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Le gisement de zinc et de plomb à Tala-Hamza et Amizour

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  • Le gisement de zinc et de plomb à Tala-Hamza et Amizour

    Secteur minier algerien
    gros potentiel mais à surveiller à cause des risques de pollutions des eaux , des sources .

    Danger !
    Forumistes et visiteurs de Tala Hamza - Amizour.
    Informez vous ou si vous êtes dans le coin , la population doit être sensibilisée


    exemple: le gros gisement de zinc et de plomb à Tala-Hamza et Amizour


    De l’extrême difficulté d’accéder à l’information , Wilaya de Bejaia
    quotidien '' l'authentique ''

    Terre de paradoxes et de contrastes, notre pays se singularise par la qualité de ses élites qui, hélas, font le bonheur des universités et centres de recherche étrangers et un niveau d’intégration tout juste acceptable pour tout ce qui se rapporte aux performances réalisées localement dans la maîtrise, la couverture et l’accès aux moyens de communication modernes. C’est un peu comme s’il avait quelque difficulté à intégrer le 21e siècle dont on sait qu’il est dominé, tout au intégrer pour cette première décade par les nouvelles techniques de l’information et de la communication. Communiquer, de nos jours, est vital pour la survie des grands et petits ensembles économiques. Et la performance, le leadership se mesurent à l’aune de la rapidité mise à communiquer et à avoir accès à l’information. Exit donc la rétention de l’information, le secret, l’opacité. Exit aussi les satrapes, à la science infuse qui ont poussé l’art de la dissimulation jusqu’à la sublimation absurde.
    Ce monde, pense-t-on, a vécu. C’est du moins l’idée largement répandue qui fait de la transparence un principe cardinal de toute bonne gouvernance. Seulement, on ne se débarrasse pas aussi simplement des vieux réflexes. A l’ère du village planétaire, à Béjaïa, la plupart de ceux qui détiennent une parcelle d’informations, notamment celles ayant trait à l’actualité, continuent à sacrifier volontiers au culte du secret. S’il est patent que certains secteurs, autrefois verrouillé à triple tour se sont ouverts, pour un peu on parlerait de maison de verre, d’autres sur lesquels ni le temps, ni les mutations et profondeur intervenues dans le paysage mondial n’ont guère de de prise continuent à faire de l’information une chasse gardée. Ils sont nombreux, les cadres et responsables à recommander un rendez-vous, à la moindre sollicitation, avec une cellule de communication qui comme de juste ne fonctionne que de manière erratique, c’est-à-dire sans trop se mouiller et quand survient un évènement de taille.
    Même dans cette configuration, le renseignement fourni s’avère souvent largement déclassé. Il est navrant, par la profession, la nôtre, de se voir doubler par Alger à qui la primeur de l’information d’un fait survenu pourtant localement est réservée. Navrant, rageant et frustrant !
    Il n’est pas rare après avoir sollicité un responsable, de se voir signifier “J’ai reçu une note de la tutelle m’enjoignant de ne rien dire”. Surréaliste et génialement absurde.

    Entre les quelques sociétés étrangères installées dans la région et leurs partenaires locaux, c’est de gouffre intersidéral qu’il faudrait parler sur le plan de la communication.

    Essayez donc d’avoir le moindre renseignement sur les gisements de zinc et de plomb mis à jour à Tala-Hamza et Amizour. Kafka n’a rien vu ! La lumière, elle est du côté de Terramin, le partenaire australien. Un clic sur son site internet et ce tout ce qu’un curieux avide de savoir désire connaître apparaît, dans une transparence totale. C’est tout simplement renversant la foule d’enseignements et de renseignements qu’on peut obtenir sur son site : des réserves prouvées à la profondeur d’exploitations, de la teneur des minerais à l’importance des filons, des cours à la city actualisés à chaque fluctuation, à la durée de vie des mines… Bref, toutes choses que pas un ne se hasarderait à demander à ses partenaires nationaux, par peur d’être rabroué.
    L’information quand elle est livrée, tout en étant sélective est frappée de suspicion car toute entorse à la règle de l’omerte devient vite sujette à caution.
    ( commentaire de Sioux les infos de la société Terramin sont aussi à verifier)

    L’accès à l’information dans notre wilaya empreinte des chemins escarpés et relève du parcours du combattant les règles, sont souvent laissées entre les mains des décideurs et la qualité de la communication souvent tributaire de leur personnalité. A l’évidence cette pratique, tombée largement en désuétude ailleurs, ne sert personne. L’ouverture tous azimuts est un pari osé certes, mais vital. Au nom du droit irréfragable de savoir, nul n’a été mondaté pour s’arroger l'exclusivité ou le monopole de l’information.
    M. R.

    === MODERATION ===
    Lisez la FAQ pour apprendre à rédiger correctement vos topics/messages : http://www.algerie-dz.com/forums/faq...edaction_topic
    Dernière modification par Sioux foughali, 16 octobre 2007, 13h33.

  • #2
    c tt le danger avec tt ces projets immences à milliards , l'algerie n'a pas su mobiliser à temps les ressources humaines capables de les encadrer mettre son sur le qui fait quoi, et veuiller à la protection des interet de la partie algerienne et surtt a la santé et l'environnement .. des bureaux d'etudes serieux doivent etre appeler a uivre l'evolution de tel projets ,et des mecanismes d'alerte initiés chaque fois qu'il ya deviation des clauses du contart signé, la societé civile c bien mais elle est marginalisée, non competente ..
    en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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