Annonce

Réduire
Aucune annonce.

5.6 % des algériens vivent sous le seuil de la pauvreté

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • 5.6 % des algériens vivent sous le seuil de la pauvreté

    Un rapport du Délégué National de la Planification a révélé que le phénomène de la pauvreté est estimé à 5.6 % au niveau national en dépit de l’abondance financière et des financements colossaux dans le secteur social. En outre, une hausse des prix considérable a été enregistrée (2.5%) selon les estimations finales de l’année 2006. Ce pourcentage est bien loin des prix de l’année 2007 ce qui menace la stabilité sociale.
    Le délégué a déclaré, dans un bilan des indices économiques et sociaux de l’année 2006 exposé devant le Conseil du Gouvernement mercredi dernier, que le phénomène de la pauvreté reste toujours présent dans les milieux sociaux avec un taux de 5.6 % selon les normes générales de la pauvreté. Aussi, il a exprimé sa satisfaction quant à l’augmentation des taux d’indices du développement économique et la multiplication des allocations sociales.
    Le rapport qui fait mention de la hausse des prix à la consommation estimé à 2.5 %, affectera sans conteste l’économie nationale avec l’inflation des prix des matières premières et des produits alimentaires dans le marché international. Alors que les produits agricoles ont connus une nette augmentation de 5.5 %, à souligner que l’importation des marchandises a atteint 21.42 milliard de dollar du budget public en 2006.


    elkhabar
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

  • #2
    5,6% de pauvres!!!!!!et ben dites donc ils n'ont pas peur du ridicule.

    Commentaire


    • #3
      donne nous tes chiffres rod!!
      Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

      Commentaire


      • #4
        donne nous tes chiffres rod!!

        il n'en a pas. et lorsqu'on a pas de chiffres et on conteste des chiffres donnés, généralement on souhaite des chiffres contraires. Pourquoi? devine.
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

        Commentaire


        • #5
          il va nous sortir des chiffres de 50% ,ou 100% ou un truc comme sa, comme dhab, et biensur sans source !
          Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

          Commentaire


          • #6
            @kaiser
            il va nous sortir des chiffres de 50% ,ou 100% ou un truc comme sa, comme dhab, et biensur sans source !
            ce n'est pas la peine de caricaturer ca n'apporte rien.
            un chiffre compris entre 12 et 15% aurait été plus plausible comme au maroc.voici un petit article qui parle d'un taux de pauvreté de 23% mais je n'y crois pas non plus.
            __________________________________________________ ______
            Forte de son expertise en formation et transfert d'expertise, l'APEFE ouvre son bureau à Alger en janvier 2006, dans la foulée de l'accord de coopération signé par les Gouvernements de la Région Wallonne et de la Communauté Française avec la République algérienne.
            Cet accord offre des possibilités d'intervention en formation professionnelle, développement des PME (industries manufacturières) et santé.

            En novembre 2005, l'APEFE a invité des partenaires algériens potentiels à participer à un séminaire visant à définir les lignes directrices de l'action de l'APEFE en faveur de leur pays.

            Classée par la Banque mondiale parmi les Pays à Revenu Intermédiaire, tranche inférieure (PRITI) à la 107ème place sur 173 pays en matière d'indice de développement humain, l'Algérie, bien que disposant de ressources et d'un potentiel économique importants, continue à rencontrer de nombreuses difficultés en matière de développement et de lutte contre la pauvreté.

            Le chômage qui est en baisse mais était encore de 17,7% en 2004, touche en particulier les jeunes. Par ailleurs, 23 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté.

            L'Algérie figure parmi les 18 pays prioritaires en matière de coopération au développement pour la Belgique fédérale. Un Programme Indicatif de Coopération (PIC) algéro belge 2003-07 se fondant d'une part sur les orientations des plans de la stratégie socio-économique nationale du Gouvernement algérien et d'autre part sur les priorités de la Coopération internationale de la Belgique, a été signé en mai 2000. Il se concentre sur la solidarité et la lutte contre la pauvreté, le soutien aux initiatives de renforcement institutionnel, l'environnement, la santé et l'eau. Différents secteurs de coopération où l'APEFE a développé une expertise reconnue.

            2 interventions seront identifiées en 2006 dans les secteurs prioritaires.

            Effectifs en place en janvier 2006 : 1 coordonnateur.

            Dernière mise à jour : ( 23-05-2006 )
            Dernière modification par rodmaroc, 06 octobre 2007, 17h23.

            Commentaire


            • #7
              pauvreté..

              Il suffit de se ballader en Algerie pour faire l'estimation..il y a a vue d'oeil sans aucune étude ..( car les études statistique ..serieuse n'existent pas en Algerie) au moins plus de la moitié de la population qui est pauvre et quand on approfondie c'est plus des 2/3.

              5.3% même en Europe occidental ou au Etats unis ils n'ont pas un chiffre aussi bas..
              un peu de serieux les amis..

              Commentaire


              • #8
                c'est sa le probleme rodmaroc, c'est qu'il existe plusieur critiere poour la pauvreter!donc plusieur jonre, le plus utilise est celui ou on calcul le nombre de personne qui ont moin de 1 $ par jour! alors qu'on algerie ou on maroc ,on peu fair plein de chose avec 1 $ !!et aussi il yas celui d emoin de 2$ et si on compte 2$ par jour donc 60 $/mois, alors que le smig est de 150$,si un homme marie avec un enfant recoi 150$ par mois ,donc 50$ par membre de famille, il sera percu comme un pauvre???!
                Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

                Commentaire


                • #9
                  Etude biaisée, je n'y crois pas c'est pour montrer qu'en Algérie c'est pas si pire que ça (Tout va bien).

                  A moins que pour ces analytes, faire vivre une famille de 4 personnes avec 10 000 DA/mois est considéré comme étant une famille moyenne et non pas une famille pauvre.
                  Dernière modification par naouas, 06 octobre 2007, 19h14.

                  Commentaire


                  • #10
                    Au Canada, ils sont 17% à vivre sous le seuil de la pauvreté...

                    Le seuil Algérien doit être très bas, voire inexistant

                    Commentaire


                    • #11
                      Foutaises... L'Algérie est pleine de pauvres dailleurs ils devraient le renommer seuil de richesse et compter ceux qui ne sont pas pauvres ça irait plus vite.
                      Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

                      Commentaire


                      • #12
                        C'est diffcile de mesurer un seuil de pauvreté. Et il ne peut y avoir de critères universels.

                        Par exemple, dans nos pays il y a la solidarité inter-familliale qui fait que les gens ne peuvent pas et ne veulent pas être considérés comme pauvres.

                        si tu enleves cette solidarité, bien evidemment tu peux te retrouver avec des taux élevés. Et bcp d'Algériens vivraient dans la rue
                        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                        Commentaire


                        • #13
                          ne te casse pas la tete bledard, laisse les cree leur propore chiffre,juste pour dire que l'algerie ne va pas bien!!!
                          Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

                          Commentaire


                          • #14
                            La proportion de la population vivant au dessous du seuil de pauvreté alimentaire est passée, selon l’étude LSMS CENEAP 2005, de 3,6% en 1988 à 1,6% en 2004 équivalent à 518 000 personnes. Le seuil de pauvreté générale a concerné 3,98 millions de personnes en 1995. En 2004, ils ne sont que 2,2 millions de personnes, soit une réduction en moyenne annuelle de 6,37% et la pauvreté au seuil de 1$ par jour / habitant serait insignifiante en 2004.

                            C’est pour atténuer un tel effet, dans un contexte marqué par des contraintes financières sévères et les restrictions budgétaires qui en découlent, que les politiques publiques de protection sociale ont été remodelées et développées. L’aggravation de la pauvreté a incité les pouvoirs publics à mettre en oeuvre des instruments de lutte initiés en 1992 pour limiter les impacts sociaux du processus de réajustement structurel de l’économie engagé au milieu des années 90, ces instruments ont été transformés en 2001 en une intervention plus large de l’Etat pour enrayer les phénomènes de pauvreté et d’exclusion des populations susceptibles d’être fragilisées par l’ouverture sur l’extérieur de l’économie et l’orientation libérale de son nouveau mode de régulation.

                            Il convient de rappeler qu’un programme national de lutte contre la pauvreté et l’exclusion a été élaboré à la suite de la conférence internationale organisée sur ce thème à Alger en 2000, en écho à la Conférence Mondiale sur les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) de septembre 2000.

                            2- Les moyens de lutte contre la pauvreté

                            On peut noter essentiellement :

                            a) L’économie nationale a renoué, durant les cinq dernières années, avec des taux de croissance soutenus, et les contraintes qui pesaient sur la création de l’emploi ont été allégées. Le taux de chômage a été réduit presque de moitié (15,3% en 2005 au lieu de 29,5% en 2000).

                            b) L’importance des transferts sociaux s’élève à plus de 770 milliards de DA, soit 50% de la fiscalité pétrolière et 12,6% du PIB. Le budget social de l’Etat s’est considérablement accru par rapport à l’exercice 2000, passant de 161,1 milliards de DA à 293 milliards de DA en 2004, soit un accroissement annuel moyen de plus de 16%. Les dépenses ont été consacrées au soutien à l’éducation (bourses), aux actions d’assistance sociale (enfance assistée, personnes âgées et handicapés), aux prestations familiales et pensions des moudjahidine et aux fonds sociaux (Fonds Social de Développement, Fonds National de Soutien à l’Emploi des Jeunes, Fonds National du Logement).

                            c) Durant la période 2000-2005, les différents dispositifs de protection sociale, d’insertion à travers la promotion d’emplois d’attente et la création de micro-entreprises et micro-activités, et d’actions de solidarité, ont été maintenus et développés

                            In Rapport National sur le developpement humain Conseil National Economique et Social / P N U D, Algérie 2006 pages 36-37

                            Commentaire


                            • #15
                              C’est pour atténuer un tel effet, dans un contexte marqué par des contraintes financières sévères et les restrictions budgétaires qui en découlent, que les politiques publiques de protection sociale ont été remodelées et développées..........

                              ( Jawzia)

                              ............................

                              Sans commentaires.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X