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Réconciliation n’est pas synonyme d’impunité !?

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  • Réconciliation n’est pas synonyme d’impunité !?

    L’ancien chef du GIA a été libéré en mars 2006

    Réconciliation n’est pas synonyme d’impunité. Pour preuve: l’ancien chef du Groupe islamique armé (GIA), Abdelhak Layada, alias Abou Adlane, a été interpellé, hier par la police et présenté au procureur général du tribunal d’El Harrach indique-t-on de source judiciaire. M.Layada et son fils aîné Adlane, étudiant à l’université d’Alger, sont l’objet d’une information judiciaire ouverte après une altercation avec un policier, il y a plusieurs mois, selon cette source.

    Il convient de rappeler que l’ancien chef du GIA, condamné à mort en 1993 par la justice algérienne après avoir été extradé du Maroc, a été libéré en mars 2006 dans le cadre de la mise en oeuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale adoptée par référendum en septembre 2005.

    Pour sa part, l’ancien numéro2 du Front islamique du salut (FIS dissous), Ali Belhadj, pourtant interdit de parole, depuis sa libération le 2 juillet 2003, remet ça. En effet, ce dernier dans un communiqué daté de mardi dernier s’en est pris dans des termes injurieux aux services de sécurité algériens.

    Des termes que nous ne pourrons pas reproduire, par respect à ces corps de sécurité qui ont sauvé le pays du chaos extrémiste. Autrement dit, il reproche à l’Etat algérien de mener la lutte contre le terrorisme. Des propos passible de poursuites judiciaires, tant les accusations contenues dans le communiqué sont à la limite de l’insulte et de la diffamation.

    D’ailleurs ce n’est pas la première fois que Benhadj s’attaque aux forces de sécurité, puisqu’il s’est déjà attaqué au défunt général-major Smain Lamari.

    Enfin, poussant le ridicule à son comble, il accuse les autorités de lui avoir «interdit à trois reprises, de présenter sa candidature pour les élections municipales et régionales...» Benhadj feint-il d’ignorer que depuis les législatives de 1991, la donne a littéralement changé?

    Saïd KACEM

    L'Expression du 11 Octobre 2007.
    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

  • #2
    Bonsoir

    Je ne sais pas que signifie le mot justice ou dois-je dire le concept de la justice aux yeux de tout ces brailleurs, mais il est clair que le ridicule ne tue pas .

    Le journaliste est à la limite du scandale, choqué par les propos de la larve, mais pas par ses actes.

    Que vaut cette comparution devant la justice , attendu que la décision majeur à l'encontre de cette "larve", à savoir la condamnation à mort, reste sans valeur.

    Que vaut réellement l'appareil judiciaire, qui est discrédité chaque jour un peu plus .

    Il est clair que les injures et le manque de respect ,sont un délit , mais est ce plus grave que d'arracher sauvagement des vies humaines ?

    Le journaliste fait dans la demi-mesure dans son article, l'audace journalistique de Djaout, makbel, Tazerout... et j'en passe, manque cruellement à la presse d'aujourd'hui .
    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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    • #3
      l'audace journalistique de Djaout
      Et qu'écrivait Djaout ?

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      • #4
        par respect à ces corps de sécurité qui ont sauvé le pays du chaos extrémiste
        Tout à fait d'accord avec cela car, malgré des méthodes brutales de ces services, semble-t-il, ainsi qu'un tribut insupportable en drames, pertes de dizaines de milliers de humaines ............................... , personne ne sait ce qu'il en aurait été du pays si ceux qu'on villipende aujourd"hui n'avaient pas réagi de la sorte.
        Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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