chef d'etat major tes chances de succes pendant la bataille sont minces.

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          • #6
            Moi je viens bien Hjira comme prime minister



            il risque de se retrouver seul au gouvernement après 5 ans de fonction, tellement il carbure au kerozene
            .
            .
            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
            Napoléon III

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