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Le commanditaire de l’attentat de Dellys abattus

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  • Le commanditaire de l’attentat de Dellys abattus

    Lors d’une opération ayant éliminé 5 terroristes

    Selon des sources sécuritaires, l’“émir” Serraka, originaire de Sahel Bouberak, est également le commanditaire de tous les attentats commis récemment aux Issers, Bordj Ménaïel et Sid-Ali Bounab.

    C’est un grand coup de filet qui vient d’être réussi par l’ANP à Sidi-Daoud, 40 km de Boumerdès en mettant hors d’état de nuire, celui qui a exécuté l’attentat contre les grade-côtes de Dellys, l’“émir” de katibat El-Ansar, la plus importante katiba de l’ex-GSPC ainsi que cinq autre terroristes qui l’accompagnaient. Ainsi, Boussenna Aïssa dit Serraka puisque c’est lui qu’il s’agit a été abattu avec ses acolytes à Ouled Bouamara entre Sahel Bouberak et Sidi-Daoud lors de l’opération de ratissage déclenchée par l’ANP depuis une semaine dans le maquis de Sahel Bouberak. Les corps des six terroristes se trouvent depuis hier à l’hôpital de Dellys dont certains sont toujours en cours d’identification.

    Ce qui porte le chiffre à sept terroristes abattus depuis l’offensive décidée par des forces de sécurité qui avaient enregistré la veille un mort et cinq blessés dans leurs rangs toujours dans cette zone fortement boisée et difficiles d’accès. 8 armes ont été récupérées : 6 kalachnikovs et 2 PA. Selon des sources sécuritaires, l’“émir” Serraka, originaire de Sahel Bouberak, est l’un des organisateurs de l’attentat de Dellys qui a fait 32 morts et 46 blessés parmi les garde-côtes comme il est le commanditaire de tous les attentats commis récemment aux Issers, Bordj Ménaïel et Sid-Ali Bounab. C’est lui qui a remplacé Harek Zbeir dit Sofiane El-Fassila à la tête de katibat El-Ansar lorsque ce dernier a été promu par Droukdel pour diriger la zone 2 de l’ex-GSPC. Selon nos sources, Boussena Aïssa a lui-même exécuté cet attentat planifié par El-Fassila alors que la camionnette conduite par un kamikaze, un jeune de 15 ans, qui a foncé sur la caserne de Dellys aurait été bourrée d’explosifs par cet “émir” et ses hommes, précisent nos sources. Cette opération aurait été préparée très précisément à Talla Hadjra, lieu de regroupement de katibat El-Ansar dont le champ d’action s’étend, pour rappel, de Bordj Ménaïel à Sidi-Ali Bounab en passant par Dellys. Avec l’élimination de cet “émir”, c’est tout le staff de katibat El-Ansar qui vient d’être décapité puisque les autres adjoints d’El-Fassila ont été mis hors d’état de nuire comme c’est le cas de Kasdi Rabah dit El-Para ou Abou Hamza et Belkheïr Abdennour tous deux tués à Yakourène en juillet 2007 ainsi que Grimeche Abderzak tué, lui aussi, en mai 2007 à Benchoud. Par ailleurs, les forces de sécurité continuent leur avancée dans le maquis de Sahel Bouberak pour déloger les autres groupes terroristes qui écument la région, le reste du groupe de katibat El-Ansar. Les forces de l’ANP, appuyées par des troupes spéciales, des parachutistes et des éléments de la Gendarmerie nationale ont bouclé hier un important périmètre allant de Sahel Bouberak à Ouled Bouamra alors que les hélicoptères continuaient à bombarder les caches des terroristes situées à Ouled Bouhnif et la forêt El-Oudjmane sur les hauteurs de Sahel Bouberak. D’autres éléments de force de sécurité combinées se sont déployés dans plusieurs localités de la région pour éviter que des terroristes échappent aux mailles des filets. Par ailleurs, une autre opération de ratissage a été déclenchée hier à Sid-Ali Bounab pour traquer le groupe terroriste qui a perpétré l’attentat d’avant-hier et qui a fait deux morts et quatre blessés dans les rangs des militaires.

    M. T.(Liberté)

  • #2
    mendz15/07/2007, 20h41
    Le conseiller militaire de katibat El-Ansar El-Para, dit aussi Abou Hamza, et trois de ses principaux lieutenants ont été éliminés avant-hier à Sid-Ali-Bounab, lors d’un accrochage avec les éléments de l’ANP.

    Outre El-Para, de son vrai nom Kasdi Rabah, qui est le numéro 2 de katibat El-Ansar, un autre “émir” a été également tué lors de cette opération, il s’agit de l’“émir” Abdenour, de son vrai nom Belkheir Abdennour, et un certain Khobeïb de Réghaïa alors qu’un autre n’a pu être identifié.

    Selon des sources bien informées, le bilan pourrait s’élever puisque de nombreux terroristes ont été touchés et leurs corps demeuraient jusqu’à hier matin inaccessibles pour les services de sécurité compte tenu du relief très accidenté de Sid-Ali-Bounab. Selon nos sources, El-Para accompagné des principaux lieutenants et de plus de 100 autres terroristes de katibat El-Ansar se préparaient à attaquer un poste de la garde communal et deux autres postes de la Gendarmerie nationale.

    Mais, les éléments de l’ANP, appuyés par les éléments de la BMPJ et de la garde communale et qui s’attendaient à ces attaques, les ont surpris bien avant qu’ils mettent à exécution leurs plans. El-Para, l’“émir” Abdenour et deux autres terroristes sont abattus sur le champ, plusieurs autres tentent de riposter, mais une pluie de rafales les obligent à battre en retraite et à prendre la fuite à la faveur de la nuit. Mais, ils tomberont sur d’autres patrouilles de l’ANP et un violent accrochage s’en suivra et durera jusqu’à 3h du matin. Cinq fusils de type Kalashnikov, trois PA, des chargeurs de munitions, des talkies-walkies et des téléphones portables ont été récupérés à l’issue de cette opération, mais selon nos sources, le bilan va être revu à la hausse dans les jours qui viennent. À noter que katibat El-Ansar, considérée comme la principale phalange de l’ex-GSPC, a perdu déjà un de ses “émirs”, à savoir l’“émir” Djelloul, tué il y a près de trois mois à Benchoud.
    Ainsi, la plupart des chefs de cette katibat qui dépend de la zone 2 ont été mis hors d’état de nuire.
    Par ailleurs, on a appris des mêmes sources que quatre terroristes ont été tués lundi dernier à Meftah et qu’ils ont été identifiés comme étant Aksil Menouer, Abla dit Abdel Krim Souheib, Abou Abdellah de Ouled Zinae et un certain Adel Boufoul. Quatre armes ont été récupérées à la suite de cette opération qui a eu lieu au lieu-dit Sohane non loin de Meftah.
    Et aujourd'hui tu nous mets ça :
    c’est tout le staff de katibat El-Ansar qui vient d’être décapité puisque les autres adjoints d’El-Fassila ont été mis hors d’état de nuire comme c’est le cas de Kasdi Rabah dit El-Para ou Abou Hamza et Belkheïr Abdennour tous deux tués à Yakourène en juillet 2007

    Cela s'appelle une fausse information ou plutôt des mensonges car Belkheir et Merbah n'ont jamais été à Yakouren.
    Ta memoire te fait en plus defaut puisque c'est toi qui nous avait posté cette information.
    Verifie tes informations avant de poster cela evitera que tu participes à la manipulation...........
    Dernière modification par zwina, 29 septembre 2007, 23h57.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      @zwina :

      C'est écrit LIBERTE la source non ? Et puis en quoi la différence de lieu puisse etre un problème, l'important c'est que les noms concordent entre les deux articles et les périodes aussi, et dans les deux articles ils confirment qu'ils sont bel et bien éliminés.

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      • #4
        cela me rappelle une pièce théatrale algérienne ." LES MARTIRES REVIENNENT CETTE SEMAINE " e'chouhada yaoudoune hada el oussbouaa .

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        • #5
          The shy

          Exact ça me rappelle 2004 où l'ANP avait annoncé l'elimination de Droukdel pour qu'il nous le ressucite en 2007..........
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Mendz

            L'important c'est qu'en juillet, ils disaient exactement la même chose qu'aujourd'hui ce qui demontre qu'on n'est pas sorti de l'auberge. ils vont annoncer combien de fois que Sidi Ali bounab est securisé et qu'ils ont la situation en main pour que 2 mois plus tard des attentats se reproduisent au même endroit ? Relis ton message de juillet c'est clairement ecrit :

            Ainsi, la plupart des chefs de cette katibat qui dépend de la zone 2 ont été mis hors d’état de nuire.
            et surtout ça :

            Selon nos sources, El-Para accompagné des principaux lieutenants et de plus de 100 autres terroristes de katibat El-Ansar se préparaient à attaquer un poste de la garde communal et deux autres postes de la Gendarmerie nationale.
            C'est toi qui l'a posté donc tu devrais t'en rappeler..........
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              d'aprés l'expression hassane hattab serait mort en 2004

              Hassan Hattab a été exécuté par ses lieutenants

              « J’ai vu Hassan Hattab de mes propres yeux mort, inanimé dans une mare de sang, tué de plusieurs balles tirées à bout portant dans la tête et le thorax. »
              mardi 11 mai 2004.
              « Cela s’est passé à la fin de l’été dernier dans les maquis de la Kabylie à la suite d’une prise des commandes par les ultras du Gspc, principalement le groupe de l’Est, appuyé par des anciens chefs, tels Ammari Saïfi, Nabil Sahraoui et Abbi Abdelaziz. Les appuis de la Kabylie, tels Saâdaoui Abdelhamid dit Abou El Haïtham, ont été mis en minorité et isolés, et il y a fort à craindre que l’équipe de Nabil Sahraoui, au vu de ses tendances takfiries, ne verse dans les tueries du style GIA. »
              Cet aveu émane d’un ancien du Gspc qui a rejoint les maquis de l’Est, avant de « descendre » et réintégrer la vie civile, il y a quelques mois. L’information de la mort de Hassan Hattab, fondateur et émir incontesté du Gspc depuis sept ans, a été diffusée il y a un peu plus de deux mois parmi les membres du Gspc du Centre, et justifiée par le fait qu’il s’est rendu coupable de trahison et d’hérésie (« el-khiyana wal ibtidaâ »), sans que ces deux « chefs d’inculpation » soient étayés d’arguments.
              L’information brute valait ce qu’elle valait et nous attendions qu’elle soit éclairée d’un jour nouveau. Les derniers communiqués du Gspc signés par Nabil Sahraoui, pour le Nord, et Amari Saïfi, pour le Sud (prenant ainsi l’espace privilégié de Mokhtar Belmokhtar), renseignaient sur l’exclusion de Hattab, mais faisaient l’impasse sur tout ce qui concernait l’émir destitué, « afin de ne pas perturber l’esprit de guerre des hommes à un moment jugé crucial de la vie de l’organisation », qui commence à accuser de graves fissures de ses structures armées. Notre source ajoute que, après cette liquidation physique du chef du Gspc par ses pairs, qui représente, en fait, l’aile radicale et jusqu’au-boutiste de l’organisation, les maquis de la Kabylie n’ont pas « marché » derrière la nouvelle direction.
              De son vivant, Hattab y a placé ses principaux hommes de confiance et certains de ses parents par alliance, lesquels aujourd’hui « continuent à fonctionner, au niveau local, notamment à Tizi Ouzou et à l’est de Boumerdès, comme si rien n’a changé, de telle sorte que, aujourd’hui, fonctionne avec une direction tricéphale ». Dans son édition d’hier, le quotidien arabophone Es-Sabah fait vaguement allusion à la mort de Hattab, « qui aurait été liquidé par une faction composée de radicaux du Gspc ». Il se peut que la raison de cette liquidation se trouve dans « les négociations que Hattab aurait engagées avec les autorités en 2000 et 2002 », selon certaines sources. Cependant, il semble qu’il faille chercher ailleurs, car Hassan Hattab a, par trois fois, rejeté toute concession et refusé tout rapprochement avec les autorités. Les fameux « trois non » (« ni dialogue, ni trêve, ni réconciliation avec les apostats ») ont toujours émaillé ses communiqués. Dans un communiqué, diffusé au début de 2 002, il apporte un démenti à l’information donnée par L’Expression et reprise par Médi-1 et qui faisait état d’une négociation secrète entre le Gspc et les autorités pour aboutir à une trêve.
              En fait, Hassan Hattab a toujours souhaité une négociation à ses conditions, qui le placerait en pole position et permettrait à ses hommes de quitter les maquis en héros. En 1999, une médiation menée par Hachemi Sahnouni dans les maquis kabyles avait failli aboutir. En dernière minute, de son plein gré ou sous la pression des ultras, il se rétracte et affirme « ne pas faire confiance aux autorités ». « Ceux qui sont descendus avant moi ont été pour certains malmenés ou remis en prison pour d’autres », a-t-il fait entendre à Hachemi Sahnouni. Entre-temps, et suite à un large débat entre intellectuels du Gspc et des exégètes orientaux, saoudiens notamment, c’est toute la Katibat el Ghoraba d’Ahmed Jabri, stationnée à Lakhdaria, qui quitte les maquis et met fin aux hostilités. Hattab était bien au courant de cette trêve mais avait laissé faire.

              La stratégie des groupuscules
              Fort de 380 hommes, selon un rapport des services spéciaux, il suit avec intérêt la « neutralisation » des services de sécurité dans la région : « cantonnement » des militaires, « délocalisation » de la Gendarmerie nationale et l’articulation de la police autour des grands axes urbains, des édifices publics et son occupation quasi permanente à disperser les émeutiers. Les embuscades contre les détachements militaires permettant au Gspc de se doter d’armes de guerre lourdes, en plus des arsenaux de guerre acheminés vers les maquis du centre et de l’est du pays, par MBM, depuis le Mali, le Niger et le Tchad où prospère le commerce d’armes. Hattab, au contraire de Layada, Gousmi, Zitouni et Zouabri qui, tous, ont écrit des opuscules théologico-politiques, ne s’encombre pas de littérature. C’est un guerrier et entend le rester : il écrit son « art de la guerre », qu’il distribue à toutes la katibates. Rusé et fin stratège, s’appuyant sur l’expérience d’anciens parachutistes déserteurs ou révoqués, d’anciens artificiers, sur l’argent et sur une efficace « stratégie de symbiose », il a pu ancrer son groupe dans le centre, l’est et le sud du pays. Les ralliements dont il a bénéficié à l’Ouest, font du Gspc, aujourd’hui, la plus redoutable machine de guerre encore en fonctionnement. Hattab mort, il semble que c’est toute cette structure, qui a mis tant de temps à se structurer jusqu’à prendre une envergure nationale en une phase fort défavorable, qui va sceller l’éclatement du Gspc. En effet, le plus gros des troupes, bien armées et structurées, qui occupent la Haute-Kabylie ainsi que le sud d’Alger, refuseraient sans doute de faire allégeance (moubayaâ) à celui qui se présente actuellement comme émir national de ce groupe terroriste, Nabil Sahraoui en l’occurrence.
              Véritable « seigneur de la guerre », qui a su manier l’art de l’organisation la plus chevronnée qui soit, entouré par quelques déserteurs de l’élite militaire algérienne, il semble qu’il ait gardé assez de fidèles capables de tenir tête aux irréductibles de l’Est, dont la tendance, fort éloignée de la « salafiya », tende vers « El-hidjra oua takfir ». Les observateurs, au fait des maquis islamistes craignent que cette scission, dont les premiers effets commenceraient à se faire sentir incessamment, ne pousse Sahraoui et ses hommes, à la tête des maquis de l’Est, à recourir aux terribles méthodes expéditives du tristement célèbre GIA.
              Les « maquis » du Sud, quant à eux, semblent en passe de prendre leur autonomie. Plusieurs raisons abondent dans cette thèse. La première c’est que seul un homme comme Hattab, véritable meneur d’hommes, qui compte à son actif plusieurs attentats spectaculaires, notamment dans les monts de Mizrana et Sid-Ali Bounab semble être le seul capable de rassembler des groupes aussi hétéroclites. Ce n’est pas tout. La prise des otages européens, avec toutes les conséquences qu’on lui connaît, a été dévastatrice pour ces « katibates », forçant El-Para à quitter son fief « chaoui », où il régnait en « maître » absolu. Abderrezak El-Para avait été forcé de rejoindre Mokhtar Ben Mokhtar et de prendre la tête des opérations. Ce dernier, abattu lors de l’opération menée par les militaires tchadiens alors qu’il tentait d’acheminer des armes vers les maquis du nord, a laissé seul El-Para, aux prises avec une « coalition » armée formée par plusieurs pays, coordonnée par les services secrets américains. Des moyens de surveillance importants avaient été déployés dans la zone sahélienne, qualifiée de « grise », étendue au sud de l’Algérie, sur les vastes étendues désertiques du nord du Mali. El-Para, contraint à la défensive, recherchant désespérément de nouvelles alliances, a fini par être fait prisonnier.
              Un des membres du Gspc actuellement détenu dans le Tibesti (nord du Tchad), répondrait au nom de guerre de « Abou Haïdara », un des surnoms d’Amari Saïfi, dit aussi Abderrezak El-Para, numéro 2 présumé du Gspc, a en effet confirmé hier un diplomate africain à Bamako. « Le Mdjt (Mouvement pour la justice et la démocratie au Tchad), qui détient actuellement des membres du groupe islamiste armé algérien, a communiqué à deux pays africains plusieurs appellations d’islamistes qui sont entre ses mains, et parmi ces noms figure celui d’Abou Haïdara, un des nombreux surnoms du chef-adjoint du Gspc », a déclaré à l’AFP le diplomate africain qui a requis l’anonymat. El-Para aurait été notamment distingué des autres islamistes armés algériens par la déférence que les autres prisonniers manifestaient envers lui, a précisé le diplomate. « Des pays africains ont clairement fait savoir aux responsables du Mdjt que pour prouver qu’ils ne sont pas des terroristes, ils doivent, sans contrepartie, livrer immédiatement tous les membres du GSPC qu’ils détiennent », a-t-il poursuivi. Ce qui reste du Gspc, indiquent des sources sécuritaires, laminé par les redditions et les coups de boutoir des services de sécurité, ne disposant plus d’une direction unie, devrait se déployer en groupuscules quasi autonomes, extrêmement mobiles, dont certains, rapportions-nous dans une précédente édition, ont même commencé d’infiltrer la capitale.
              Le Gspc, qui sent son heure approcher en tant que groupe terroriste capable de tenir des maquis depuis l’élimination de Hattab, sait bien que sa seule chance de « survie médiatique », réside dans les attentats urbains, notamment dans l’Algérois.
              Par Fayçal Oukaci et Mohamed ABDOUN,l’Expression

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              • #8
                The Shy

                Il y a encore mieux dans ton article c'est ça :

                Les « maquis » du Sud, quant à eux, semblent en passe de prendre leur autonomie. Plusieurs raisons abondent dans cette thèse. La première c’est que seul un homme comme Hattab, véritable meneur d’hommes, qui compte à son actif plusieurs attentats spectaculaires, notamment dans les monts de Mizrana et Sid-Ali Bounab semble être le seul capable de rassembler des groupes aussi hétéroclites. Ce n’est pas tout. La prise des otages européens, avec toutes les conséquences qu’on lui connaît, a été dévastatrice pour ces « katibates », forçant El-Para à quitter son fief « chaoui », où il régnait en « maître » absolu. Abderrezak El-Para avait été forcé de rejoindre Mokhtar Ben Mokhtar et de prendre la tête des opérations. Ce dernier, abattu lors de l’opération menée par les militaires tchadiens alors qu’il tentait d’acheminer des armes vers les maquis du nord, a laissé seul El-Para, aux prises avec une « coalition » armée formée par plusieurs pays, coordonnée par les services secrets américains. Des moyens de surveillance importants avaient été déployés dans la zone sahélienne, qualifiée de « grise », étendue au sud de l’Algérie, sur les vastes étendues désertiques du nord du Mali. El-Para, contraint à la défensive, recherchant désespérément de nouvelles alliances, a fini par être fait prisonnier.
                Il est passé où AbdelRazak El Para ?
                Dernière modification par zwina, 30 septembre 2007, 00h51.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Envoyé par zwina
                  L'important c'est qu'en juillet, ils disaient exactement la même chose qu'aujourd'hui
                  Juillet 2007 :

                  c'est Kasdi Rabah, Belkheir Abdennour (un émir), Khobeïb de Réghaïa qui ont été éliminés

                  Et aujourd'hui :
                  c'est Boussenna Aïssa ( un autre émir) et 5 autres terroristes éliminés.

                  Et les deux articles sont tout à fait cohérents sauf pour la différence entre Sid ali bounab et Yakouren qui est juste une différence de lieu, donc différence mineure.

                  Commentaire


                  • #10
                    Mendz

                    C'est loin d'être mineur car d'autres journaux reprennent cette fausse information qui n'est pas repandue à la lègère....ils cherchent à justifier les bombardements de Yakouren où ils ont fait chou blanc et pour cela une coquille leur rend service ce qui fait que dans 20 ans on dira qu'après l'atttaque de Yakouren El Para et BELKHEIR ont été tués ce qui est un mensonge.

                    Puis surtout les noms de Kasdi et de Belkheir me choquent car ce ne sont pas des noms inconnus.........ceux sont deux noms historiques de la SM et de la DRS.........
                    Dernière modification par zwina, 30 septembre 2007, 01h17.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      Zwina

                      L'information en temps de guerre, n'est fiable ni d'un cote ni d'un autre, mais toujours est il quand un article s'accompagne d'un fait qui est la morgue, jusqu'a preuve du contraire il a le credit d'une source fiable.
                      Quand a faire comprendre que les journaux algeriens ne sont pas a la hauteur de l'evenement , je me souviens d'une guerre du golf ou tous les medias du monde reprennaient les texte du pentagone, .

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