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Capable de toutes les bassesses, celui qui devait présider aux destinées de trente millions d'Algériens et qui était plébiscité par eux, se met à manger à tout les râteliers!!! Lisez plutôt:
Ce qui pourrait constituer une trahison par rapport à son pays d’origine. Ahmed Zaoui proposerait des informations relatives aux activités de terroristes et groupes terroristes sévissant en Algérie ou ailleurs dans le monde.
Cet ancien dirigeant du FIS dissous aurait tenté de «doubler» les services secrets de Nouvelle-Zélande au bénéfice de la CIA, selon le «New Zealand Herald». A en croire cette publication, une sorte d’«agent double» à la recherche de soutiens et de retentissements à des informations infondées.
Découvrant le double jeu auquel s’adonne cet ancien dirigeant du parti dissous de Abassi Madani, les services secrets de Nouvelle-Zélande ont fini par lui retirer leur confiance. Il se trouve par conséquent sans protection, avec, en prime, le risque d’ouverture d’une autre instruction judiciaire à son encontre suite à ses propos tenus çà et là. Dans une telle situation, il pourrait même risquer l’expulsion vers l’Algérie. Il aurait, selon des sources, trouvé une solution pour éviter cette expulsion : bénéficier de la protection de la puissante église anglicane.
Ce que Ahmed Zaoui s’apprêterait à faire, selon une source, afin de ne pas se retrouver sans appuis. Si cette information s’avérait vraie, cet ancien dirigeant du FIS dissous qui aurait trahi, en quelque sorte, son pays en se mettant à la disposition de services secrets de pays étrangers, franchirait, de cette façon, un autre pas vers la trahison.
Ahmed Zaoui a d’abord été soupçonné d’avoir donné des informations à des services de renseignements étrangers sur des éléments du GIA. Il s’était enfui du pays en direction de la France, avant de se diriger vers le Vietnam où il a séjourné durant deux années dans une prison de haute sécurité, avant de se diriger, cette fois, vers la Nouvelle-Zélande.
La direction de la surveillance du territoire (DST, services secrets français) avait informé ses homologues de Nouvelle-Zélande que Ahmed Zaoui circulait avec un faux passeport sud-africain. Arrêté, cet ancien dirigeant de l’ex-FIS avait été relâché, sans aucune explication, par les autorités de Nouvelle-Zélande.
La collaboration de cet ex-membre du FIS dissous avec ces services secrets ne faisait que commencer. Ahmed Zaoui aurait même multiplié ses collaborations en optant, cette fois, pour la CIA, au grand dam des SIS.
Les prouesses d’un ancien dirigeant du parti dissous de Abassi Madani qui viendraient s’ajouter à d’autres réalisées par d’autres membres de l’ex-FIS.
A rappeler que dès les premiers jours qui ont succédé à la crise née du bras de fer entre ce parti dissous et l’Etat, le numéro un de ce parti dissous, Abassi Madani en l’occurrence, a fait quitter le territoire national à ses enfants en direction de l’Allemagne, tandis que des citoyens étaient appelés par certains autres dirigeants du FIS dissous à rejoindre les maquis pour tuer et mourir.
Article tiré du Quotidien Le jour d'Algérie
Ce qui pourrait constituer une trahison par rapport à son pays d’origine. Ahmed Zaoui proposerait des informations relatives aux activités de terroristes et groupes terroristes sévissant en Algérie ou ailleurs dans le monde.
Cet ancien dirigeant du FIS dissous aurait tenté de «doubler» les services secrets de Nouvelle-Zélande au bénéfice de la CIA, selon le «New Zealand Herald». A en croire cette publication, une sorte d’«agent double» à la recherche de soutiens et de retentissements à des informations infondées.
Découvrant le double jeu auquel s’adonne cet ancien dirigeant du parti dissous de Abassi Madani, les services secrets de Nouvelle-Zélande ont fini par lui retirer leur confiance. Il se trouve par conséquent sans protection, avec, en prime, le risque d’ouverture d’une autre instruction judiciaire à son encontre suite à ses propos tenus çà et là. Dans une telle situation, il pourrait même risquer l’expulsion vers l’Algérie. Il aurait, selon des sources, trouvé une solution pour éviter cette expulsion : bénéficier de la protection de la puissante église anglicane.
Ce que Ahmed Zaoui s’apprêterait à faire, selon une source, afin de ne pas se retrouver sans appuis. Si cette information s’avérait vraie, cet ancien dirigeant du FIS dissous qui aurait trahi, en quelque sorte, son pays en se mettant à la disposition de services secrets de pays étrangers, franchirait, de cette façon, un autre pas vers la trahison.
Ahmed Zaoui a d’abord été soupçonné d’avoir donné des informations à des services de renseignements étrangers sur des éléments du GIA. Il s’était enfui du pays en direction de la France, avant de se diriger vers le Vietnam où il a séjourné durant deux années dans une prison de haute sécurité, avant de se diriger, cette fois, vers la Nouvelle-Zélande.
La direction de la surveillance du territoire (DST, services secrets français) avait informé ses homologues de Nouvelle-Zélande que Ahmed Zaoui circulait avec un faux passeport sud-africain. Arrêté, cet ancien dirigeant de l’ex-FIS avait été relâché, sans aucune explication, par les autorités de Nouvelle-Zélande.
La collaboration de cet ex-membre du FIS dissous avec ces services secrets ne faisait que commencer. Ahmed Zaoui aurait même multiplié ses collaborations en optant, cette fois, pour la CIA, au grand dam des SIS.
Les prouesses d’un ancien dirigeant du parti dissous de Abassi Madani qui viendraient s’ajouter à d’autres réalisées par d’autres membres de l’ex-FIS.
A rappeler que dès les premiers jours qui ont succédé à la crise née du bras de fer entre ce parti dissous et l’Etat, le numéro un de ce parti dissous, Abassi Madani en l’occurrence, a fait quitter le territoire national à ses enfants en direction de l’Allemagne, tandis que des citoyens étaient appelés par certains autres dirigeants du FIS dissous à rejoindre les maquis pour tuer et mourir.
Article tiré du Quotidien Le jour d'Algérie
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