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Enfants contraints au travail...

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  • Enfants contraints au travail...

    Bonjour à toutes et à tous et saha Aïdkoum.
    Actuellement, plus de 250 millions d'enfants dans le monde sont contraints au travail. Que ce soit dans les mines à charbon à soulever des charges plus lourdes qu’eux ou accroupis toute la journée dans de l’eau à tamiser le sable pour trouver de l’or, 2/3 d’entre eux sont exploités pour ne pas dire soumis à un esclavage moderne.
    Sans parler du trafic d’enfants parfois à des fins perverses.
    Chez nous au bled, on voit de plus en plus d’enfants se ‘’mettre au boulot’’, vendeurs de cigarettes, de journaux, receveur de bus, gardiens de parking, ect…
    Est-ce le besoin matériel dans le but d’aider le paternel à joindre les deux bouts ou est-ce ‘’rentable’’ au point ou ces garnements délaissent volontairement les bancs de l’école.
    Quelle est votre analyse ?
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    dur de ce mettre a leur place
    obligation
    sacrifice en vers la famille
    servitude
    ésclavagisme
    misére ;famine ;désespoir
    trop de paramétre a prendre en compte

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    • #3
      Chez nous au bled, on voit de plus en plus d’enfants se ‘’mettre au boulot’’, vendeurs de cigarettes, de journaux, receveur de bus, gardiens de parking, ect…
      si c'est du travail à temps partiel, je veux dire si ce boulot les laisse se scolariser, c'est bon...
      ca dépend de quel âge ils ont aussi...

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      • #4
        je suis d'accord avec @bachi
        tout dépend de l'âge de ces "garnements "
        encore quoi que la scolarité reste un luxe dans certaine région

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        • #5
          Justement, ce n’est pas le fait que ces enfants travaillent à mi-temps ou par sacrifice au reste de la famille qui choque le plus, c’est le fait que ces mômes soient ''utilisés'' par des énergumènes véreux qui les exploitent et surtout qui leurs font faire des efforts au dessus de leurs capacités et qui seront jetés comme des torchons une fois ‘’usés’’ comme on jette une pile périmée.
          Profitant de leur situation précaire ou parfois misérable, ces suceurs de sang leur font faire des boulots insoutenables en échange d’une bouchée de pain.
          Et personne ne lève le petit doigt pour mettre fin à cet esclavage des temps modèrne
          .
          Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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          • #6
            Zac : mon avis est que cela est inadmissible quelque soit la raison. C'est de l'exploitation pure et dure. Un enfant doit vivre sa petite enfance dans l'insouciance et la rêverie. Ses seules occupations ne devraient que jouer et aller à l'école. On n'a pas le droit de leur voler leur enfance. Il aura le reste de sa vie pour travailler et subvenir à ses besoins!

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            • #7
              oui l'oiseau t'as raison
              mais jusqu'a que la réalité vous rattrappe et vous fais rappeler que cette vie n'est pas un conte de fée
              enfin pas pour tout le monde

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              • #8
                mais jusqu'a que la réalité vous rattrappe et vous fais rappeler que cette vie n'est pas un conte de fée
                ok, fox, mais ce n'est pas non plus une raison pour laisser des malfrats la transformer en cauchemar pour ces chérubins.
                Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                • #9
                  ouais ça c'est sûr @zac
                  tout le monde en a conscience mais comme tu l'as si bien dis personne ne bouge le petit doigt
                  du moment que se ne sont pas leurs enfants tout va bien et ça c'est la triste réalité !

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                  • #10
                    Des 14 ans, on doit encourager ( ou pousser) les ados à travailler un peu...
                    Le travail est une excellente école

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                    • #11
                      Il aura le reste de sa vie pour travailler et subvenir à ses besoins!
                      c'est bien beau cela, mais si les enfants travaillent ce n'est pas par enchantement où pour etre riches, mais pour subvenir à leurs besoins immédiat, habits et bouffe, que leurs parents n'ont pas pus leur offrir .
                      le future ? ils n'y pensent meme pas .

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                      • #12
                        Salut Bachi:
                        Des 14 ans, on doit encourager ( ou pousser) les ados à travailler un peu
                        tu as bien souligné ''encourager'' et ''dés 14 ans''; et dans ce contexte là qui n'adhérerait pas?
                        Mais ce n'est hélas pas le cas dans ce que nous constatons chaque jours. Il faut les voir dans ''la plonge'' des gargottes et dans les cafés, ces petits qui ne dépassent pas la dizaine d'années...
                        Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                        • #13
                          Nécessité oblige, mon ami Zac...
                          C'est malheureux, triste qu'un petiot à cet âge commence déjà s'échiner au labeur. Toute une vie sacrifiée pour cause de pauvreté...

                          L'état devrait interdire cela et aider davantage les parents à s'occuper de leurs enfants....

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                          • #14
                            Bonsoir

                            C'est vrai que le travail des enfants est en soi condamnable de prime abord. mais que faire lorsque ces enfants vivent dans des pays où l'école est considérée comme inutile car assimilée à une trajectoire certaine vers l'oisiveté et le chômage.

                            Que faire également quand l'hypocrisie et le profit à bas prix fait dire à ces exploiteurs que, contrairement à ce qu'on pense d'eux, ils se considèrent comme de véritables acteurs sociaux et même des sauveurs grâce à qui les enfants travaillent au lieu de traîner et chaparder dans la rue.

                            La notion d'enfance n'est malheureusement pas commune à toute l'humanité et, reflexion faite, je me demande bien où est le juste milieu entre ces enfants esclaves des PVD et les "enfants-rois" des pays dits développés où le confort et le trop plein feront des jeunes enfants occidentaux d'éternels enfants, incapables de faire face un jour à leurs responsabilités.

                            Il y a en effet un vieil adage qui dit qu'on ne donne le meilleur de soi-même que lorsqu'on a le dos au mur et il n'est pas exclu que ce qui est considéré aujourd'hui comme une tare, un boulet, ne se transforme demain en atout.
                            Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                            • #15
                              nécessité c'est le mot clé
                              est là l'état ni pourra rien
                              inciter les parents a envoyer leurs enfants a l'école par des obtentions de primes ou des crédits d'impôts
                              renforcer le code tu travail par des inspéctions et des procédures judiciare pour les contrevenants avec de lourdes amendes pour eux
                              mais je suis sûr que ces téxtes éxistent déjà faut il encore les appliquer
                              *

                              on a déjà du mal a faire réspecter les doits de l'homme alors les droits de l'enfants je vous laisse imaginer !
                              l
                              Convention internationale des Droits de l'Enfant
                              (Conclue le 20 novembre 1989 - Ratifié en France le 2 septmbre 1990)
                              La Convention internationale des droits de l'enfant, adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies (ONU) le 20 novembre 1989, complète la Déclaration universelle des droits de l'homme - qui évoque déjà les droits de l'enfant dans son article 25 - en prenant en compte le statut particulier de l'enfant.
                              Ce n'est pas le premier texte international sur les droits de l'enfant puisque c'est le 17 mai 1923 que l'Union internationale de secours aux enfants, fondée en 1920, a adopté une première "Déclaration des droits de l'enfant" - dite Déclaration de Genève - reprise le 26 septembre 1924 par l'assemblée de la Société des Nations (SDN). Pour leur part, les Nations unies ont mis en place, le 11 décembre 1946, un Fonds international des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) et adopté, le 20 novembre 1959, à l'unanimité de leurs 79 Etats membres, une Déclaration des droits de l'enfant.
                              La Convention a force de loi pour les pays signataires - seuls les Etats-Unis et la Somalie ne l'ont pas, à ce jour, ratifiée. Elle est entrée en application le 2 septembre 1990.
                              Article 50
                              L'original de la présente Convention, dont les textes anglais, arabe, chinois, espagnol, français et russe font également foi, sera déposé auprès du secrétaire général de l'Organisation des Nations unies.
                              EN FOI DE QUOI les plénipotentiaires soussignés, dûment habilités par leurs gouvernements respectifs, ont signé la présente Convention.
                              [Convention adoptée et ouverte à la signature, ratification et adhésion par l'Assemblée générale des Nations unies dans sa Résolution 44/25 du 20 novembre 1989. Entrée en vigueur le 2 septembre 1990, conformément à l'article 49.]

                              Dernière modification par KAMEL, 15 octobre 2007, 19h29.

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