Depuis les deux grands attentats terroristes du mois de septembre dernier, dont l’un a ciblé Bouteflika à Batna et l’autre une caserne des gardes côtes à Dellys, une guerre est ouverte entre les terroristes et l’armée et dont le champ de bataille est la Kabylie.
Il ne se passe pas un jour sans que l’on ne signale un acte terroriste à travers la Kabylie.
Durant la nuit de dimanche dernier, à Boghni un groupe de trois dangereux terroristes de l’ex GSPC ont été abattu au lieu dit « Pont noir » ou « Tiqentart Taverkant », qui se situe à mi chemin entre Drâa Ben Khedda et Boghni.
Après identification, il s’est avéré que l’un des terroristes abattu est le numéro deux des groupes terroriste islamiste connu sous le pseudo de « Fassila ». Ce terroriste originaire de la région de Dellys, plus exactement de Sidi Daoud est le cerveau et l’exécuteur des derniers attentats organisé depuis le 11 avril dernier à Alger, jusqu’à ceux ayant ciblé Bouteflika et les casernes de Dellys et de Tubiret.
Dans leur nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme, dont l’opération est baptisée « Seif El Hadjadj » par Bouteflika lui-même, les forces de l’armée, en plus des ratissages et des barrages fixes, déploient des unités spéciales à travers les différents points de passages des terroristes. Ces unités de paras installent des points de contrôle très mobiles et surprend souvent les terroristes, comme c’était le cas de l’opération de Boghni à travers laquelle le principal chef terroriste a été abattu.
Depuis samedi dernier une vaste opération de ratissage a été lancée dans les régions de Ouaguenoun et de Boudjima. Cette région qui constitue l’un des derniers passages stratégiques pour les terroristes est passée au peigne fin par les troupes spéciales de l’armée.
A noter que Ouaguenoun, véritable no man’s land, et sa proximité de plusieurs maquis, l’exemple de Mizrana, Sidi Ali Bounab, Asif Sébaou etc , en fait une base arrière pour les groupes terroristes. Cette opération de ratissage a été étendue jusqu’à Boudjima et Makouda. En pleine nuit, des hélicoptères de l’armée survolaient les maquis limitrophes. D’ailleurs durant la nuit de lundi aux environs de 22 heures, trois terroristes ont été éliminé au lieu dit Zaouïa dans la vallée de Sébaou se situant entre Makouda et Redjaouna.
A Tigzirt, et ce durant la même nuit, c’est la roulotte servant de lieu de stationnement de la gendarmerie durant l’été à la plage Tassalast qui a été ciblée. Bien que cette roulotte ait été vide de ses occupants, elle a été dynamitée par les groupes terroristes. A travers cela, ils veulent certainement transmettre un message d’avertissement aux forces de l’ordre stationnées dans la région.
Durant la journée de lundi, ce sont deux bombes qui ont explosé à Boumerdès. Elles ont provoqué des morts et des blesses parmi les militaires.
De la Kabylie
Il ne se passe pas un jour sans que l’on ne signale un acte terroriste à travers la Kabylie.
Durant la nuit de dimanche dernier, à Boghni un groupe de trois dangereux terroristes de l’ex GSPC ont été abattu au lieu dit « Pont noir » ou « Tiqentart Taverkant », qui se situe à mi chemin entre Drâa Ben Khedda et Boghni.
Après identification, il s’est avéré que l’un des terroristes abattu est le numéro deux des groupes terroriste islamiste connu sous le pseudo de « Fassila ». Ce terroriste originaire de la région de Dellys, plus exactement de Sidi Daoud est le cerveau et l’exécuteur des derniers attentats organisé depuis le 11 avril dernier à Alger, jusqu’à ceux ayant ciblé Bouteflika et les casernes de Dellys et de Tubiret.
Dans leur nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme, dont l’opération est baptisée « Seif El Hadjadj » par Bouteflika lui-même, les forces de l’armée, en plus des ratissages et des barrages fixes, déploient des unités spéciales à travers les différents points de passages des terroristes. Ces unités de paras installent des points de contrôle très mobiles et surprend souvent les terroristes, comme c’était le cas de l’opération de Boghni à travers laquelle le principal chef terroriste a été abattu.
Depuis samedi dernier une vaste opération de ratissage a été lancée dans les régions de Ouaguenoun et de Boudjima. Cette région qui constitue l’un des derniers passages stratégiques pour les terroristes est passée au peigne fin par les troupes spéciales de l’armée.
A noter que Ouaguenoun, véritable no man’s land, et sa proximité de plusieurs maquis, l’exemple de Mizrana, Sidi Ali Bounab, Asif Sébaou etc , en fait une base arrière pour les groupes terroristes. Cette opération de ratissage a été étendue jusqu’à Boudjima et Makouda. En pleine nuit, des hélicoptères de l’armée survolaient les maquis limitrophes. D’ailleurs durant la nuit de lundi aux environs de 22 heures, trois terroristes ont été éliminé au lieu dit Zaouïa dans la vallée de Sébaou se situant entre Makouda et Redjaouna.
A Tigzirt, et ce durant la même nuit, c’est la roulotte servant de lieu de stationnement de la gendarmerie durant l’été à la plage Tassalast qui a été ciblée. Bien que cette roulotte ait été vide de ses occupants, elle a été dynamitée par les groupes terroristes. A travers cela, ils veulent certainement transmettre un message d’avertissement aux forces de l’ordre stationnées dans la région.
Durant la journée de lundi, ce sont deux bombes qui ont explosé à Boumerdès. Elles ont provoqué des morts et des blesses parmi les militaires.
De la Kabylie
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