Près de six ans après son lancement, Orascom Télécom Algérie (OTA) est déjà une belle réussite industrielle et… financière. Selon des estimations d’analystes financiers occidentaux dont « ******************** » a eu connaissance, l’entreprise est valorisée actuellement au moins 3,2 milliards de dollars. Un niveau de valorisation proche de celui du groupe français d’électronique grand public Thomson côté à la Bourse de Paris, qui fait d’OTA l’un des premiers groupes d’Algérie.
Cette valorisation s’explique par les bons fondamentaux de l’entreprise et ses capacités à dégager des bénéfices et surtout du cash. Hier, son directeur général Hassan Kabani a en effet fait état d’un bénéfice de 516 millions de dollars pour l’année 2006. Ce niveau de profits est équivalent à celui réalisé en France par le troisième opérateur mobile Bouygues Télécom. Mais ce dernier, au regard de l’importance du marché français de la téléphonie, est valorisé à près de 10 milliards de dollars.
Ce niveau de valorisation d’Orascom Télécom Algérie (OTZ) est de bon augure pour le processus de privatisation d’Algérie Télécom qui devrait, selon les prévisions du gouvernement, être enclenché dans les prochains mois. Algérie Télécom, via sa filiale Mobilis, est en effet numéro deux la téléphonie mobile en Algérie derrière OTA, avec un écart de plus en plus réduit en termes de nombre d’abonnés entre les deux opérateurs. AT est également présente dans le fixe, une activité qui revient depuis quelques années au cœur de la stratégie des opérateurs internationaux, grâce notamment à l’émergence des offres convergentes. Enfin, l’opérateur historique possède une position confortable dans l’Internet.
Le niveau de valorisation record de Djezzy devrait enfin inciter les investisseurs étrangers à s’intéresser de très près au marché algérien des télécoms et de l’Internet dont le potentiel de développement est jugé encore « très élevé » par les spécialistes.
Cette valorisation s’explique par les bons fondamentaux de l’entreprise et ses capacités à dégager des bénéfices et surtout du cash. Hier, son directeur général Hassan Kabani a en effet fait état d’un bénéfice de 516 millions de dollars pour l’année 2006. Ce niveau de profits est équivalent à celui réalisé en France par le troisième opérateur mobile Bouygues Télécom. Mais ce dernier, au regard de l’importance du marché français de la téléphonie, est valorisé à près de 10 milliards de dollars.
Ce niveau de valorisation d’Orascom Télécom Algérie (OTZ) est de bon augure pour le processus de privatisation d’Algérie Télécom qui devrait, selon les prévisions du gouvernement, être enclenché dans les prochains mois. Algérie Télécom, via sa filiale Mobilis, est en effet numéro deux la téléphonie mobile en Algérie derrière OTA, avec un écart de plus en plus réduit en termes de nombre d’abonnés entre les deux opérateurs. AT est également présente dans le fixe, une activité qui revient depuis quelques années au cœur de la stratégie des opérateurs internationaux, grâce notamment à l’émergence des offres convergentes. Enfin, l’opérateur historique possède une position confortable dans l’Internet.
Le niveau de valorisation record de Djezzy devrait enfin inciter les investisseurs étrangers à s’intéresser de très près au marché algérien des télécoms et de l’Internet dont le potentiel de développement est jugé encore « très élevé » par les spécialistes.
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