Après avoir attiré les entreprises étrangères, l’économie algérienne commence à intéresser les fonds d’investissements internationaux. Pour la première fois, le géant américain T. Rowe Price a décidé d’inclure l’Algérie dans la liste des pays émergents dans lesquels il est susceptible d’opérer dans le cadre d’une stratégie de développement sur ces marchés à forte croissance.
Ce fonds de pension, doté d’une puissance financière de plusieurs de milliards de dollars, vient de en effet de lancer un fonds commun de placement mutualiste spécialisé sur les pays émergents d’Afrique et du Moyen-Orient, incluant l’Algérie. Son objectif : investir dans des sociétés de ces pays, via notamment des achats d’actions.
« C’est une très bonne chose que des fonds de pensions s’intéressent à l’Algérie. Ils ont des capacités financières très importantes et ils peuvent contribuer fortement à dynamiser une économie. Mais pour l’instant, les possibilités d’investissements offertes par les Algériens sont très limitées. Ces fonds investissent notamment dans des sociétés cotées en Bourse car si le pays connaît une crise ou des troubles, ils pourraient anticiper et se retirer rapidement. Or, pour le moment, la Bourse d’Alger n’offre pas vraiment des perspectives intéressantes », nuance un économiste interrogé par « ******************** ».
En Algérie, T. Rowe Price pourrait également s’associer à des groupes internationaux dans des opérations de privatisation d’entreprises publiques algériennes. Dans ce contexte, l’ouverture du capital d’Algérie offrirait une bonne opportunité à ce fonds d’investissements : il pourrait s’allier avec un opérateur de télécommunication européen. Ce dernier apporterait alors le savoir-faire technologique et T. Rowe Price les milliards de dollars nécessaires pour s’emparer d’Algérie Télécom.
Ce fonds de pension, doté d’une puissance financière de plusieurs de milliards de dollars, vient de en effet de lancer un fonds commun de placement mutualiste spécialisé sur les pays émergents d’Afrique et du Moyen-Orient, incluant l’Algérie. Son objectif : investir dans des sociétés de ces pays, via notamment des achats d’actions.
« C’est une très bonne chose que des fonds de pensions s’intéressent à l’Algérie. Ils ont des capacités financières très importantes et ils peuvent contribuer fortement à dynamiser une économie. Mais pour l’instant, les possibilités d’investissements offertes par les Algériens sont très limitées. Ces fonds investissent notamment dans des sociétés cotées en Bourse car si le pays connaît une crise ou des troubles, ils pourraient anticiper et se retirer rapidement. Or, pour le moment, la Bourse d’Alger n’offre pas vraiment des perspectives intéressantes », nuance un économiste interrogé par « ******************** ».
En Algérie, T. Rowe Price pourrait également s’associer à des groupes internationaux dans des opérations de privatisation d’entreprises publiques algériennes. Dans ce contexte, l’ouverture du capital d’Algérie offrirait une bonne opportunité à ce fonds d’investissements : il pourrait s’allier avec un opérateur de télécommunication européen. Ce dernier apporterait alors le savoir-faire technologique et T. Rowe Price les milliards de dollars nécessaires pour s’emparer d’Algérie Télécom.
Commentaire