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Un garde communal a été tué et un autre a été blessé mardi dans l'explosion d'une bombe artisanale dans la région de Bouira (Kabylie, 120 km au sud-est d'Alger), a-t-on appris mercredi de source sécuritaire.
La bombe était enfouie sur une colline près d'un arbre sous lequel les gardes communaux avaient l'habitude de faire le guet, selon ces sources.
Cet attentat est le deuxième depuis le début du mois de jeûne de ramadan, le 13 septembre. Le premier avait visé, le 14 septembre, une résidence de policiers à Zemmouri (50 km à l'est d'Alger), faisant 3 morts et 5 blessés.
Près de 70 personnes ont été tuées dans des violences en Algérie depuis début septembre, dont plus de 50 dans deux attentats à la voiture piégée les 6 et 8 septembre contre le cortège du président Abdelaziz Bouteflkika à Batna (est) et une caserne des garde-côtes à Dellys (Kabylie, 80 km à l'est d'Alger), selon un décompte établi à partir des bilans officiels et de la presse.
Agence France-Presse
Un garde communal a été tué et un autre a été blessé mardi dans l'explosion d'une bombe artisanale dans la région de Bouira (Kabylie, 120 km au sud-est d'Alger), a-t-on appris mercredi de source sécuritaire.
La bombe était enfouie sur une colline près d'un arbre sous lequel les gardes communaux avaient l'habitude de faire le guet, selon ces sources.
Cet attentat est le deuxième depuis le début du mois de jeûne de ramadan, le 13 septembre. Le premier avait visé, le 14 septembre, une résidence de policiers à Zemmouri (50 km à l'est d'Alger), faisant 3 morts et 5 blessés.
Près de 70 personnes ont été tuées dans des violences en Algérie depuis début septembre, dont plus de 50 dans deux attentats à la voiture piégée les 6 et 8 septembre contre le cortège du président Abdelaziz Bouteflkika à Batna (est) et une caserne des garde-côtes à Dellys (Kabylie, 80 km à l'est d'Alger), selon un décompte établi à partir des bilans officiels et de la presse.
Agence France-Presse