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Le Canada sollicite l'expertise algérienne dans le transport méthanier de GNL

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  • Le Canada sollicite l'expertise algérienne dans le transport méthanier de GNL

    Le Canada a sollicité le concours de l'Algérie en matière d'expertise dans le domaine du transport méthanier de GNL et la sécurisation des sites, au cours d'un entretien qui a réuni à Ottawa mercredi dernier le ministre algérien des Transports, Mohamed Maghlaoui, et son homologue canadien, Lauwrence Cannon, en marge des travaux de la 36e session de ll'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI).

    Selon un communiqué de l'ambassade d'Algérie au Canada, les deux parties ont évoqué la question de la coopération en la matière dans "la perspective de la construction prochaine d'un terminal gazier à Rabaska au Québec".


    --> on dirait qu'il y en a qui veulent bien cooperer avec nous

    il ya donc bien autre chose que l'europe dans le monde.....

  • #2
    C'est un peu confus tout cela: on parle de transport de GNL par Methanier (tankers) et de construction et gestion de terminal de GNL. Ce sont deux choses differentes, mais dieu merci l'Algerie maitrise les deux. Sonatrach pour le terminal et SNTM Hyproc pour le transport.

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    • #3
      hé oui, sonatrach maitrise les deux

      et avant le projet de quebec,
      un autre projet va etre finalisé :


      Sonatrach, Gazprom et Lukoïl, les compagnies algérienne et russes, s’accordent, en août 2006, afin de financer des projets d’exploration et d’exploitation.

      A quelles conditions ? Sonatrach (Algérie) cède à Gazprom (Russie) une participation dans le gazoduc Galsi, qui est en construction et qui doit relier l’Italie et l’Algérie, via la Sardaigne.

      Les deux parties prennent des parts dans les projets de GNL Baltique et GNL Saint-Petersbourg avec la compagnie pétrolière italienne AGIP.


      -> sonatrach va bientot rentrer dans le top ten mondial,
      elle pointe aujourd'hui deja à la 12ème place

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      • #4
        Tout cela c'est de bonnes nouvelles, mais est ce que la Sonatrach du point de vue ressources humaines en est vraiment prete ..je me pose tjs cette question. Tous les anciens des annees 70, 80 voir 60 (ce qu'on appelle les pioniers du GNL) sont soit en retraite ou bien au Qatar et aux Emirats, Oman et meme l'Egypte..etc. D'apres mes informations, la releve n'a pas ete assuree comme il le faut.
        Ceci dit il y a une volonte claire de penetrer les marches internationaux et s'ouvrire sur le monde car il ya tellement de boulot a faire dans le domaine du GNL, 12 terminaux en construction au US seulement..en inde, en chine et en europe aussi.

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        • #5
          effectivement la ressource humaine est la clé, les 128 ecoles d'ingenieurs algeriennes y pourvoient neanmoins...

          l'asie et l'amerique du nord sont les nouveaux continents où sonatrachj doit s'installer

          elle a deja des capacités en corée du sud, et bientot en inde

          elle a des capacités au perou, et bientot en bolivie

          il faut absolument continuer dans cette voie,
          comme ça les chantages espagnoles pourront continuer à etre ignirées

          l'independance du groupe c'est son internationalisation,
          et elle a bien commencée !!

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          • #6
            ce qui est bien en algerie, c'est quand le pouvoir veut avoir qlq chose il y parvient !!!
            ?

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            • #7
              effectivement la ressource humaine est la clé, les 128 ecoles d'ingenieurs algeriennes y pourvoient neanmoins...
              Les instituts specialises tel que l'IAP, L'INH , etc ont ete sinistres pendant les annees 80, je crois que ca reprends tout juste la. La formation a l'etranger a ete carrement arrete car des nababs ont vus la candidature de leurs rejetons etre refusee par des universites britanniques!! Derniere promotion en 1979!!

              l'asie et l'amerique du nord sont les nouveaux continents où sonatrachj doit s'installer
              Desole de dire que c'est tres facile de le dire que de le faire!! sinon ouvrire un petit bureau avec deux personnes...ca tout le monde peux le faire...moi je veux voir la SH s'installer avec armes et bagages pour de longues durees et entrer en competition avec les Majors...mais ca c une autre histoire et ce n'est pas pour demain!!

              elle a deja des capacités en corée du sud, et bientot en inde
              Lequelles?

              elle a des capacités au perou, et bientot en bolivie
              oui des participations dans les societes...ce n'est pas mal, mais c'est de la finance dont on parle c tout.

              il faut absolument continuer dans cette voie,
              Il faut plutot recadrer tout cela!!

              comme ça les chantages espagnoles pourront continuer à etre ignirées
              5/5

              l'independance du groupe c'est son internationalisation,
              et elle a bien commencée !!
              Pas trop convaincu pour les raisons citees ci dessus.

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              • #8
                ça va etre un peu long,
                mais ça merite la lecture :

                Deux millions de barils de pétrole algérien stockés en Corée du Sud

                Le Quotidien d'Oran, 4 mai 2005
                Le marché asiatique intéresse au plus haut point la Sonatrach (SH), qui étend actuellement ses capacités pour le conquérir. Deux accords ont été signés, hier, par la compagnie nationale avec la société d’Etat sud-coréenne Korea National Oil Corporation (KNOC). La Corée est actuellement le cinquième importateur de pétrole au monde.
                Le premier accord, un « memorandum of understanding », porte sur une coopération globale entre les deux sociétés SH et KNOC dans le domaine des hydrocarbures. Il définit le cadre de travail conjoint pour la recherche et l’étude d’opportunités de coopération communes en Algérie, en Corée du Sud et dans d’autres pays présentant un intérêt pour les deux parties. Le second accord, plus technique, concerne la location d’une capacité de stockage de deux millions de barils de pétrole brut algérien en République de Corée. Ils devraient ouvrir à la Sonatrach de nouvelles perspectives, notamment vers la Chine, l’Inde et le Japon. D’autant que c’est la première opération de ce genre que lance la compagnie sur une région représentant 20% de la demande énergétique mondiale et qui absorbe actuellement 14 millions de barils par jour. La demande de la région asiatique devrait atteindre les 17 millions de barils jours d’ici 2007.
                Ces capacités sont appelées, selon Ali Hached, vice-président commercialisation de SH, à évoluer dans le futur selon la demande du marché.
                La location des bacs de stockage coûtera à la compagnie 100 à 200.000 dollars par mois pour un chiffre d’affaires par cargaison de 100 millions de dollars.
                Le premier chargement prendra le large vers le pays du Matin Calme la semaine prochaine pour un voyage de 40 à 45 jours. La Sonatrach acheminera le pétrole en Corée du Sud grâce à un navire de grande capacité, VLCC, que la compagnie vient de louer. Il a une capacité de chargement de 2 millions de barils de pétrole. SH devrait louer, selon ses responsables, un autre bateau VLCC et passer commande pour la construction d’un navire de ce type pour arriver à terme à une rotation des navires vers l’Asie.

                Les Coréens visent également la mise en place à terme d’un hub de commercialisation des hydrocarbures grâce à la disponibilité et à la diversité d’origine des produits pétroliers avec une situation géographique de choix.

                Samar Smati



                L’Iran souhaite profiter de l’expérience de l’Algérie en matière de technologie gazière. Il projette d’aider l’Algérie à rendre performante son industrie pétrochimie.



                Ghanimi Fard, 56 ans, directeur exécutif pour les affaires internationales à la National Iranian Oil Company (NIOC, compagnie nationale du pétrole), est Monsieur énergie à Téhéran.
                Des entités qui activent dans l’extraction et la production du pétrole. L’Iran est intéressé, selon lui, par l’expérience algérienne en matière de gaz naturel liquéfié (GNL) qui est parmi les premières au monde. « Malgré que nous ayons de grandes réserves de gaz naturel, nous n’avons toujours pas d’industrie dans ce domaine. Nous pouvons avoir, grâce à la technologie acquise par l’Algérie, une bonne coopération. L’Algérie peut avoir sa place dans le golfe Persique », dit-il.
                Une immense affiche lumineuse fait la réclame pour ce projet dans les couloirs du ministre iranien du Pétrole. La firme algérienne est également intéressée par le projet du gazoduc transcontinental qui reliera l’Iran, le Pakistan et l’Inde. M. Fard parle aussi d’une éventuelle coopération dans le domaine du Gas to Liquid (GTL) avec l’Algérie.
                Le responsable iranien souligne l’importance de la présence algérienne en Europe dans le secteur du gaz. Il est conscient que le rapprochement entre Sonatrach et la russe Gazprom a été perçu par les Européens comme « un danger ».
                « Notre prochaine présence en Europe va nous permettre d’avoir une bonne entente sans qu’il y ait un quelconque danger », précise-t-il. L’Iran, d’après lui, est disposé à travailler avec l’Algérie et la Russie pour fournir du gaz à l’Europe où s’est développée une certaine méfiance après la crise de l’hiver ukrainien (décision de Moscou d’augmenter les tarifs du gaz vendu à ce pays voisin). « Mais il faut attendre 5 ans pour que notre gaz puisse arriver en Europe », indique-t-il.
                Il y a un mois, l’Iran a conclu un accord avec la Turquie pour le passage d’un gazoduc de 3300 km transportant du gaz naturel iranien et turkmène vers l’Europe (presque 30 milliards de mètres cubes par an). M. Fard s’est dit favorable au développement de la coopération gazière entre l’Algérie et l’Iran avec le système Swap (échange de marchandise par zones géographiques).
                « En Afrique, en mer Caspienne et en mer du Nord, l’Algérie et l’Iran peuvent avoir des investissements communs dans le secteur des hydrocarbures pour éviter la présence des multinationales. » Estimant que la pétrochimie n’est pas encore développée en Algérie, M. Fard note que son pays est disposé à apporter son appui pour améliorer les performances de ce secteur. Il illustre son propos par les résultats obtenus par la pétrochimie iranienne : la production est passée de 500 000 t par an à vingt millions de tonnes.
                Une bonne partie de cette production est destinée à l’exportation. L’Iran envisage, d’ici novembre 2007, la privatisation de 9 complexes pétrochimie situés, entre autres, à Tabriz, à Qadir et à Khorassan. L’opération sera chapeautée par l’Iranian Privatization Organization (IPO) qui a tous les pouvoirs. L’Algérie, selon M. Fard, peut profiter de « l’immense » marché africain en donnant un coup d’accélérateur à son industrie pétrochimie. « Vous serez les seuls sur le marché », prévoit-il, soulignant que l’Europe peut être une autre destination des exportations.
                En juillet 2007, l’Algérie a annoncé la construction prochaine de deux complexes pétrochimiques, premiers d’un programme à long terme, dotés de 12 milliards de dollars et comprenant huit autres entités. M. Fard dit avoir apprécié le fait que l’Algérie ait augmenté ses capacités de raffinage à un million de tonnes. Cela induira des recettes supplémentaires puisque le prix du produit raffiné croît à chaque hausse sur le marché du pétrole brut (de 2 à 5 dollars).
                M. Fard reste convaincu que le projet d’une organisation des pays producteurs de gaz va se réaliser à l’avenir. Ce projet est soutenu par la Russie et le Venezuela, l’Algérie demeure, elle, réservée. « Même avec cette organisation, le prix du gaz sera moins cher que celui de l’eau », rassure-t-il.
                Faycal Metaoui - el watan - Téhéran. De notre envoyé spécial


                Première production de Sonatrach au Pérou

                Le gisement pétrolier et gazier de Camisea au Pérou est entré en production jeudi dernier après les inaugurations officielles des différentes installations par le président péruvien, Alejandro Toledo, en présence du ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, et du PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane ainsi que des cadres de la société, a annoncé la compagnie pétrolière algérienne dans un communiqué.
                dimanche 8 août 2004.
                Ces installations, qui ont été inaugurées les 5, 6 et 7 août, sont le centre de séparation liquides-gaz de Malvina, situé dans la jungle péruvienne, à proximité du champ, le terminal d’arrivée de gaz de la ville de Lurin située à 45 km au sud de la capitale péruvienne Lima et l’unité de fractionnement des liquides de la ville de Pisco. Cette participation au projet Camisea est le résultat de la politique d’internationalisation du groupe en 2001. Le Groupe Sonatrach avait mis en place un système de réorganisation de ses activités internationales par le regroupement des compagnies filiales à l’étranger autour d’un holding international.
                Le projet péruvien est exploité par un consortium qui, en plus de la Sonatrach, est composé des compagnies argentine Pluspetrol, américaine HuntOil, sud-coréenne SK et péruvienne Tecpetrol. Cette participation dans le segment de l’amont pétrolier s’est ajoutée à celle déjà réalisée dans le segment transport (aval) où Sonatrach détient actuellement 21,18% des parts aux côtés de Tecgas Camisea avec 31,03%, HuntOil avec 19,16%, SK qui possède 9,5%, Pluspetrol avec 9,16%, Tractebel au niveau de 8%, Grana y Montero et Tecgas N.V qui détiennent à eux deux moins de 2%.Le projet Camisea-bloc 88 est un projet intégré comprenant la production, l’exploitation et la commercialisation du gaz naturel et condensa.
                La production a commencé au début du mois de juin 2004 avec 6 puits producteurs et 2 puits injecteurs et atteindra le plateau de production avec un total de 18 puits. Deux centres de traitement, l’un pour le gaz à Las Malvinas (sur le champ) et le deuxième pour les liquides de Pisco (côte) ont été construits. Le segment transport consiste en la construction de deux pipelines, l’un pour le gaz de Camisea à Lima d’une longueur de 716 km et d’une capacité extensible à 729 millions de pieds cubes par jour dans la première phase du projet, l’autre, long de 530 km et d’une capacité de 50 000 barils/j extensibles à 70 000 b/j concerne les liquides, de Camisea aux installations de Pisco.Les réserves prouvées de ce champ s’élèvent à 246 milliards m3 de gaz, 305 millions de barils de condensa et 284 millions/b de GPL. Ces réserves pourraient atteindre près de 400 milliards m3 de gaz, 496 millions/b de condensa et 463 millions/b de GPL.
                L’investissement total engagé par le consortium du projet Camisea a nécessité 1,6 milliard de dollars.L’entrée en production du projet Camisea permet au Pérou de réduire sa dépendance énergétique et à la Sonatrach de trouver une place parmi les groupes pétroliers qui comptent au niveau mondial.
                Par Amine Echikr, La Tribune


                -> ce n'est pas rien tout de meme ?

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                • #9
                  Apperement la SH a decide de se transforme de la vache a traire en un taureau , elle va nous faire des petits un peu partout, la coree sans les samsung et autres continuerai encore a vivre de poisson et de riz.

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