***
Une nuitée chaude sous la lune rousse
Un bruit, une ombre qui passe, si douce
C'est une gazelle craintive dans la nuit
Elle se glisse près de la lagune,sans bruit..
**
Non loin de là derrière un buisson touffu
Une panthère noire à l'affût
Ses sens soudain s'affolent
De ces gazelles,le fauve noir en raffole.
***
Les vagues de dunes mouvantes
Sous le vent ce soir, chantent.
Et, la gazelle s'enfuit apeurée
Un bruit, une odeur l'ont alerté.
**
Soudain dans un halo de lumière
Surgi la panthère, guidée par son flair
Elle entreprit de suivre sa proie
Malgré le sable et le froid .
***
Un prédateur nez au vent
La suivait silencieusement.
Elle se sentait en danger
Il l'avait pisté et s'avançait.
**
Affamé par des journées infructueuses
lentement le fauve rampe jusqu'à sa proie
Cette nuit la savane lui offre un met de choix
Douceurs exquises pour papilles et muqueuses;
***
Apeurée elle se réfugia dans le taillis
Le fauve d'un bond, la coucha à terre;
Elle tressaillit, les crocs plantés en sa chair
Son oeil si doux se referma, sans un cri..
**
L'amour comme la faim
nous font agir de façon irraisonnée
Mieux aurait-il valu l'aimer,
le plaisir eut été partagé
Trop tard, il lui reste à digérer...
Un bruit, une ombre qui passe, si douce
C'est une gazelle craintive dans la nuit
Elle se glisse près de la lagune,sans bruit..
**
Non loin de là derrière un buisson touffu
Une panthère noire à l'affût
Ses sens soudain s'affolent
De ces gazelles,le fauve noir en raffole.
***
Les vagues de dunes mouvantes
Sous le vent ce soir, chantent.
Et, la gazelle s'enfuit apeurée
Un bruit, une odeur l'ont alerté.
**
Soudain dans un halo de lumière
Surgi la panthère, guidée par son flair
Elle entreprit de suivre sa proie
Malgré le sable et le froid .
***
Un prédateur nez au vent
La suivait silencieusement.
Elle se sentait en danger
Il l'avait pisté et s'avançait.
**
Affamé par des journées infructueuses
lentement le fauve rampe jusqu'à sa proie
Cette nuit la savane lui offre un met de choix
Douceurs exquises pour papilles et muqueuses;
***
Apeurée elle se réfugia dans le taillis
Le fauve d'un bond, la coucha à terre;
Elle tressaillit, les crocs plantés en sa chair
Son oeil si doux se referma, sans un cri..
**
L'amour comme la faim
nous font agir de façon irraisonnée
Mieux aurait-il valu l'aimer,
le plaisir eut été partagé
Trop tard, il lui reste à digérer...
Commentaire