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Le prêt bancaire este il Hallal ou bien Harem?

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  • #31
    Le prêt à intérêt se justifie parfaitement par la logique.

    Celui qui prête de l’argent subit deux dommages :


    -il est privé de l’usage de son argent pendant le temps du prêt


    -il risque de ne jamais revoir ses fonds

    il est donc juste qu’il reçoive une compensation, un dédommagement matérialisé par les intérêts versés.

    Quant au taux du prêt : l’argent est une marchandise comme une autre : elle s’échange sur un marché ; selon sa rareté ou son abondance, son prix varie donc.

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    • #32
      Salam caius

      Envoyé par caius
      Celui qui prête de l’argent subit deux dommages :

      -il est privé de l’usage de son argent pendant le temps du prêt
      -il risque de ne jamais revoir ses fonds
      Le préjudice est certain, mais les dommages sur la société, sont plus importants. D'où, a mon avis, son interdiction.
      Le vous rappel que le prêt en soit (sans intérêts) n'est pas haram, mais très déconseillé en islam, les dettes nous suivrons jusqu'au jour du jugement. Alors soit ce sont les héritiers qui le remboursserons soit c'est le concerné qui le fera avec ses "hassanate" le jour J.

      "اللهم إني أعوذ بك من غلبت الدين و قهر الرجار- آمين"

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      • #33
        @ tous

        On parle souvent sur ce forum de banques islamiques, de fonds islamiques ...
        Mais ces banques et ces fonds pourraient ils exister sans la finance internationale ? sont ils totalement indépendant de la finance internationale ?
        le terme "islamique" sert juste de caution a des établissements qui sont totalement intégrés dans le système financier international et qui n'ont d'islamique que le nom.
        je vous conseille un article interessant sur oumma*.com à ce sujet

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        • #34
          Il y a parfois des fatwa qui interdisent totalement les intêrets bancaires (elles sont majoritaires) d autres qui les autorisent en cas de nécessité (immobilier) et d autre qui les autorisent mêmes (le cheikh d al azhar tout dernièrement)

          On peut avoir plusieurs avis sur est ce que l'usure interdit en islam peut s apparenter aux intêrets bancaires ou pas.
          Toutefois il convient de garder à l esprit que le dévellopement du système bancaire et financier mondial a été le fait des européens depuis des siécles. La forme que revêt l activité bancaire aujoud hui trouve ces racines à Florence, Venise, Amsterdam...

          Les mususlmans ont été contraints d accpeter ce genre d activité généralement avec la colonisation. Il n y avait pas d autres alternatives. Toute simplement parcequ un monde moderne et une économie moderne ne peut absoluement pas vivre sans banques. C est les poumons de toute économie.

          Même les banques dites "islamiques" ne peuvent pas fonctionner de façon déconnectée du monde réel. Elles sont obligées de traiter au moins les banques centrales. Et jusqu ici il n existe aucune banque centrale au monde qu on pourrait qualifier d islamique. Tout simplement car le mécanisme de création de la monnaie repose essentiellement sur les prêts à intêrets octroyés par ces banque centrales aux banques :

          Tout l argent qui est dans la poche de chacun de nous est à l origine un prêt à d une banque centrale à une banque.

          Ce n est plus ni de l'OR ni de l'Argent.

          Il ne faut pas oublier une chose : il y a une règle dans le fikh qui dit "Addarourate toubihou al mahdourate" c.a. que "les nécessités priment sur les interdits" et jusqu ici les banques sont des nécessités
          Dernière modification par Atlantic, 19 octobre 2007, 11h52.

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          • #35
            Si tu ne t intéresse pas à ce que dis ta religion à propos de ce point, tu peux très simplement quitter le topic.

            Si tu dis ce n est pas important d autre estime que ce l est

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            • #36
              Posté par caius
              Celui qui prête de l’argent subit deux dommages :

              -il est privé de l’usage de son argent pendant le temps du prêt
              -il risque de ne jamais revoir ses fonds

              A ces 2 éléments que tu rappelle très justement il faut ajouter je pense :

              -Il ne retrouve pas le plus souvent le pouvoir d'achat de la somme prétée au moment ou l'argent lui est rendu ( inflation...)

              Comme le font remarquer Caius et d'autres les intêrets bancaires sont une rémunération, une dédommagement, une compensation.

              Mohamed_Redha, lui, parle de dommages causés à la société lorsqu'il y a prêt.

              J'avoue que je ne vois pas en quoi.

              Il est à faire une nette différence entre l'USURE, prohibée aussi ailleurs que chez nous, et les intêrets liés à un prêt.

              Il n'est pas nécessaire de détailler ici la différence entre les 2 notions.

              La question que je me pose est de savoir pourquoi les Savants de l'Islam ne font pas usage de l'Ijtihad pour noter une bonne fois pour toutes cette différence et dans le cadre de l'interprétation du Saint Coran ils n'expliquent pas que ce qui est bani par l'Islam c'est de profiter de manière malsaine de situation difficile de son prochain et non, au contraire, lui apporter les moyens de réaliser ses souhaits et concrétiser ses objectifs.

              Les taux des intêrets bancaires sont ouvertement pratiqués, déclarés et connus de tous alors que l'usure est cachée et sujet de honte et de réprobation de manière universelle.

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              • #37
                Salam Ou alaykom et Saha Aidkoum

                posté par joker_dz
                Je trouve vraiment que de tout les sujets qui sont sur ce forum, c que dans cette section qu'on trouve les sujet les plus naz et absolument innutile... alors se demander si le credit bancaire et hallal ou harram ""Quesque on en a a Foutre yarmah waldik ?""
                ne t'emballes pas vieux, contente toi de donner ton avis sans pour autant juger le Sujet ...
                je rappelle qu' ils existent des gens qui veulent connaitre l'avis de la religion sur ce point que je qualifie -en pesant mes mots- extrêmement grave !.. surtout que nous vivons dans un monde où le Riba est maitre des lieux ...

                le Riba = Tout profit (mânfa'a), qu'il soit matériel (argent) ou bien moral (services) , qui naisse suite à un prêt ...ou comme l'a exactement définit le Prophète (s.l.a.w.) dans son célébre Hadith ..
                ça pour sa définition,
                en ce qui concerne sa gravité, il aurait suffit de citer que le Riba est beaucoup plus grave que l'adulthère et que le Coran a pris le soins de dire clairement que le fait dei transgresser cet interdit est considéré comme une déclaration de guerre contre Dieu et son Prophète ..

                Biensûr, tout ceux qui croient en Dieu et au jour du jugement dérnié qui doivent prendre ça en consideration, tandis qu'aux autres, je ne vois pas pourquoi cela les dérange tant !!

                en tant que Croyant, je préfére de loins habité dans un garage que de contracter un prêt à interets et declarer -relativement à ce fait- une guerre que je vais -sans doute- perdre !
                Dernière modification par karimbarbu, 20 octobre 2007, 14h22.
                2.7. et Dieu a scellé leur cœur et leur entendement. De même qu’un voile leur barre la vue, et ils sont voués à un terrible châtiment. (Al Baqâra)

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                • #38
                  Dommage, j'ai découvert ce topic un peu tard et j'y ai trouvé un peu plus de passion qu'il n'en faut de part et d'autre.

                  En fait la question est bien simple, il s'agit de ne pas confondre "le silf Ihsan" qui est un prêt sans intérêt entre particuliers en général et le crédit "kardh" qui se rapporte au modèle de financement des activités économiques en Islam.

                  Ainsi la question se résume à quelques principes de base:

                  1- En Islam l'argent n'engendre pas l'argent, seul le travail quel que soit sa nature (physique ou intellectuelle) et le risque direct dans un projet quelconque peuvent générer des plus values.

                  A défaut le système bancaire peut verser dans un "féodalisme financier" aveugle faisant tourner l'argent entre les mains de quelques uns seulement (pratique anti coranique puisque monopolistique) et pour lequel les occidentaux ont dû apporter un autre correctif non moins douteux, les marchés financiers comme moyen de désintermédiation (je vise essentiellement le marché obligataire).

                  2- L'argent en Islam est une unité de mesure et non une marchandise.Il ne subit donc pas la loi de l'offre et de la demande.

                  3-L'activité bancaire est une fonction sociale dans l'économie financière au service de l'économie réelle et subit les risques au même titre que les autres entreprises.

                  4- La pratique de l'escompte est interdite.

                  Ainsi le banquier ne peut prêter de l'argent avec un intérêt fixé dès le départ qu'il soit fixe ou variable selon les conditions du marché.

                  Le banquier n'est ni plus ni moins qu'un "venture capitalist", un investisseur financier qui court le risque de se mettre en faillite sur un projet bien défini.

                  En compensation puisque l'argent a un coût d'opportunité, le banquier reçoit un bénéfice en pourcentage établi dès le départ en commun accord avec l'entrepreneur.

                  Ainsi configuré son bénéfice sera conséquent, de 5 à 10 fois le taux d'intérêt classique dans le cas d'une réussite du projet, en revanche s'il ya un couac il subira les dégats au prorata du pourcentage qu'il possède dans l'affaire. Je viens de décrire le système de la moucharaka.

                  Cependant un dernier détail doit être cité en la matière, une banque comme "AL BRAKA d'Algérie" à titre d'exemple n'a rien d'islamique et pour cause puisqu'elle exige de la part des "emprunteurs" une hypothèque de leur biens ainsi qu'une mise de fonds initiale.

                  Or deux associés ne peuvent s'exiger mutuellement des garanties de ce genre, c'est anti-coranique (injustice)* car ceci équivaudrait à ce que la banque se prémunisse d'une manière déguisée contre le risque de faillite alors que son partenaire ne le peut pas.

                  En ce qui concerne le crédit acheteur voire le crédit consommation, la mourabaha permet au banquier où à tout autre organisme financier d'agir comme commerçant en achetant et en revendant la marchandise à terme avec paiement périodique jusqu'à épuisement du montant de la facture du bien en question.

                  Ainsi un organisme quelconque peut acheter un produit à 100 unités et le revendre à 120 unités sur 10 mois par exemple avec un paiement mensuel de 12 unités/mois.

                  Cependant il ne peut être question là aussi d'un escompte si le remboursement est anticipé, a fortiori il ne peut être question de deux prix, l'un à l'achat de 103 unités avec paiement instantané par exemple, et l'autre de 120 unités en cas de paiement étalé sur 10 mois. C'est du Riba. C'est ce que AL BARAKA et les autres organismes prêteurs islamiques ne prennent pas en compte. Il n' y a rien d'islamique dans leur activité.

                  Le prix doit être absolument le même à t=0(temps zéro) ou à t= n (nombre d'années ou de mois quelconques décidés par le vendeur) . Souvenons nous l'argent n'engendre pas l'argent.

                  A charge donc pour les vendeurs de prendre tous les facteurs de risque en compte et de proposer un prix final à discuter par le client sur la base d'un temps de paiement établi au préalable(nombre de périodicités).
                  ---------------------------------------------------------------
                  *inégalité devant le risque
                  Dernière modification par momo d'alger, 25 octobre 2007, 23h51.

                  Commentaire


                  • #39
                    @ Momo d'Alger

                    Azul Salam Momo d'alger et tous les autres


                    Envoyé par momo d'alger
                    A défaut le système bancaire peut verser dans un "féodalisme financier" aveugle faisant tourner l'argent entre les mains de quelques uns seulement (pratique anti coranique puisque monopolistique) et pour lequel les occidentaux ont dû apporter un autre correctif non moins douteux, les marchés financiers comme moyen de désintermédiation (je vise essentiellement le marché obligataire).


                    Les systèmes économiques des pays musulmans et des civilisations islamiques sont beaucoup plus « féodaux » et inégalitaires que les systèmes économiques et financiers occidentaux.
                    D'ailleurs les inégalités s'expliquent par les taux faibles de prélèvement et d'impôts dans les pays musulmans et non pas par les taux d'intérêts. Ces faibles prélèvements et impôts font que la richesse se concentre dans les mains de certains.

                    Envoyé par momo d'alger
                    2- L'argent en Islam est une unité de mesure et non une marchandise.Il ne subit donc pas la loi de l'offre et de la demande.

                    En théorie peut être mais en pratique l'argent subit la loi de l'offre et la demande.
                    La théorie est bien belle, mais elle n'a rien a voir avec la réalité économique.


                    La vraie question a se poser est: « la finance islamique peut elle évoluer indépendamment de la finance mondiale ? Ou est elle liée à cette dernière ? La finance islamique peut elle développer un pays sans avoir recours à la finance classique ? »

                    Commentaire


                    • #40
                      posté par joker_dzC
                      justement un avis que je donne...
                      Et bonne chance dans le garage .. l'hiver arrive
                      et bin Ton avis parle à mon nom! etant un membre qui fréquente ce Forum et que tu as généralisé dans tes propos, ..
                      le fait que tu t'en fou, et que cela ne t'interesse guère ne te permet pas de juger le Sujet en disant qu'il est inutile, ... il l'est pour TOI, pas forcement pour les autres ..alors sois respectueux je te prie ...


                      momo d'alger

                      merci pour tes eclaircissements, pour ce qui est de la AL BARAKA , une banque "quasi-islamique" comme ses gérants aiment la qualifier , je partage l'idée qu'elle est loins d'être ce qu'elle prétend d'être, pour avoir un prêt d'un millard , il en faut hypotéquer 2 !!!! .. ce qui vouderait dire que seul les Riches qui ont droit à leurs services, chose pas catholique en terme générale , anti-coranique comme tu l'a bien souligné .

                      mais je me demande pourquoi certains Savants musulmans specialistes (même des saoudiens) ne voient aucun mal dans le fait d'éléver le prix en cas de peiments à échéances (t=n) (bay'a bi takssit) , que ce soit entre un achteur et un simple revendeur, ou bien entrepreneur et une banque Islamque ..
                      comme par exemple, le cas de finacement d'un achat de véhicule chez AL-BARAKA ...
                      2.7. et Dieu a scellé leur cœur et leur entendement. De même qu’un voile leur barre la vue, et ils sont voués à un terrible châtiment. (Al Baqâra)

                      Commentaire


                      • #41
                        banque islamique ou pas ,il y'a des regles qui regissent aussi toutes ces banques et elles sont les memes pour tt le monde ,les banques sont faites aussi pour faire rentrer de l'argent

                        Commentaire


                        • #42
                          Salut Boulahya
                          Saha Aidek....

                          Commentaire


                          • #43
                            Ne confondons pas les sujets

                            Citation Maroc 88
                            Les systèmes économiques des pays musulmans et des civilisations
                            islamiques sont beaucoup plus « féodaux » et inégalitaires
                            que les systèmes économiques et financiers occidentaux.
                            D'ailleurs les inégalités s'expliquent par les taux faibles
                            de prélèvement et d'impôts dans les pays musulmans
                            et non pas par les taux d'intérêts. Ces faibles prélèvements
                            et impôts font que la richesse se concentre dans les mains
                            de certains.
                            ------------------------------------------------------
                            De grâce, ne confondons pas les sujets.La pratique financière en général est une chose,la fiscalité dans le monde arabo-islamique est tout à fait autre chose.

                            Je prends acte de la critique mais quand cela s'avère constructif. Notre ami marocain 88 semble vouloir dévier le sujet en s'en prenant aux pays dits musulmans pour leur inégalité sociale (fiscale) sous tendue par un féodalisme politique que nul ne peut nier,il est vrai.

                            Néanmoins, le but de mon intervention concernait les fondements de la partique financière telle que voulue par les textes coraniques et non la praxis telle que voulue par les Etats dits arabo-islamiques que j'ai toujours dénoncés moi-même.

                            Mais pour faire plaisir à notre ami Marocain 88, abordons donc le crucial sujet qu'est le taux de de prélèvement faible qui a cours dans ce monde sclérosé qu'est le nôtre.

                            A priori les prélèvements sont toujours élevés dans le Maghreb depuis l'occupation ou le protectorat, c'est selon, contrairement aux pays du golfe qui ont fait l'économie d'une telle démarche jusqu'à recemment avec le revirement séoudien. Mais cela a-t-il propulsé nos pays au sommet ? Ô que non.

                            Plus loin, dans le golfe, en imposant de facto un impôt sur les bénéfices des sociétés et des revenus individuels afin de supporter essentiellement le poids de la défense du royaume, les séoudiens pour ne pas les nommer changent totalement de pratique fiscale sans pour autant améliorer les choses puisque chaque prélèvement diminue en théorie le pouvoir d'achat des petites gens.Ces mêmes petites gens qui rejoignent jour après jour par colonnes entières les rangs d'AL Qaida.

                            A quelques milliers de km de nos côtes les choses ne vont guère mieux,ainsi aux USA, seulement 5% de la population détient 90% de la richesse mais tant que le peuple mange à sa faim(50 millions de pauvres tout de même) toutes les dénonciations n'y feront rien.

                            Le parti démocrate, parti des minorités s'il en est n'est plus le défenseur de la veuve et l'orphelin depuis 1968 quant le Maire Daley a cassé le mouvement de protestation de la gauche ouvrière en envoyant la garde nationale dans les rues de Chicago charger les manifestants lors de la convention du parti pour les élections présidentielles.

                            En perdant son noyau ouvrier depuis, le parti démocrate ne représente plus l'idéal du progrès social mais seulement des intérêts spécifiques qui s'appuient sur des clientèles hétéroclites.

                            Depuis, en imposant les bénéfices des sociétés liées au complexe militaro-industriel, tous les exécutifs américains républicains ou démocrates reversent ces mêmes prélèvements aux mêmes sociétés sous forme de subventions pour améliorer leurs systèmes d'armes afin de pérenniser l'Amérique et son modèle "démocratique" nous assure-t-on, privant du coup 47 millions d'américains jusqu'à 2007 de couverture médicale (assurance maladie).

                            La guerre en Irak a coûté jusqu'à présent 430 milliards de dollars (fin 2006*),malgré cela le lobby militaro- industriel crie encore au loup et réclame d'autres subsides pour affronter ce nouvel hydre que l'on nomme désormais "le djihad global".

                            Le peuple américain qui jouit de la représentativité que lui envierait n'importe quel pays arabo-musulman vient de sanctionner cette politique dite de la canonnière en changeant les députés et une partie des sénateurs mais en vain.

                            Je ne peux aller plus loin, ce n'est pas le but du topic, mais il est clair que même de l'autre côté la situation n'est guère reluisante. Je dirai même qu'il y a féodalisme politique imposé par la dynastie des Bush et ceci va à l'encontre des textes promulgués par les pères fondateurs. Comme quoi à chacun ses problèmes.
                            -------------------------------------------------------------
                            600 milliards de dollars fin septembre 2007. Un gros gâchis.
                            Dernière modification par momo d'alger, 25 octobre 2007, 23h58.

                            Commentaire


                            • #44
                              annulé par erreur
                              Dernière modification par momo d'alger, 22 octobre 2007, 15h08.

                              Commentaire


                              • #45
                                annulé par erreur
                                Dernière modification par momo d'alger, 22 octobre 2007, 15h01.

                                Commentaire

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