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Le canadien First Calgary Petroleums Ltd exclut tout comportement hostile de l’État a

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  • Le canadien First Calgary Petroleums Ltd exclut tout comportement hostile de l’État a

    Le groupe pétrolier canadien First Calgary Petroleums Ltd est confiant pour son avenir en Algérie. La récente annulation par Sonatrach du projet Gassi Touil avec les espagnols Repsol et Gas Natural avait donné lieu à des spéculations sur l’avenir des groupes pétroliers étrangers engagés en Algérie. Des spéculations avaient notamment évoqué un nouveau « nationalisme énergétique » algérien qui menacerait ces groupes.

    Mais, aujourd’hui, dans une déclaration à la presse, le président du géant pétrolier canadien, Rick Anderson, s’est montré rassurant : pour lui, le conflit entre Sonatrach et les deux groupes espagnols est « purement commercial ». Il concerne un désaccord sur les coûts et les délais de réalisation du projet de Gassi-Touil. « Nous ne sommes pas concernés par cette situation. Nos rapports avec Sonatrach sont très bons », a-t-il précisé. M. Anderson a également exclu tout comportement hostile de l’État algérien à l’égard des groupes pétroliers étrangers.

    Cette déclaration est destinée à rassurer les investisseurs, inquiets après les récentes tensions énergétiques entre Alger et Madrid. Au lendemain de l’annonce de l’annulation du projet Gassi-Touil, l’action du canadien First Calgary Petroleums Ltd avait chuté sur les Bourses de Toronto et de Londres où elle est cotée, les investisseurs craignant de nouvelles annulations de contrats dans le secteur pétrolier en Algérie.

    First Calgary Petroleums Ltd est lié à Sonatrach par un contrat pour le développement du champ gaziez Menzel Ledjmet-Est (MLE, bassin de Berkine dans l'erg oriental) pour un montant global d'environ 1,3 milliard de dollars.

    Premier Calgary a annoncé avoir levé près d’un milliard de dollars auprès de la banque américaine Citigroup pour ouvrir les dépenses de développement, comprenant notamment la construction d'une installation de traitement du gaz et trois pipelines, avec une longueur de 140 kilomètres chacun.

    sonia lyes (TSA)

  • #2
    les espagnols ont voulu jouer au plus malin ?

    ça va leur couter cher leur petit manege,
    les canadiens seraient ravis de prendre leur place...


    la sonatrach a mille fois raison de faire respecter les contrats signés,
    ça suffit le temps du bricolage

    si les espagnols ne savent pas faire du business normalement,
    on les remplacera, c'est pas les partenaires qui manquent

    les européens ne comprennent que le baton,
    ils vont en recevoir s'ils continuent dans cette voie

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    • #3
      les européens ne comprennent que le baton,
      ils vont en recevoir s'ils continuent dans cette voie
      Bruxelle par solidarité avec Madrid, va rendre les coups de baton à Sonatrach.
      Mr NOUBAT

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      • #4
        la solidarité des europeens entre eux est un mythe qui a vecu...

        Le torchon brûle entre la Pologne et l'Allemagne


        Depuis que la Pologne s'est alliée avec les USA autorisant des bases américaines sur son sol, on voit le résultat. On n'aurait jamais dû prendre ce pays dans l'Union. C'est un cheval de troie américain, ni plus ni moins.

        Le Premier ministre Kaczynski repart en guerre
        contre l'Allemagne

        Le Premier ministre polonais Jaroslaw Kaczynski est reparti samedi en guerre contre l'Allemagne en lançant des attaques qui n'ont que peu de précédents entre pays voisins de l'Union européenne.

        Dans un entretien avec le quotidien Dziennik (droit), le Premier ministre a
        accusé les Allemands de vouloir se réapproprier une partie de la Pologne et de maltraiter les immigrants polonais.

        Répondant à une remarque du journaliste du quotidien Dziennik (droite) sur la détérioration des relations avec le voisin occidental, M. Kaczynski a
        rejeté la faute sur Berlin en lançant une rafale de questions.

        "Est-ce la Pologne qui ne veut pas confirmer le droit de propriété sur un tiers du territoire de l'Allemagne ? Est-ce la Pologne qui veut réécrire l'histoire pour, en fait, rejeter une partie de la responsabilité du coupable à la victime ?", a-t-il demandé.

        Le Premier ministre accuse en particulier Berlin de ne rien faire contre la Preussische Treuhand, une petite organisation fondée
        par des Allemands expulsés et leurs ayant-droits, qui revendique des biens spoliés, situés aujourd'hui sur le territoire polonais.

        Avant la Seconde guerre mondiale,
        un tiers de la Pologne actuelle faisait partie de l'Allemagne.

        Varsovie ne veut pas entendre parler non plus d'un lieu de mémoire des quelque 14 millions d'Allemands expulsés d'Europe de l'Est en 1945. Le projet de création d'un Centre de documentation sur les expulsions, promu par la puissante Fédération des expulsés (Bund der Vertriebenen), a régulièrement suscité la colère de M. Kaczynski, qui a dénoncé "une tentative de relativiser l'histoire de la Seconde Guerre mondiale".

        Le chef du gouvernement a maintenant trouvé un nouveau motif de reproches, en affirmant que l'Allemagne maltraite sa minorité polonaise. Extrapolant quelques cas isolés de séparations difficiles de couples germano-polonais en Allemagne,
        il a accusé Berlin d'imposer aux Polonais d'Allemagne "des limitations aussi strictes que l'interdiction de parler à ses enfants dans sa langue".

        Le Premier ministre polonais - dont le frère jumeau Lech est président de la République - n'a pas manqué de
        vilipender une nouvelle fois dans le même entretien le projet d'un gazoduc russe-allemand sous la Baltique, dans lequel il voit une menace.

        Elevés dans une famille profondément patriote, qui a participé au soulèvement de Varsovie contre les nazis en 1944, les frères Kaczynski ont pris l'Allemagne pour cible de leur discours politique avant même d'arriver au pouvoir à l'automne 2005.

        Dans un pays qui a vu périr 5 à 6 millions de ses habitants aux mains des nazis entre 1939 et 1945, de tels propos continuent d'être payants auprès d'une partie de l'électorat.

        Côté allemand, la chancelière Angela Merkel et son équipe
        multiplient les gestes de bonne volonté envers la Pologne.

        Interrogé par l'AFP, le gouvernement de Berlin n'a pas fait de nouveau commentaire samedi, renvoyant aux déclarations faites ces derniers jours, notamment par le chef de la diplomatie allemande Frank-Walter Steinmeier, qui s'est rendu mercredi à Varsovie.

        Il avait à cette occasion réitéré que la Preussische Treuhand n'avait pas le soutien de l'Etat allemand. Il avait aussi affirmé que Berlin et Varsovie signeraient vraisemblablement, à une date non précisée, une déclaration affirmant que toutes les questions d'ordre constitutionnel
        liées au conflit entre les deux pays pendant la Seconde guerre mondiale étaient réglées.

        Sources AFP




        --> quand il s'agit de leur interets vitaux, les europeens savent faire cavalier seuls....

        Sonatrach-GDF : l’alliance !


        Une information qui n’a tout de même pas été confirmée par des sources proches de la compagnie algérienne Sonatrach ou française GDF. Pourtant et lors du cocktail organisé à Alger par GDF à l’occasion de la visite de son président Jean-François Cirelli, il n’a été nullement question d’un partenariat Sonatrach-Gaz de France pour reprendre le projet de Gassi Touil.


        -> sonatrach fait un sans fautes...

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        • #5
          Le torchon brûle entre la Pologne et l'Allemagne
          ne t'inquiète pas pour eux, Bruxelle veille au grain!

          le secteur de l'énergie est crucial pour les Européens qu'ils vont pondre des lois protectionistes pour se mettre à l'abri et Sonatrach risque encore de voir l'espace européen fermé
          Mr NOUBAT

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          • #6
            bruxelles est en crise depuis les non hollandais et francais au referendum sur la constitution europeenne


            l'europe s'est elargie à de noubveaux membres tres atlantistes,
            ce sont les usa qui font la loi en europe

            alors à quoi bon faire des efforts avec les européens,
            entendons nous d'abord avec leurs maitres americains,

            et on les verra rappliquer la queue entre les jambes pour faire du businesss avec nous....

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            • #7
              les institutions européennes traversent une petite turbulence, mais à en conclure l'explosion c'est faire une fausse analyse et ils feront toujours des affaires en position de force.
              Mr NOUBAT

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