La vie

[chevalblanc]

Dans la vie il vaut mieux être loup que brebis...

A bon entendeur!

[Zacmako]

Sans ombrage

Pour tous les grands maux qui n’ont pas de remède
Et qui rongent ces patients jusqu’à ce qu’ils décèdent
Pour ces jeunes qui ont vu toute leur jeunesse s’envoler
Morte, écrasée par le joug entre la fenêtre et ses volets.

A toi, perdu dans le désert et qui ne sait guère où aller
Rêvant d’un verger doté de sources à chacune de ses allées
Prêt à donner ton futur pour qu’on te montre ton chemin
Et trouver enfin quelqu’un de vrai, à qui tenir la main.

Pour ces rivaux qui s’entretuent sans raisons apparentes
Et glorifient les clans et sectes auxquels ils s’apparentent,
Pour ces désespérés qui n’ont d’autre voie que le suicide
Parceque leur terne existence n’est remplie que de vide.

A toi qui verse des larmes et qui n’arrive pas à les sécher
Croulant sous le poids de tes malheurs et de tes péchés
Implorant sans arrêt le grand maître de la providence
D’alléger ton fardeau et t’offrir au moins une chance.

Je dirai à tous, sans ombrage que j’ai déjà connu tout cela
Et que la vie a posé maintes fois sur ma gorge, son coutelas
Mai je me suis agrippé bec et ongles, et sans lâcher prise,
Scrutant à tout instant l’imminence d’une douce surprise.

La voilà qui se dessine mais ses contours sont encore incertains
Telle l’issue du combat entre l’horizon et le mirage au petit matin
Je distingue ses cris et ses appels d’une voix audible mais amère,
La distance est trop longue entre nous, il y a le vide il y a la mer.

Vivrai-je assez longtemps pour pouvoir étreindre ses alentours
Ou me faudra-t-il une autre vie et attendre que vienne mon tour ?
Quelle merveille se serait que d’être près d’elle, au soleil levant
Pour la protéger de mes mains, telle une bougie qui craint le vent.

[Océane]

Si tu n’as jamais connu ce sentiment amer
Ce vide à l’intérieur ce désert
L’envie d’arrêter de respirer cet air
Cette envie d’éteindre la lumière
Pour toujours pour l’éternité entière
Quitter enfin ce corps cette chair

Et libère cette âme emprisonnée
Laisse-la s'envoler, folâtrer à son gré
Et quand de ta sépulture tu la verras
Se délectant d'une nouvelle aura
Tu maudiras cette désepérance si amène
Qui t'illumine le chemin de l'aven
Que tu prêches à tout venant
Ne remarquant pas les fuyants
Tu déploies tes jérémiades quotidiennement
Empoisonnant ton être et ton environnement

[Sherazade-dz]

Quel talent mon cher ami Zacmako...je suis vraiment fière de toi... membre de ton fan club

[chevalblanc]

Océan trouble

Commence par sortir la tête de ton trou
Donnons nous rendez vous peu importe ou
De nuit ou de jour
Un aller simple sans retour
On s'envolera ensemble pour le ciel
Vers la paix et le bonheur eternel

CHICHE!

[bylkusdu94]

ah moi j'aime bien picadelle!
ça fait plaisir de te lire!

[Océane]

un chiche à la hâte

Commence par sortir la tête de ton trou
Donnons nous rendez vous peu importe ou
De nuit ou de jour
Un aller simple sans retour
On s'envolera ensemble pour le ciel
Vers la paix et le bonheur eternel

CHICHE!

Chiche ! Je te défie !

Relève-toi et vaincs tes angoisses avec brio
Sèche tes larmes et démêle cet imbroglio
La vie ne s'apitoie pas sur ton lot
Elle va malgré tes mélis-mélos
Que tu te lamentes en choeur ou en solo
Que tu restes tapi dans ton cachot
Tu ne suscites que pitié mais point de bravo
Et pourtant chaque jour qui s'offre à toi
Est une apothéose que tu dois prendre avec joie

[absente]

Tiens... Océane divague maintenant.

[Océane]

mais non

... Elle égoutte quelques rimes en attendant que son pain cuise !

[absente]

Un plaisir de lire tes quelques gouttes.

[Bachi]

Tsu

J'en suis ébaubi

[absente]

T'as vu ça Bachi

Veux-tu que je te pince pour croire tes yeux?

[Océane]

pince ... mince !

... Je viens de me rappeler que j'ai oublié de mettre une pincée de sel dans la pâte !

[absente]

Un peu de prose ne fait mal

Mince alors !

Suis certaine que ton pain va être aussi bon que tes gouttelettes.

[chevalblanc]

Rire jaune

Citation:
Commence par sortir la tête de ton trou
Donnons nous rendez vous peu importe ou
De nuit ou de jour
Un aller simple sans retour
On s'envolera ensemble pour le ciel
Vers la paix et le bonheur eternel

CHICHE!
Chiche ! Je te défie !

Relève-toi et vaincs tes angoisses avec brio
Sèche tes larmes et démêle cet imbroglio
La vie ne s'apitoie pas sur ton lot
Elle va malgré tes mélis-mélos
Que tu te lamentes en choeur ou en solo
Que tu restes tapi dans ton cachot
Tu ne suscites que pitié mais point de bravo
Et pourtant chaque jour qui s'offre à toi
Est une apothéose que tu dois prendre avec joie

Tiens..... tiens..... qu’est ce que je lis ?
La déesse des océans troubles qui fait l’assistante sociale?
Qui compatis ….?
c’est trop touchant…
Oh my god… je vais pleurer…
Mon maquillage est foutu…
J’étais sûre que tu allais te dégonfler,
Allez retournes à ta cuisine va..
Ta pizza aux scorpions est sur le point de bruler...