Apostrophé sur le cas des imams algériens recruteurs de kamikazes et les prêcheurs de la mort dans les mosquées publiques financées par l’argent des contribuables, le premier responsable du culte en Algérie, Bouabdellah Ghlamellah, a signalé que " les imams et les mosquées sont complémentaires ", une façon pour le ministre de dire que les imams partagent les mêmes affinités et penchants que celles des mosquées gérées par son département. Plus explicite, le ministre a avancé que " l’Etat n’a pas à contrôler les imams, du moment que ces derniers ont reçu une formation très avancée. " Le ministre a ajouté que ces fonctionnaires sont les porteurs du message de la religion. Par ailleurs, Ghlamellah a estimé que le cas de l’imam d’Apreval, qui serait le recruteur du kamikaze qui s’est explosé dans la caserne des gardes-côtes à Dellys, faisant une trentaine de victimes et autant de blessés, " cet imam sera présenté devant le conseil de discipline qui tranchera dans son cas ".
Estimant que les imams sont comme les médias, Ghlamallah a souligné " qu’aucune restriction ne doit être imposé à cet catégorie ", en expliquant que les imams reçoivent une formation très pointue, des erreurs de métiers peuvent êtres commises dans tous les domaines de travail. " Les halaqates de recrutement se déroulent en dehors des mosquées ", a déclaré le ministre, qui a ajouté que son département est au courant de tout ce qui se passe dans les mosquées. Un journaliste a abordé le cas des anciens imams affiliés au FIS dissous et qui recrutaient dans les mosquées, le ministre a déclaré avec un ton élevé que " les gangsters du FIS ont assassinés 96 imams qui n’avaient pas adhérés à leur projet. " Enfin le ministre a indiqué que son département n’a pas mis fin aux fonctions de l’imam d’Apreval et c’est le conseil disciplinaire qui statuera dans cette affaire, puisque l’Etat dispose de moyens de poursuite contre ce genre de comportements, a-t-il expliqué.
source : La Dépêche de Kabylie
Estimant que les imams sont comme les médias, Ghlamallah a souligné " qu’aucune restriction ne doit être imposé à cet catégorie ", en expliquant que les imams reçoivent une formation très pointue, des erreurs de métiers peuvent êtres commises dans tous les domaines de travail. " Les halaqates de recrutement se déroulent en dehors des mosquées ", a déclaré le ministre, qui a ajouté que son département est au courant de tout ce qui se passe dans les mosquées. Un journaliste a abordé le cas des anciens imams affiliés au FIS dissous et qui recrutaient dans les mosquées, le ministre a déclaré avec un ton élevé que " les gangsters du FIS ont assassinés 96 imams qui n’avaient pas adhérés à leur projet. " Enfin le ministre a indiqué que son département n’a pas mis fin aux fonctions de l’imam d’Apreval et c’est le conseil disciplinaire qui statuera dans cette affaire, puisque l’Etat dispose de moyens de poursuite contre ce genre de comportements, a-t-il expliqué.
source : La Dépêche de Kabylie
Commentaire