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L'Algérie, 2e destination des IDE en Afrique

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  • L'Algérie, 2e destination des IDE en Afrique

    D'après le rapport de "Economist Intelligence Unit", l'Algérie aurait attiré 4,7 milliards de dollars d'IDE en 2007, ce qui fait d'elle la 1ère destination des IDE au Maghreb (1,8 Mds pour la Tunisie, 1,6 Mds pour la Libye et 1,5 Mds pour le Maroc) et 2e en Afrique. L'Egypte est le pays africain qui a attiré le plus d'IDE avec 6 milliards de dollars au compteur.

    Les Etats-Unis restent le pays qui aura attiré le plus d'IDE en 2007 : 250,9 milliards de dollars.

    - Le classement des pays par IDE attirés (voir la page 36)
    - IDE : investissement direct étranger (FDI: foreign direct investment)


  • #2
    Trois milliards de dollars américains d’IDE au Maroc en 2007
    MAROC - 5 septembre 2007 - PANAPRESS Les Investissements directs étrangers (IDE) au Maroc devraient atteindre près de 3 milliards de dollars en 2007, selon le quotidien français "Le Monde" daté de mardi.
    Les deux tiers des IDE au Maroc sont assurés par des pays de l’Union européenne dont la France et l’Espagne, d’après la même source, qui précise que le dernier tiers vient des Etats du Golfe.

    Une partie importante des flux d’Investissements étrangers au Maroc va dans l’immobilier, les infrastructures notamment les ports, les routes et les aéroports. Le secteur du tourisme suscite également un vif intérêt des hommes d’affaires étrangers qui souhaitent accompagner le projet des autorités marocaines d’accueillir dix millions de visiteurs en 2010.



    ce qui contredit carrement ton article mon ami nassim
    qui croire?
    je croit plus a ca moi.........l'important ce qu'on voit de nos yeux pas ce qu'on annoce........car l'investissement de renault a lui seule approche le milliard d'euro.......

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    • #3
      Il importe de savoir quels sont les secteurs qui ont attiré ses IDEs.

      Concernent ils un ou plusieurs secteurs?

      Quel est l' impact de ces investissements sur la resorption du chomage ? etc...
      Dernière modification par chicha51, 27 septembre 2007, 00h54.

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      • #4
        @nassim
        voici un article deja posté ici et qui donne les investissements dans la region mena pour l'année 2006.ca m'etonnerai que des pays comme le maroc ou la tunisie passent de 6 milliards et 4 milliards de $ respectivement a 1,5 et 1,8 milliards
        ---------------------------------------------------------
        Le Méditerranée a le vent en poupe. Les investisseurs du monde entier s’y bousculent. Avec en prime une toute récente attractivité de la partie sud du bassin, constate le Réseau euroméditerranéen des agences de promotion des investissements (ANIMA) dans son dernier rapport.


        Pour l’heure : « La quantité semble enfin présente, reste à travailler à l’avenir sur la qualité des investissements directs étrangers », précise l’institution dans son document établi par l’Agence française des investissements internationaux, « Les investissements directs étrangers dans la région MEDA en 2006 ». Il est vrai que les principales sommes injectées sont le plus souvent destinées à trois secteurs en particulier, que sont l’immobilier-tourisme, les finances et les télécommunications. La région aura attiré pas moins de 65 milliards d’euros en 2006. C’est L’Egypte qui détient le palmarès des flux avec près de 16 milliards.
        Le Maroc se positionne en quatrième place sur 13 pays. Il s’en sort bien et a même réussi à gagner deux places par rapport à 2005 avec un montant injecté de 5,4 milliards d’euros (environ 60 milliards de DH). Nos voisins directs en ont, pour leur part, attiré moins. 3,8 milliards pour la Tunisie et à peine 2,3 milliards pour l’Algérie. D’ailleurs sur les 26 investissements supérieurs à un milliard d’euros annoncés en 2006, quatre concernent le Maroc. Tous émiratis : Al Qudra qui va investir 2,72 milliards de dollars en partenariat avec Addoha et Somed, Dubaï Holding pour le projet Amwaj avec 2 millions de dollars et enfin Emaar avec deux projets l’un de 1,55 milliard pour Saphira et l’autre de 1,44 milliard pour l’aménagement de la station d’Oukaïmeden. A noter que ces projets portent sur plusieurs années.
        Qui sont donc les investisseurs dans la région MEDA ? Les Etats-Unis sur la période 2003-2006 restent de loin le premier investisseur avec 25 milliards d’euros injectés. Destination privilégiée des Yankees : Israël, avec pratiquement les trois quarts des flux (18,1 milliards d’euros). La Turquie, l’Egypte, l’Algérie, la Libye et dans une moindre mesure le Maroc se partagent les miettes restantes. En entrant davantage dans les détails on constate que de l’Europe, ce sont les pays latins qui investissent le plus dans la région. Français, Espagnols et Belges ont une nette préférence pour le Maroc. Les trois pays auront injecté sur la même période près de 90 milliards de DH. Les Italiens plus intéressés par l’Egypte y ont investi quelque 20 milliards d’euros. Par contre l’apport de petits Etats comme la Suisse et les Pays-Bas n’est pas négligeable.
        Les deux pays disposent de multinationales très dynamiques dans la région notamment dans l’agroalimentaire, l’énergie et l’ingénierie. A noter aussi que la France a perdu son rôle de leader dès le début du millénaire. Elle est en effet passée au rang de 3e investisseur avec un montant cumulé de 10,8 milliards d’euros sur les quatre ans. La Turquie continue de battre les records des plus gros investissements. 8 pays, dont la Suède, y ont misé plus d’un milliard d’euros chacun pour la même période. Elle aura cumulé plus de 30 milliards d’euros. Et nouvelle tendance, l’avalanche d’investissements en provenance des pays du Golfe, dans la région MEDA en 2006. Emiratis, Saoudiens, Koweïtiens et autres découvrent l’attrait de la Méditerranée. A la surprise générale, les pays du Golfe sont même devenus le premier investisseur en valeur, devançant les USA, l’Asie et les pays européens. Ils totalisent 36% de l’ensemble des investissements directs étrangers dans la région, contre 25% d’origine européenne : soit donc 23,7 milliards d’euros.
        La tendance ne semble pas s’estomper, au point que les analystes n’hésitent plus à prendre en compte un espace plus large que l’Euro Méditerranée. L’Euro-Med-Golfe est désormais un espace avec lequel il faudra compter. Parmi eux, les Emirats sont les plus offensifs. En deuxième position des pays investisseurs sur la période concernée avec 17,7 milliards d’euros, les hommes d’affaires émiratis marquent une grande préférence pour l’Egypte et le Maroc. Les investissements saoudiens ont été sur la même période orientés vers le Machrek alors que les Koweïtiens font des affaires sans aucune prédilection pour l’un ou l’autre des pays de la région.
        Qu’est-ce qui explique le retour en grâce de cette région du monde longtemps déshéritée en termes d’investissements ? Plusieurs signaux, bien reçus, par les investisseurs ont été lancés. Constructions de pôles logistiques ou technologiques compétitifs abondent dans la rive Sud (Maroc, Tunisie, Jordanie). Le lancement concomitant des privatisations et de projets de concession ainsi qu’une accélération de l’immobilier, du BTP et du tourisme avec de mégaprojets en provenance du Golfe ( Maroc, Syrie, mer Morte et mer Rouge...), jouent aussi. Le document note, enfin, un sentiment de plus en plus fort en Europe, poussant à privilégier le voisinage (Est et Méditerranée), plus facilement accessible que la Chine ou l’Inde pour les PME. Ceci va de pair avec les délocalisations, même si beaucoup d’opérateurs les présentent autrement.
        Les bons coups des autres
        Après avoir plus que doublé en 2004 et 2005, les investissements directs étrangers de la région MEDA ont encore progressé de 60% l’année suivante. C’est la Tunisie qui en a le plus profité, avec une poussée de 288%, contre 132% pour Israël et 127% pour le Maroc. Celui-ci devance toutefois son voisin tunisien en termes de flux.
        L’Egypte a pris la tête du peloton, avec près de 16 milliards d’euros d’IDE, déclassant du coup la Turquie (14 milliards). Le pays des pharaons doit sa performance à une nouvelle politique volontariste et à des réformes économiques, selon le rapport. Sa situation géographique, au carrefour de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, aurait également contribué à attirer les investisseurs, notamment du Golfe. Un des bons coups de l’Egypte pour 2006 est le rachat de la Banque d’Alexandrie par l’italienne Sanpaolo, pour 1,6 milliard US$.
        La Turquie, normalement reconnue pour son industrie automobile, a carburé aux services pour l’année 2006. Plus de la moitié (55%) de ses IDE ont visé les banques, assurances et médias. Elle a également misé sur sa position de hub énergétique entre l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie centrale. La construction du pipeline Samsun-Ceyhan a drainé à lui seul 1,5 milliard US$.
        Israël, qui occupe le troisième rang, devant le Maroc, a de son côté attiré 13,7 milliards d’euros d’IDE. Sur 18 projets dirigés vers MEDA, dans la production et la conception des composants électroniques, 11 lui ont été destinés.
        De son côté, la Tunisie est en sixième position du palmarès, derrière la Syrie mais devant la Jordanie. Elle a surtout attiré les flux émanant du Golfe : 93% du total de ses IDE en étaient originaires, en 2006.
        L’Economiste - M. H. G.

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        • #5
          Le classement concerne l'année 2007 et non 2006 ni 2005. Aussi, j'ai indiqué le lien pour qui veut plus de détails sur le rapport et la méthodologie utilisée.

          Quant au rapport lui même, il a été publié le 13 septembre par la "Economist Intelligence Unit" qui est une référence en la matière.

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          • #6
            @nassim
            oui j'ai bien compris mais ce ne sont que des previsions,on n'aura les chiffres officiels qu'en 2008,comme on a eu les chiffres de 2006 qu'en 2007.

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            • #7
              oui on est le second en afrique mais si ces I.D.E. ne concernent que les hydrocarbures, ou presque, il n'ya pas lieu de se réjouir. Les investisseurs étrangers sont attirés comme le miel pour les abeilles, elles viennent butiner toute seules.

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              • #8
                emmar ?
                hydrocarbures !

                orascom ?
                hydrocarbures !

                mittal ?
                hydrocarbures !

                linde ?
                hydrocarbures !

                .........

                parler pour ne rien dire...

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                • #9
                  L'Egypte est le pays africain qui a attiré le plus d'IDE avec 6 milliards de dollars au compteur.

                  Comment se fait il que ce pays qui semble le plus compétitif économiquement est une population aussi pauvre, jusqu'à dormir dans des cimetière? Et pourquoi entend -t-on dire, qu'il survit grace à l'aide américaine?
                  On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                  • #10
                    Comment se fait il que ce pays qui semble le plus compétitif économiquement est une population aussi pauvre, jusqu'à dormir dans des cimetière? Et pourquoi entend -t-on dire, qu'il survit grace à l'aide américaine?
                    __________________
                    La population de l'Egypte dépasse les 60 millions d'habitants. Il est très très difficile pour un pays émergent de relever le niveau de vie de la frange la plus pauvre malgré les avancées économiques importantes qu'il peut réaliser. Surtout en l'absence d'un système solide de redistribution. Il y a d'énormes disparités en Egypte.

                    L'industrie lourde égyptienne n'est pas négligeable, ce qui reflète quand même un certain niveau de développement.

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                    • #11
                      El hamdoulilah, espérons que tout aille pour le mieux.
                      Mais ne devrions nous pas nous impliquer?
                      On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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                      • #12
                        egypte :

                        "la production de gaz explose, grâce aux réserves du Delta du Nil. Elle a atteint 740 kbep/j en 2005, quatre fois plus qu'en 1995 et deux fois plus qu'en 2001. L'accroissement de production a surtout servi à alimenter deux terminaux d'exportation de GNL. Du gaz est aussi exporté par pipeline vers la Jordanie"

                        l'egypte a non seulement du petrole, mais aussi quantité de gaz....

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                        • #13
                          j'aimerai savoir une chose....le SMIC en Egypte c'est combien?
                          je sais que pour un prof en Université c'est 1200 DH

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