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Algérie: le numéro 2 d'Al-Qaïda au Maghreb aurait été tué en Kabylie

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  • Algérie: le numéro 2 d'Al-Qaïda au Maghreb aurait été tué en Kabylie

    Algérie: le numéro 2 d'Al-Qaïda au Maghreb aurait été tué en Kabylie
    (10/10/2007) Le numéro 2 d'Al-Qaïda au Maghreb (ex-GSPC), Zobeir Harkat dit Sofiane Fassila, a été tué dimanche en Algérie dans un accrochage avec l'armée en Kabylie, ont annoncé mercredi des journaux algériens.



    L'information n'a pu être confirmée de source officielle.

    Sofiane Fassila, 32 ans, présenté comme l'artificier principal de l'organisation affiliée à la nébuleuse d'Oussama Ben Laden, et un habile négociateur d'armes pour le maquis, a été tué en même temps que deux autres islamistes armés, sur la route reliant Boghni à Tizi Ouzou, à une centaine de kilomètres à l'est d'Alger, selon les journaux.

    Il aurait été à l'origine de l'introduction, depuis avril dernier, des attentats suicide en Algérie. Plusieurs de ces attentats, utilisant de jeunes kamikaze, ont pris pour cibles notamment le Palais du gouvernement, deux commissariats de la banlieue est d'Alger, deux casernes de l'armée à Lakhdaria et Dellys, le cortège présidentiel à Batna. Ces actions ont fait au total une centaine de morts.

    Sofiane Fassila aurait succédé au poste de n°2 d'Al-Qaida au Maghreb à Amar Saïfi, dit Abderrazka el-Para, après son arrestation en 2004 au Tchad et son extradition vers l'Algérie. El-Para se trouve actuellement en détention à Alger où il attend son procès, notamment pour l'enlèvement de 32 touristes européens, en majorité allemands, dans le Sahara algérien en 2003.

    L'intronisation officielle de Sofiane Fassila comme n°2 d'Al-Qaïda au Maghreb - dirigée par Abdelmalek Abdelouadoud, dit Abou Moussaab Abelouadoud - n'a jamais été annoncée par cette organisation.

    Selon la presse algérienne, elle faisait l'objet de dissensions au sein de l'organisation entre partisans d'Abou Moussaab Abdelouadoud et opposants.

    Sofiane Fassila est par ailleurs présenté comme le chef de la logistique d'Al-Qaïda pour l'achat et la livraison d'armes aux maquis.

    Il aurait également été à la tête d'un réseau de "passeurs", dont il était le seul à connaître les ramifications et qui échapperait désormais aux chefs de l'organisation.

    Sofiane Fassila aurait été pendant longtemps un proche de Hassan Hattab, fondateur et ancien "émir" du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), qui s'est rendu le 22 septembre aux autorités pour bénéficier de la grâce présidentielle prévue dans la Charte de réconciliation nationale.
    AFP
    Dernière modification par orion, 11 octobre 2007, 12h23.

  • #2
    Bonnes nouvelles pour tout le maghreb : les algeriens bien sur mais aussi les marocains, les tunisiens, ...
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
    Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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    • #3
      inchallah qu'ils soient tous exterminés !

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      • #4
        On vois le 1 le 2 avec Algérie sauf quand on parle de terrorisme de corruption …triste réalité :22:
        Dernière modification par jDev10g, 11 octobre 2007, 12h19. Motif: rectif

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        • #5
          khorti ........

          • Posté par Abdesselam Ali-Rachedi, 10 Octobre, 2007 14:58:57
            Selon El Watan du 21 août 1999, Hassan Hattab aurait été tué par Okacha, le para. Pour Liberté, Hassan Hattab serait mort le 2 janvier 2000. Pour l'Expression, il serait mort le 11 mai 2004. Cela ne l'empêche pas pour autant d'écrire une lettre à Bouteflika si l'on croit Liberté du 13 septembre 2007. Le 18 septembre 2007, il est annoncé comme ayant destitué Droukdel de la tête du GSPC par le même Liberté. Enfin M. Zerhouni nous révèle que Hassan Hattab (donc plusieurs fois mort et ressuscité, comme l'ont été Abdelmalek Droukdel, Antar Zouabri et Djamal Zitouni) s'est rendu aux autorités le 22 septembre 2007. Mais le Soir d'Algérie nous apprend aujourd'hui que Hassan Hattab s'était bien rendu en 2005. Ajouter à cela que Hassan Hattab avait été formellement accusé de l'assassinat de Matoub en juin 1998, puis disculpé, sans explication. Il y a donc de sérieux doutes sur la fiabilité de la fameuse source à laquelle se refèrent généralement les journalistes sécuritaires.
          Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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          • #6
            Du moment qu'il n'y à pas de photos...je ne crois pas,qu'ils apportent plus de preuve!

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            • #7
              que ces monstres disparessent tous ,l'algerie commence a voir
              le bout du tunnel là ou il y a la lumiére

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