Il a été inhumé hier à El Kettar
L’animateur de «Oua koul chi moumkin» n’est plus
[IMG]http://www.lejourd***********/Editions/210907/une/Lejour9.jpg[/IMG]
Une importante foule composée de membres de sa famille, de compagnons, de collègues qui avaient travaillé avec lui dans le secteur du tourisme et de la radio et la télévision, ainsi que de très nombreux anonymes, a accompagné hier à sa dernière demeure Ryad Boufeddji, le très populaire présentateur de l’émission «Oua kouli chi Moumkin» (Et tout est possible), afin de lui rendre un ultime hommage.
Décédé, jeudi, des suites d’une longue maladie, le défunt a été inhumé au vieux cimetière d’El Kettar, à Alger, après la prière du disparu dite quelques instants auparavant à la mosquée Ennour du quartier des Tagarins.
Rendu très populaire par l’émission télévisée de grande écoute, qui continue toujours à être diffusée, et par le biais de laquelle sont souvent retissés les liens entre des personnes qui s’étaient, parfois, perdues de vue depuis de très longues années, feu Ryad Boufedji, emporté à 52 ans, aura à travers cette dernière, révélé aux téléspectateurs ses profondes qualités de cœur et son extrême sensibilité devant la détresse humaine. Quand ils parlent du disparu, ceux qui l’ont approché de près, ses amis en particulier, évoquent le souvenir d’un homme d’une grande bonté ainsi que d’un athlète accompli. Ils rappellent, en effet, que Ryad, qui pratiquait également le tennis, avait avant de commencer à animer des émissions à la radio et la télévision, fait partie des équipes nationales de volley-ball et de ping-pong qui ont eu l’occasion de disputer des rencontres à l’étranger. L’un de ses camarades indique qu’après avoir été, un moment, animateur au sein du Club Méditerranée, il avait intégré l’Agence touristique algérienne qui lui confiera, peu après, la direction et la formation des guides chargés d’accompagner les touristes. Un autre de ses proches ajoute qu’il a, durant un temps, enseigné à l’Institut du tourisme et du commerce d’Alger. C’est sa maladie qui devait avoir raison de lui quelques mois plus tard qui, dans le courant de l’année 2006, le poussera à demander sa mise à la retraite anticipée et qui, quelques mois plus tard, le contraindra à abandonner définitivement la célèbre émission qui avait contribué à le rendre si populaire auprès du grand public.
Par Ahmed Mahieddine
Le Jour d'Algerie
L’animateur de «Oua koul chi moumkin» n’est plus
[IMG]http://www.lejourd***********/Editions/210907/une/Lejour9.jpg[/IMG]
Une importante foule composée de membres de sa famille, de compagnons, de collègues qui avaient travaillé avec lui dans le secteur du tourisme et de la radio et la télévision, ainsi que de très nombreux anonymes, a accompagné hier à sa dernière demeure Ryad Boufeddji, le très populaire présentateur de l’émission «Oua kouli chi Moumkin» (Et tout est possible), afin de lui rendre un ultime hommage.
Décédé, jeudi, des suites d’une longue maladie, le défunt a été inhumé au vieux cimetière d’El Kettar, à Alger, après la prière du disparu dite quelques instants auparavant à la mosquée Ennour du quartier des Tagarins.
Rendu très populaire par l’émission télévisée de grande écoute, qui continue toujours à être diffusée, et par le biais de laquelle sont souvent retissés les liens entre des personnes qui s’étaient, parfois, perdues de vue depuis de très longues années, feu Ryad Boufedji, emporté à 52 ans, aura à travers cette dernière, révélé aux téléspectateurs ses profondes qualités de cœur et son extrême sensibilité devant la détresse humaine. Quand ils parlent du disparu, ceux qui l’ont approché de près, ses amis en particulier, évoquent le souvenir d’un homme d’une grande bonté ainsi que d’un athlète accompli. Ils rappellent, en effet, que Ryad, qui pratiquait également le tennis, avait avant de commencer à animer des émissions à la radio et la télévision, fait partie des équipes nationales de volley-ball et de ping-pong qui ont eu l’occasion de disputer des rencontres à l’étranger. L’un de ses camarades indique qu’après avoir été, un moment, animateur au sein du Club Méditerranée, il avait intégré l’Agence touristique algérienne qui lui confiera, peu après, la direction et la formation des guides chargés d’accompagner les touristes. Un autre de ses proches ajoute qu’il a, durant un temps, enseigné à l’Institut du tourisme et du commerce d’Alger. C’est sa maladie qui devait avoir raison de lui quelques mois plus tard qui, dans le courant de l’année 2006, le poussera à demander sa mise à la retraite anticipée et qui, quelques mois plus tard, le contraindra à abandonner définitivement la célèbre émission qui avait contribué à le rendre si populaire auprès du grand public.
Par Ahmed Mahieddine
Le Jour d'Algerie
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