Ali Benhadj continue à défier les autorités algériennes et à envenimer la situation sécuritaire en Algérie !!
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Algérie : Ali Benhadj dénonce l’ingérence française dans les affaires algériennes
Par Rafik Tayeb (avec AFP)
10/10/2007
Tout Sur l'Algérie
Les responsables islamistes algériens multiplient les attaques contre la France. Après les chefs du GSPC qui ont affirmé vouloir frapper les intérêts français en Algérie, c’est autour de l’ancien numéro deux de l’ex-FIS de dénoncer l’ingérence française dans les affaires intérieures algériennes. « Malgré le mépris affiché par la France, qui refuse de présenter des excuses sur ses crimes durant la colonisation, elle continue de s'ingérer dans les affaires intérieures de l'Algérie », écrit Ali Belhadj dans ce communiqué daté du mardi 9 octobre.
Le chef islamiste qui accuse la France d’avoir refusé « de fournir à l'Algérie les plans des mines antipersonnel qui ont été posées par l'armée française lors de la guerre d'Algérie à travers le pays et qui ont fait des centaines de victimes », reproche au pouvoir algérien d'avoir « transformé les forces de sécurité en chiens de garde des intérêts français et américains, sous couvert de la lutte contre le terrorisme » et d'avoir instauré dans le pays « une injustice flagrante, sans pareille dans l'histoire de l'Algérie ».
« Ce sentiment d'injustice, de frustration et d'exclusion est de nature à pousser à la violence et à la révolte contre l'autorité de l'État inique », poursuit Belhadj, en accusant le régime algérien de lui avoir « interdit, à trois reprises, de présenter sa candidature pour les élections municipales et régionales, alors que je pensais recouvrer mes droits politiques et civils spoliés ».
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Algérie : Ali Benhadj dénonce l’ingérence française dans les affaires algériennes
Par Rafik Tayeb (avec AFP)
10/10/2007
Tout Sur l'Algérie
Les responsables islamistes algériens multiplient les attaques contre la France. Après les chefs du GSPC qui ont affirmé vouloir frapper les intérêts français en Algérie, c’est autour de l’ancien numéro deux de l’ex-FIS de dénoncer l’ingérence française dans les affaires intérieures algériennes. « Malgré le mépris affiché par la France, qui refuse de présenter des excuses sur ses crimes durant la colonisation, elle continue de s'ingérer dans les affaires intérieures de l'Algérie », écrit Ali Belhadj dans ce communiqué daté du mardi 9 octobre.
Le chef islamiste qui accuse la France d’avoir refusé « de fournir à l'Algérie les plans des mines antipersonnel qui ont été posées par l'armée française lors de la guerre d'Algérie à travers le pays et qui ont fait des centaines de victimes », reproche au pouvoir algérien d'avoir « transformé les forces de sécurité en chiens de garde des intérêts français et américains, sous couvert de la lutte contre le terrorisme » et d'avoir instauré dans le pays « une injustice flagrante, sans pareille dans l'histoire de l'Algérie ».
« Ce sentiment d'injustice, de frustration et d'exclusion est de nature à pousser à la violence et à la révolte contre l'autorité de l'État inique », poursuit Belhadj, en accusant le régime algérien de lui avoir « interdit, à trois reprises, de présenter sa candidature pour les élections municipales et régionales, alors que je pensais recouvrer mes droits politiques et civils spoliés ».
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