On vient juste de fêter le deuxieme anniversaire du séisme de Boumerdes qui a endeuillé toute une ville et mis à terre le tissu urbain de plusieurs agglomérations. Mais d'autres séismes plus dévastateurs et permanents ravagent sournoisement en permanence et sans concession les esprits de beaucoup d'entre nous. Et le plus terrible d'ente eux est la langue de bois, pratiquée avec plus d'assuidité dans les états de non droit où toute parole officielle doit imparétivement passer par les canaux de labélisation et de formatation permettant ainsi à chaque système d'avoir une main mise sur les discours servis au plus grand nombre. Sans le fameux quitus, on préfère se taire, quitte à créer un début de panique, plutôt que d'aller à l'encontre de la formulation adéquate.
Notre quotidien baigne dans la langue de bois, qui elle même découle d'une autre pratique, la censure. Ainsi journaux( mêmes les prétendus libres), télé, radio, hommes politiques( les champions de l'exercice) , hauts et petits cadres et enfin les classés hors catégories les journalistes-fonctionnaires, tous sans exception nous ressassent des rengaines apprises miticuleusement et docilement dans les sphères de la prise de décision. Quelques variantes sont permises, suivant le moment et la situation, par exemple faire semblant que la parole s'est libérée en faisant dans la manipulation outrancière en provoquant une diarrhée verbale publique qui parfois se termine dans le sang. Car les peuples n'ont jamais reçu la formation spécifique d'obéir aux injonctions qui consiste à rentrer dans les rangs après les courtes périodes de récréations improvisées. D'où certains débordements et c'est un euphémisme, constatés ça et là, mais vite fait la reprise en main reprend ses droits. Et le processus remis en branle pour d'autres decennies de quiétude fabriquée!!
La langue de bois a de beaux jours devant elle, car elle permet de mettre sous silence les véritables problèmes d'une nation. Un silence qui voudrait changer de statut pour reprendre à son compte la parole mais au profit des plus démunis et faire trembler par ses vibrations les fondements du mépris. Pire qu'un tsunami-séisme réunis..mais encore faut-il que les conditions "géologiques" soient réunies!!!! En attendant...nos "tuteurs".. font feu de tout bois!! !!
Notre quotidien baigne dans la langue de bois, qui elle même découle d'une autre pratique, la censure. Ainsi journaux( mêmes les prétendus libres), télé, radio, hommes politiques( les champions de l'exercice) , hauts et petits cadres et enfin les classés hors catégories les journalistes-fonctionnaires, tous sans exception nous ressassent des rengaines apprises miticuleusement et docilement dans les sphères de la prise de décision. Quelques variantes sont permises, suivant le moment et la situation, par exemple faire semblant que la parole s'est libérée en faisant dans la manipulation outrancière en provoquant une diarrhée verbale publique qui parfois se termine dans le sang. Car les peuples n'ont jamais reçu la formation spécifique d'obéir aux injonctions qui consiste à rentrer dans les rangs après les courtes périodes de récréations improvisées. D'où certains débordements et c'est un euphémisme, constatés ça et là, mais vite fait la reprise en main reprend ses droits. Et le processus remis en branle pour d'autres decennies de quiétude fabriquée!!
La langue de bois a de beaux jours devant elle, car elle permet de mettre sous silence les véritables problèmes d'une nation. Un silence qui voudrait changer de statut pour reprendre à son compte la parole mais au profit des plus démunis et faire trembler par ses vibrations les fondements du mépris. Pire qu'un tsunami-séisme réunis..mais encore faut-il que les conditions "géologiques" soient réunies!!!! En attendant...nos "tuteurs".. font feu de tout bois!! !!
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