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Iran: El Baradei condamne les propos de Kouchner.

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  • Iran: El Baradei condamne les propos de Kouchner.

    Les massacres des Palestiniens de Sabra et Chatila sous les yeux de l'armée israélienne datent déja de 25 ans.
    Une pensée pour ces hommes et ces femmes.

  • #2
    Je crois qu'un topic a déja été ouvert. Mes pensées vont à toutes les victimes de la guerre libanaise.

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    • #3
      Hommage aux malheureuse victimes de la lâcheté chréto-sioniste , en se mois de ramadhan je prierais encore pour eux en même temps que toutes les autres victimes !!.

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      • #4
        Ce ne sont pas les chrétiens qui ont commencé les massacres confessionnels au Liban, le premier massacre a été perpetré par des palestiniens sur des chrétiens, il a fait 500 morts à Damour.

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        • #5
          Aanis

          "le premier massacre a été perpetré par des palestiniens sur des chrétiens, il a fait 500 morts à Damour."

          1- cela est faux, il y avait eu précedemment d'autres massacres.
          2- Mais Aanis, vous avez une drôle de conception. Vous parlez en terme de "chrétiens" et de "musulmans". Je refuse de rentrer dans votre raisonnement, ce raisonnement tribal: "eux", "nous". Pour moi les victimes ne font pas partie d'un camp ou d'un autre. Ils font tous partie de ma tribu.

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          • #6
            Kouchner: la voix d'Israël.

            Kouchner se rallie aux néo-conservateurs US, eux mêmes bien influencé par le lobby sioniste aux USA (voir à ce propos le document de ces universitaires américains analysant comment Israël mène par le bout du nez les choix militaires US. Le document était paru dans le Monde.

            Kouchner est vraiment la voix d'Israël. Je comprend qu'on ne l'ait jamais vu un sac de riz sur l'épaule à Gaza.

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            • #7
              Je crois que, bien qu'il soit athée, kouchner est d'origine juive. Et comme la majorité des juifs sont sionistes...

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              • #8
                Salah

                Salah, ya khouya, tu t'engages là sur une voie sans issue.
                Attention, ne mélangeons pas.
                Il y a pas mal de non Juifs qui soutiennent Israël.
                Comme il y a pas mal de Juifs qui ne soutiennent pas le sionisme (voir la jeunesse israélienne de Tel Aviv qui ne pense qu'à la plage et aux discothèques. Seuls 3 d'entre eux sur 129 sont morts au Liban. Ils font tous pour échapper à l'armée).

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                • #9
                  Un avis sur le site de Kouchner

                  EuroPalestine-Capjpo note sur son site qu'on peut donner son avis sur la diplomatie française.
                  Pour trouver ce site il suffit de faire:
                  diplomatie.gouv.fr


                  On ne va pas s'en priver.

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                  • #10
                    Iran: le PCF condamne la position de Kouchner.

                    Iran : le PCF condamne une confirmation dangereuse de la politique atlantiste de Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner

                    Bernard Kouchner, Ministre des Affaires étrangères, vient de confirmer ce que le Président Nicolas Sarkozy avait déjà annoncé. Non seulement l’ Union européenne, à l’ initiative de la France, va renforcer les sanctions contre l’ Iran sans mandat, sans résolution de l’ ONU, mais il faudrait maintenant « se préparer au pire », c’est à dire à la guerre.

                    (suite de l'article sur le site PCF).

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                    • #11
                      Iran: Bayrou condamne les propos de Kouchner.

                      M. Bayrou estime que "l'alignement de la France sur Bush n'est pas une bonne chose"
                      LE MONDE | 18.09.07 | 09h34 • Mis à jour le 18.09.07 | 09h34


                      Bernard Kouchner a invité la population à "s'attendre au pire", c'est-à-dire à la guerre avec l'Iran. Comment jugez-vous cette dramatisation ?

                      Que le ministre des affaires étrangères français dise qu'il faut se préparer à la guerre, c'est évidemment un événement lourd. C'est une situation sans précédent, qui n'est pas approuvée par les autres démocraties en dehors de l'Amérique.



                      C'est le énième signe qui montre qu'une rupture, en effet, est intervenue, un tournant a été pris. Et ce tournant, c'est le choix de Nicolas Sarkozy et de ceux qui l'entourent de s'aligner, non seulement sur la position américaine, mais sur les arrière-pensées de l'administration Bush.

                      Je rappelle que l'administration américaine officielle n'a jamais dit le mot "guerre" à propos de l'Iran.

                      Pensez-vous que l'on prépare l'opinion à cette guerre ?

                      On a choisi – ce n'est pas la première fois, c'était le cas aussi lors du voyage de Bernard Kouchner en Irak – de dire tout haut, pour préparer l'opinion, ce que le plus secret de l'administration de George Bush pense tout bas.

                      Cela est pour moi un signe inquiétant, qui va faire que la France abandonne la vocation d'équilibre qui était la sienne, la possibilité de parler avec tout le monde pour s'aligner sur les plus durs des plus durs de l'administration américaine. (…)

                      Il y a inquiétude et menace à voir un Etat choisir délibérément d'entrer dans le cycle nucléaire. Mais la seule réponse à cela doit être la solidarité des démocraties, notamment des démocraties européennes. Notamment le travail en commun de nos diplomaties. (…)

                      Au moment de la guerre en Irak, c'était déjà les mêmes qui étaient partisans – en le disant ou sans le dire – que la France se range derrière les Etats-Unis pour soutenir et participer à l'intervention américaine.

                      Les mêmes ? Sarkozy Kouchner ?
                      Bernard Kouchner s'est exprimé ouvertement en ce sens. Puis Nicolas Sarkozy, par son silence, avait montré qu'il était distant de ce que faisait Jacques Chirac. J'ai le souvenir que le ministre de la défense était dans nos rangs à l'époque et des débats avaient lieu sur cette ligne-là.

                      De ce point de vue, la formation du gouvernement n'est pas un hasard. Et l'alignement de la France sur l'administration Bush n'est pas une bonne chose pour notre pays.

                      Comment expliquez-vous ce positionnement de Nicolas Sarkozy, alors que l'opinion est plutôt opposée au conflit ?

                      Il y a dans le monde, notamment dans l'espace où les Etats-Unis jouent un rôle très important, un groupe néoconservateur qui, depuis longtemps, a pris cette orientation. C'est lui qui est responsable de la guerre en Irak, qui a été selon moi un drame pour la région à cause de la manière dont elle a été faite. Et pour le monde peut-être.

                      Si cette guerre n'avait pas été faite, l'Iran ne serait pas dans la situation de prééminence dans laquelle ce pays se trouve aujourd'hui. Ce groupe a une très grande influence.

                      Pensez-vous que Nicolas Sarkozy soit sous l'emprise des néoconservateurs ?

                      Les Allemands, les Italiens ne sont pas sur cette ligne. Tous ceux qui travaillent sur le Proche et le Moyen-Orient voient avec stupéfaction cet alignement de la France qui n'était pas dans notre tradition depuis un demi-siècle.

                      Vos amis vous reprochent de vous isoler.

                      Ce que mes amis me reprochent, c'est que je ne me sois pas aligné sur Nicolas Sarkozy. (…) C'est quelqu'un dont je reconnais l'énergie, la capacité de communication hyperdéveloppée. C'est ce qu'il fait qui m'inquiète.

                      Le centriste Jean Arthuis veut que "François Bayrou sorte de sa vision messianique et comprenne qu'on ne gère pas un parti comme une secte"…

                      On a reproché ça à de grands hommes politiques, à Churchill, à de Gaulle. Car ils disaient, attention, je vois quelque chose que vous ne voyez pas. Que les voix qui contestent tout cela s'expriment dans un congrès. Et puis on discute et on vote.

                      Vous n'êtes plus que quatre à l'Assemblée. Comment défendre vos idées ?

                      Je passe par vous. Le nombre ne fait rien à l'affaire. Ce qui compte, c'est la densité de ce que l'on dit.

                      Propos recueillis par Raphaëlle Bacqué, Thomas Hugues et Stéphane Paoli

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                      • #12
                        Iran: El Baradei condamne les propos de Kouchner.

                        Téhéran.Irna.17 septembre 2007.
                        International. AIEA.

                        Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed El-Baradei, a indirectement appelé les responsables français au calme.

                        « Nous avons affaire à un dossier très lié à la paix, à la sécurité et à la stabilité régionale au Proche Orient et c'est pourquoi je demanderai à tout le monde de ne pas se laisser emporter jusqu'à ce que nous soyons parvenus au bout de la procédure » de vérification, qu’il fixe aux mois de novembre ou décembre.


                        Il a ajouté que l'évocation d'une guerre en Iran « relève beaucoup d'une attitude» politico-médiatique.


                        Et de rappeler les éventuelles conséquences d’un tel battage : « j’aurais espéré que tout le monde aurait retenu les leçons de l’Irak, où 700.000 civils innocents ont perdu la vie sur la simple suspicion qu’un pays avait des armes nucléaires ».


                        La ministre autrichienne des Affaires étrangères Ursula Plassnik a elle sévèrement tancé le chef de la diplomatie française, en marge du congrès de l’AIEA qui se tient à Vienne. « Le collègue Kouchner est le seul à pouvoir expliquer ce qu'il a voulu dire. Il m'est incompréhensible qu'il ait eut recours à une rhétorique martiale en ce moment », a-t-elle déclaré.


                        Bernard Kouchner a « raison ». François Fillon, en déplacement sur une base militaire, n’a pas désavoué son ministre des Affaires étrangères après ses déclarations fracassantes sur l’éventualité d’une « guerre » avec l’Iran..


                        Un soutien qui pourrait faire redoubler de vigueur les protestations internationales.


                        Téhéran, qui avait déjà vertement répondu à Paris, a déclaré, par la voix du porte-parole de la diplomatie Mohammad Ali Hosseini, que « les déclarations des responsables français concordent avec la position de la puissance dominante, les Etats-Unis » et « portent atteinte à la crédibilité de la France devant les opinions publiques mondiales ».

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                        • #13
                          Iran: le PS condamne les propos de Kouchner.

                          Déclarations de Kouchner sur l'Iran: Hollande veut un débat au Parlement
                          Il y a 21 heures

                          PARIS (AFP) — Le patron du PS François Hollande a réclamé lundi un débat au Parlement sur la situation en Iran et estimé que le président Nicolas Sarkozy devait s'exprimer devant les Français après que Bernard Kouchner a appelé à "se préparer au pire", y compris la guerre contre Téhéran.

                          "Un débat au Parlement s'impose. Il faut que tout soit mis sur la table, il faut qu'il y ait une information qui soit donnée par le gouvernement au Parlement", a déclaré M. Hollande aux agences de presse.

                          Le président de la République ne pouvant parler devant les assemblées, le premier secrétaire du PS a estimé que Nicolas Sarkozy devait "s'exprimer là-dessus" devant les Français.

                          M. Kouchner a estimé dimanche que le monde devait se "préparer au pire", c'est-à-dire à la possibilité d'une "guerre" avec l'Iran et a demandé des sanctions européennes, tout en appelant à "négocier jusqu'au bout" pour éviter que Téhéran ne se dote de l'arme atomique.

                          Ces déclarations ne peuvent pas rester "sans précisions ni prolongement". "Dire qu'il faut se préparer au pire, c'est-à-dire à la guerre, signifie que le gouvernement, le président de la République ont des informations laissant penser que l'Iran va vers la bombe atomique nucléaire et que la négociation est aujourd'hui enlisée", a estimé M. Hollande.

                          "M. Sarkozy avait déjà lui-même évoqué dans son discours devant les ambassadeurs un éventuel bombardement de l'Iran. Mais là, c'est aller plus loin puisqu'il faut se préparer au pire, a dit Bernard Kouchner", a-t-il ajouté.

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                          • #14
                            le document de ces universitaires américains analysant comment Israël mène par le bout du nez les choix militaires US.

                            Sais tu où je pourrais me le procurer, ou l'as tu, dans ce cas pourrait tu le poster
                            merci
                            On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                            • #15
                              Moh

                              Je cherche ça dans mes archives

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