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Lettre d'un traitre à un ripoux

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  • Lettre d'un traitre à un ripoux

    Un peu de pudeur Benchicou

    A la lecture d'une chronique de Mohamed Benchicou parue dans le quotidien Le Soir d'Algérie, je n'ai pas pu me retenir pour lui adresser cette lettre qui n'a toujours pas de réponse de la part de celui qui s'est toujours fait passer pour un redoutable polémiste.

    Mohamed,
    J'ai pas aimé qu'on te mette à l'abri pour une période de 2 ans, comme un vulgaire délinquant. Pour la simple raison que le pouvoir a condamné un lampiste et non pas ceux qui se cachaient derrière lui. D'ailleurs, je l'ai dit lors de la réunion de la FIJ à Bruxelles en présence de ton épouse et de ceux qui étaient venus te soutenir du bout des lèvres mais qui pensaient tout bas que tu méritais d'aller en prison. J'avais dit que j'étais contre ton emprisonnement parce que tu n'étais pas le seul à faire le change parallèle à la bourse du square Port Saïd. Vous êtes des milliers à le faire (en tous les cas, moi je ne l'ai jamais fait. Et quand il m’arrive d’envoyer de l'argent à ma mère, je passe par Western-Union et je garde toujours les preuves de l'envoi parce que je suis trop propre et je tiens à le rester) . Tu as vu comme Nezzar et ses pairs sont ingrats ; Non seulement ils n’ont rien fait pour t’éviter la prison, pis encore, ils ne t’ont même pas ramené une orange ou un paquet de cigarettes, les salauds ! (tu m’excuses de les traiter de salauds même s’ils sont tes amis).

    Bien que le délit pour lequel tu as été condamné est ce qu’il y a de plus régulier puisque de l’avis de beaucoup de tes proches tu étais un spécialiste du change parallèle (un crime économique qui a appauvri l’Algérie). Mais, je reconnais que tu as été envoyé au cachot parce que tu as mélangé sales affaires et politique. Quand on est sale on ne doit pas ouvrir sa gueule. Il n’y a que les hommes propres comme moi (et je le dis fièrement) qui peuvent se permettre de dénuder les hommes du pouvoir. Ils ont remué ciel et terre pour me trouver le moindre point noir pour m’ester en justice ou me faire scandale dans la presse (tu les aurais servi volontiers), ils n’ont rien trouvé. C’est beau ça, n’est-ce pas ? Je paye cher le prix de mon intégrité et de ma probité et parfois on me prend pour un con, mais j’accepte de payer le prix .

    Que penses-tu de quelqu’un qui est installé en France depuis 10 ans et qui refuse de demander la nationalité française, ni pour lui ni pour ses enfants ni pour son épouse, ne serait-ce que pour des facilités administratives ?

    Tu le qualifie pour un con, un fou ou un chouchou ? Moi ? je trouve que c’est trop fort ! Ce n’est pas donné à n’importe qui de le faire. Cela me coûte 860 € par an et par enfant scolarisé en Belgique parce que je réside en France et j’ai choisi de scolariser mes enfants en Belgique. Et crois-moi, je ne roule pas sur l’or. Je ne fais pas de change parallèle non plus et je n’ai pas de rente. Je suis comme tu me l’as écrit une fois « un démuni », mais je suis HOMME et F’HAL comme on dit chez nous dans les Aurès Ichawiyen.

    Contrairement à toi, je n’ai pas acheté une maison en France. Après 10 ans de présence dans ce pays, je suis toujours locataire. Quel comble ! Et même dans l’entreprise que j’ai créée pour publier le mensuel RACINES D’OUTRE-MED’ je n’avais pour seul associé qu’un pauvre démuni comme moi. A deux, nous avons laissé nos économies dans ce magazine qui a dérangé du monde l’espace de 7 numéros avant qu’il ne rende l’âme. Et à ce jour, je continue de payer les dettes de ce sacré MAGAZINE. Je n’ai pas crée BIRD COMMUNICATION avec des gens friqués et je n’ai pas mis des parts au nom de ma belle mère. Tu comprends ce que je veux dire par là, mon cher Mohamed !

    Tu t'en prenais à moi pour avoir publié La Mafia des Généraux à l'étranger et te voilà m'imiter quelques années plus tard.mais, toi tu agissais pour le compte de cette même mafia que tu as défendu "courageusement" au lendemain de la parution de mon livre en cherchant à entretenir, comme d'habitude, l'amalgame entre l'institution militaire et une bande de généraux voyous et mafieux. Pourtant, moi j'avais publié mon ouvrage en France parce que je ne pouvais pas faire autrement d'autant plus que je suis un réfugié politique.

    Parce que je faisais mon boulot de journaliste en informant l'opinion publique sur les frasques de Khalifa, tu me traitais de "chouchou" et de "délateur". Pour toi, tant que tu mangeais dans la main de Khalifa (toi et tes filles comme tu me l'as avoué par écrit), il ne fallait pas dénoncer les pratiques scandaleuses du golden boy dont tu étais l'un des conseillers.
    Je viens de lire ta chronique intitulée "Akli et Chakib" et je me suis vraiment marré en lisant ce passage "la chanteuse Amel Wahby nous traînait devant le juge pour l’avoir soupçonnée de recel du pactole Khalifa". Et toi, Mohamed, tu n'as pas commis le même délit que Amel wahby? En d'autres termes, tu n'as pas touché au pactole de Khalifa?

    Je me suis marré encore plus et je n'ai pas pu me retenir pour te consacrer un peu de mon temps en t'écrivant ces lignes "Dieu merci, qu’il arrivait au Matin de révéler des choses avérées et cela suffit pour nous réconcilier avec l’idée que le journalisme sert parfois à quelque chose »; Non seulement Le Matin, sous ta conduite ne faisait aucune révélation sur le scandale Khalifa alors que tu connaissais beaucoup de choses, mais il faisait pire. Le Matin ne souffla pas mot sur l'arrestation de Djamel Guelmi à l'aéroport d'Alger en possession de ses sacs bourrés de billets de banque. C'est ça le journalisme à la Benchicou? Un journalisme auquel je consacre tout un chapitre dans mon prochain livre "Khalifa est-il un escroc ou un homme de paille?".

    Si Khalifa a commis l'escroquerie du siècle sur le plan financier, toi Mohamed, tu as commis l'escroquerie du siècle sur le plan moral en transformant une condamnation pour une affaire de droit commun en une condamnation politique. Eh! oui... en te lisant, il me revient toujours à l'esprit cet adage arabe qui te va comme un gant "il n'y a pas plus loquace qu'une **** pour parler d'honneur!" et je ne comprends pas pourquoi tu te fâches.

    SANS RANCUNE AUCUNE

    Le démuni et honnête Hichem ABOUD
    le 27 janvier 2007
    Dernière modification par sidibemol, 10 octobre 2007, 14h41.

  • #2
    Graves accusations.

    Y'a t il eu un droit de réponse de M.Benchicou ?

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    • #3
      Sidi Bemol

      Tu es Hichem ABOUD ?
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #4
        Zwina

        et toi tu es Benchicou ?

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        • #5
          Beaucoup de pourritures dans le milieu. Je lisais le Matin de temps en temps mais les dernières années, ce journal s'est tansformé en torchon.

          Zwina, peux-tu nous en dire plus sur ces accusations ?
          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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          • #6
            La mare aux requins...Ils finissent par s'entre-dévorer.

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            • #7
              Dz

              Incroyable mais vrai, Benchicou n'a jamais répondu à ces accusatons pas même une plainte d'après les informations disponibles. Hichem Aboud a fait condamner Canl Plus pour la diffusion d'un documentaire qui était bel et bien manipulé. Le pire c'est que l'on apprend qu'il existe des colonels imaginaires tout comme il existe des terroristes imaginaires.......

              Hichem Aboud fait condamner Canal +
              pour le documentaire " attentats de Paris 1995 "
              Le 25 novembre dernier, le tribunal de Paris a rendu le verdict de l'affaire opposant Hichem Aboud, auteur du livre " La Mafia des Généraux ", à la chaîne de télévision française Canal+ dont l'audience s'est tenue le 14 novembre dernier, en condamnant Dominique Farrugia, Directeur de la publication de la chaîne de télévision Canal+, Jean Baptiste Rivoire et Romain Icard , journalistes, coupables et complices du délit de diffamation publique envers particulier commis à l'encontre de M.Hichem Aboud.

              En répression, le tribunal les condamne chacun à une amende de 1000 Euros, et à payer à Hichem Aboud un euro à titre de dommages et intérêts et la somme de 1000 euros sur le fondement des dispositions de l'article 475-1 du code de procédure pénale.

              Ainsi, pour la première fois, un algérien fait condamner une chaîne de télévision française considérée jusqu'ici comme une institution intouchable. Quant à Jean Baptiste Rivoire il aura à méditer longuement sur cette condamnation qui figurera en bonne place sur son casier judiciaire.
              Il est à noter que les coupables n'ont pas interjeté appel de cette condamnation estimant qu'ils s'en sortent à bon compte.
              être l'adjoint d'un général ou d'un colonel .

              Qui nous a-t-on présenté comme véritables patrons de l'Algérie, dans cet organigramme? Larbi Belkheir, Mohamed Touati, Benabbes Ghezaïel, Khaled Nezzar, Aït-Abdessalem et leurs acolytes qui ont été nourris au sein de l'armée coloniale? Non. Pour ce pseudo-journaliste, les véritables patrons de l'Algérie sont Hichem Aboud qui collectionnait les condamnations à des peines de prison pour délit de presse durant la période traitée par le documentaire de Canal+ et Ahmed Chouchane qui était en prison pour appartenance à la mouvance islamiste. C'est aussi un colonel imaginaire qui répond au nom de B.Ali dont la véritable l'histoire sera bientôt révélée, deux officiers subalternes que sont le capitaine Hocine Ouguennoune et le commandant Samraoui aux côtés du colonel Tartag Bachir et des généraux Nezzar, Tewfik, Smaïn et Lamari. Tels sont les véritables patrons de l'Algérie qui figurent sur un organigramme imaginé et concocté par J.Baptiste Rivoire. Un organigramme qu'il présenta comme secret pour mieux frapper les esprits et donner du crédit à une grossière manipulation qui a fini par lui coûter une condamnation par la 17ème chambre du tribunal correctionnel de Paris.
              Il est à rappeler La chaîne cryptée Canal+ avait diffusé au mois de novembre, un magazine consacré aux attentats qui ont secoué la capitale française en 1995. Dans ce magazine Jean Baptiste Rivoire connu pour sa haine viscérale de tout ce qui est algérien, et principal auteur du documentaire, a présenté un supposé organigramme qu'il présentait comme étant l'organigramme secret de l'armée algérienne. Un organigramme dans lequel se côtoient officiers généraux et officiers subalternes comme si en Algérie, un capitaine pouvait
              Sur son site, il precise que toutes personnes incriminées peut parfaitement l'attaquer en diffamation. Nezzar l'a fait et il a perdu. On apprend aussi que Mohamed Lamari etait à la bataille d'Alger mais contre ses frères.

              Lettre ouverte aux organisations nationales
              des Moudjahidine et des enfants de chouhadas

              Le Général Mohamed Lamari avoue
              sa participation à la bataille d'Alger.

              Il est passible des tribunaux algériens
              pour haute trahison

              Dans l'interview qu'il a accordée à l'hebdomadaire français, Le Point du 17 janvier 2003 (page 45), le Général Mohamed Lamari a fait un étonnant aveu en déclarant avoir participé à la bataille d'Alger durant la guerre d'Algérie. De quel côté a-t-il vécu cette bataille ? Sûrement pas du côté de la résistance algérienne. Il est de notoriété publique que cet ancien sous officier de l'armée coloniale n'a rejoint l'ALN qu'en 1961. Il a, donc, vécu la bataille d'Alger du côté de l'armée coloniale. Cela se vérifie lorsqu'il affirme en parlant de la torture " J'ai personnellement vécu la bataille d'Alger et n'ai en aucun cas voulu que nous employions de telles méthodes ". D'autre part, il est de notoriété publique que la bataille d'Alger a été menée par l'armée coloniale contre les fidayine du FLN et non pas contre l'Armée Nationale de Libération. Par conséquent, le général Lamari ne peut en aucun cas introduire le doute sur sa participation à cette bataille en tant que soldat de l'ALN.

              Cet aveu passé sous silence par les médias algériens ne peut échapper à la vigilance des forces patriotiques fidèles au serment du 1er novembre. Les organisations nationales des moudjahidine et des enfants de Chouhadas sont interpellées pour demander la traduction de ce traître devant les tribunaux algériens pour haute trahison et demander sa dégradation et sa destitution de son poste de chef d'état-major de l'Armée Nationale Populaire. N'oublions pas que c'est au cours de cette bataille que l'Algérie a perdu l'un de ses meilleurs fils Larbi Ben M'hidi.

              Le silence des organisations nationales des moudjahidine et des enfants de Chouhadas ainsi que celui des partis politiques sera synonyme de complicité et considéré comme haute trahison de la mémoire de ceux qui ont sacrifié leur vie pour la liberté de l'Algérie. Je ne saurai demander au président de la République d'entamer pareille démarche tant j'ai la conviction qu'il a perdu le sens de l'honneur des moudjahidine en se livrant pieds et poings liés à des généraux maffieux anciens soldats de l'armée coloniale.

              C'est une honte sans pareille que d'avoir à la tête de l'armée algérienne un traître qui a participé à la bataille d'Alger dont l'objectif était de démanteler le FLN et mettre fin à la révolution du 1er novembre 1954. La honte poursuivra tous ceux qui resteraient indifférent à ce message et l'histoire les jugera tôt ou tard pour avoir fait commerce du sang de nos martyrs.

              Hichem Aboud
              Le 28 janvier 2003

              Copies à :
              - Abdelaziz Bouteflika, Président de la République
              - Tous les organes de la presse nationale
              - Les chefs de partis politiques algériens.
              - Les présidents de l'APN et du Sénat
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                Par contre, la lettre qui a été postée hier sur FA provient de ce site et est signée d'un certain Ali de Saida tout en precisant que les personnes citées ont le droit de reponse. Je ne suis pas incriminée mais je me permet de vous dire que la vie privée des gens ne nous concernent nullement et qu'il faut parfois penser à ce que l'on publie et surtout aux consequences. Cela est digne des paparazzis de Voici ou Public mais pas d'un journaliste serieux.

                Si vous voulez être credible, restons sur le bon sujet et evitons de faire dans le radio trottoir.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  En effet, poster des informations sur la vie privé des autres est à proscrire. Je viens de lire une autre lettre de Hichem Aboud où il parle du pavillon, de l'apart que Benchicou a acheté à Paris mais aussi des sociétés qu'il a créé mais je ne préfère pas la poster...

                  En tout cas, on voit le niveau d'une partie des journalistes algériens...
                  La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                  • #10
                    DZmes bond ;il ne fait que crier tout haut ce que tout le monde n'ose méme pas se dire tout bas.
                    ¸.¤*¨¨*¤.¸¸...¸.
                    \¸.♥ ALGERIE ♥.¸¸.
                    .\¸.¤*¨¨*¤.¸¸.¸.¤
                    ..\

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                    • #11
                      Arrêter de mettre Benchicou en figure de proue de la démocratie algérienne, son livre est une honte pour un journaliste!!!

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