Bonsoir
Telle est la prédiction du maire de New York, Michael Bloomberg.
Il la fonde sur le caractère «démentiel» de la dette publique.
M. Bloomberg, 65 ans, l'un des hommes les plus riches du monde et fondateur de l'agence d'informations financières qui porte son nom, a dénoncé une crise de confiance du fait du ralentissement économique qui pourrait, selon lui, n'être qu'une brève dépression, mais pourrait aussi conduire à un effondrement brutal.
M. Bloomberg, qui s'adressait au congrès annuel des Conservateurs britanniques à Blackpool, a estimé que les gouvernements devraient constituer des réserves pour faire face aux dérapages économiques.
«Etre conservateur sur le plan budgétaire veut dire qu'on doit se préparer à faire face au ralentissement inévitable de l'économie», a-t-il précisé. Les gouvernements se doivent à ses yeux de créer les conditions qui permettent aux marchés de fonctionner et portent une responsabilité dans ce domaine.
Il a ajouté que la «débâcle» de la banque britannique Northern Rock en septembre n'était qu'un indicateur supplémentaire de la tourmente que connaissent les marchés financiers. Il a souligné que la crise n'était pas due uniquement à l'effondrement du secteur «subprime» du crédit immobilier aux Etats-Unis, mais qu'il s'agissait d'une crise de confiance qui touchait tous les acteurs économiques.
Source: SDA/ATS
Telle est la prédiction du maire de New York, Michael Bloomberg.
Il la fonde sur le caractère «démentiel» de la dette publique.
M. Bloomberg, 65 ans, l'un des hommes les plus riches du monde et fondateur de l'agence d'informations financières qui porte son nom, a dénoncé une crise de confiance du fait du ralentissement économique qui pourrait, selon lui, n'être qu'une brève dépression, mais pourrait aussi conduire à un effondrement brutal.
M. Bloomberg, qui s'adressait au congrès annuel des Conservateurs britanniques à Blackpool, a estimé que les gouvernements devraient constituer des réserves pour faire face aux dérapages économiques.
«Etre conservateur sur le plan budgétaire veut dire qu'on doit se préparer à faire face au ralentissement inévitable de l'économie», a-t-il précisé. Les gouvernements se doivent à ses yeux de créer les conditions qui permettent aux marchés de fonctionner et portent une responsabilité dans ce domaine.
Il a ajouté que la «débâcle» de la banque britannique Northern Rock en septembre n'était qu'un indicateur supplémentaire de la tourmente que connaissent les marchés financiers. Il a souligné que la crise n'était pas due uniquement à l'effondrement du secteur «subprime» du crédit immobilier aux Etats-Unis, mais qu'il s'agissait d'une crise de confiance qui touchait tous les acteurs économiques.
Source: SDA/ATS
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