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Les femmes qui ont eu des enfants pourraient risquer moins de développer un cancer du sein grâce à des cellules foetales qui prennent résidence dans le corps de la mère (principe du chimérisme) et qui ont un effet protecteur, affirme une étude menée par le centre de recherche contre le cancer de l'Université de l'État de Washington à Seattle.
L'étude a montré que 14 % des femmes qui ont eu un cancer du sein avaient de l'ADN masculin dans le sang contre 43 % des femmes qui n'avaient pas de cancer.
«Tant de femmes sont porteuses d'un microchimérisme après la naissance que je me suis demandé pourquoi la nature avait ainsi fait les choses», a expliqué l'auteur principal de l'étude, V. K. Gadi. «Peut-être est-ce exactement pour débarrasser le corps des cellules cancéreuses.
L'autre possibilité est que (le chimérisme) peut participer à la reconstitution de tissus», a-t-il indiqué. L'étude a été publiée dans la livraison d'octobre de Cancer Research.
- AFP
L'étude a montré que 14 % des femmes qui ont eu un cancer du sein avaient de l'ADN masculin dans le sang contre 43 % des femmes qui n'avaient pas de cancer.
«Tant de femmes sont porteuses d'un microchimérisme après la naissance que je me suis demandé pourquoi la nature avait ainsi fait les choses», a expliqué l'auteur principal de l'étude, V. K. Gadi. «Peut-être est-ce exactement pour débarrasser le corps des cellules cancéreuses.
L'autre possibilité est que (le chimérisme) peut participer à la reconstitution de tissus», a-t-il indiqué. L'étude a été publiée dans la livraison d'octobre de Cancer Research.
- AFP