La désillusion des enseignants chercheurs après l'annonce des grilles de salaires, la tutelle les prends toujours et encore pour des pigeons et se fou royalement de l'Université et l'élite Algérienne.
Je suis consterné
Conseil National des Enseignants du Supérieur
Nous informons nos adhérent(e)s que la simulation comportant grille des
salaires a été calculée sur la base d'informations, antérieurement données
par le ministère de l'enseignement supérieur stipulant que le régime
indemnitaire actuel restera inchangé et ne pourra être revu que dans le
cadre sectoriel après la promulgation de notre statut particulier.
Grande désillusion : Ce Lundi 17 septembre 2007 à 14h, une information
gravissime nous parvient du ministère faisant état de l'intégration, dans
le salaire de base, des deux plus importantes indemnités constituant plus
de 50% de nos salaires (l'ISS et l'ICR). Ceci veut tout simplement dire que
les augmentations tant attendues ne dépassent guère les 20% . Il est à
noter que cette situation concerne toute la Fonction Publique.
Notre « pauvre » professeur ne pourra même pas entretenir l'imaginaire
d'être comparé au 1er grade de l'assistant Marocain, il sera tout
simplement recalé et enfoui en Sous catégorie (quel hors cadre et quelle
hors catégorie!) lui et les autres gradés de notre université. Au lieu de
notre affranchissement des contraintes socio-professionnelles que l'on nous
a promis à coups de pubs et de mensonges, mais c'est à nos funérailles de
dernière classe que l'on est en train d'assister. Les universitaires
Algériens sont usés par l'attente, depuis des décennies, de ce statut qui
vient d'accoucher d'une grille des salaires de dernière zone. L'on nous a
toujours souligné de « là haut » que les salaires des enseignants seront
définitivement réglés dans le cadre d'un statut particulier digne, motivant
et revalorisant et c'est à l'honneur de notre pays, c'est tout à fait le
contraire auquel on y assiste, c'est une humiliation et une véritable «
Hogra » de toute l'élite universitaire.
Cher(e)s Collègues,
Vu l'extrême urgence de la situation, la direction de votre syndicat en en
train de prendre attache avec tous les syndicats autonomes pour se
concerter sur des actions communes.
Par ailleurs, le Bureau National du CNES se réunira le plus rapidement
possible et qui rappelons-le est toujours en session ouverte.
Nous appelons tous les adhérent(e)s et les enseignant(e)s à être plus que
jamais vigilant(e)s, mobilisé(e)s et réunis autour de leur syndicat. Le
CNES a besoin, dans ces moments difficiles, de tous ses enfants pour lutter
et concrétiser ensemble nos revendications justes et légitimes. Il y va de
notre survie.
VIVE L'UNIVERSITE ALGERIENNE
VIVE L'ALGERIE
le Bureau National du CNES
Salutations syndicales
Je suis consterné
Conseil National des Enseignants du Supérieur
Nous informons nos adhérent(e)s que la simulation comportant grille des
salaires a été calculée sur la base d'informations, antérieurement données
par le ministère de l'enseignement supérieur stipulant que le régime
indemnitaire actuel restera inchangé et ne pourra être revu que dans le
cadre sectoriel après la promulgation de notre statut particulier.
Grande désillusion : Ce Lundi 17 septembre 2007 à 14h, une information
gravissime nous parvient du ministère faisant état de l'intégration, dans
le salaire de base, des deux plus importantes indemnités constituant plus
de 50% de nos salaires (l'ISS et l'ICR). Ceci veut tout simplement dire que
les augmentations tant attendues ne dépassent guère les 20% . Il est à
noter que cette situation concerne toute la Fonction Publique.
Notre « pauvre » professeur ne pourra même pas entretenir l'imaginaire
d'être comparé au 1er grade de l'assistant Marocain, il sera tout
simplement recalé et enfoui en Sous catégorie (quel hors cadre et quelle
hors catégorie!) lui et les autres gradés de notre université. Au lieu de
notre affranchissement des contraintes socio-professionnelles que l'on nous
a promis à coups de pubs et de mensonges, mais c'est à nos funérailles de
dernière classe que l'on est en train d'assister. Les universitaires
Algériens sont usés par l'attente, depuis des décennies, de ce statut qui
vient d'accoucher d'une grille des salaires de dernière zone. L'on nous a
toujours souligné de « là haut » que les salaires des enseignants seront
définitivement réglés dans le cadre d'un statut particulier digne, motivant
et revalorisant et c'est à l'honneur de notre pays, c'est tout à fait le
contraire auquel on y assiste, c'est une humiliation et une véritable «
Hogra » de toute l'élite universitaire.
Cher(e)s Collègues,
Vu l'extrême urgence de la situation, la direction de votre syndicat en en
train de prendre attache avec tous les syndicats autonomes pour se
concerter sur des actions communes.
Par ailleurs, le Bureau National du CNES se réunira le plus rapidement
possible et qui rappelons-le est toujours en session ouverte.
Nous appelons tous les adhérent(e)s et les enseignant(e)s à être plus que
jamais vigilant(e)s, mobilisé(e)s et réunis autour de leur syndicat. Le
CNES a besoin, dans ces moments difficiles, de tous ses enfants pour lutter
et concrétiser ensemble nos revendications justes et légitimes. Il y va de
notre survie.
VIVE L'UNIVERSITE ALGERIENNE
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le Bureau National du CNES
Salutations syndicales
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