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Chakib Khelil a inauguré hier le complexe de traitement du gaz naturel et condensat de Tiguentourine, à 40 km de In Amenas dans la wilaya d’Illizi, dont la capacité de production est de 9 milliards de m3/an.
Le ministre, qui était accompagné d’une importante délégation de son secteur et de représentants de l’association Sonatrach-British Pétrolieum (BP) et la compagnie norvégienne Statoil, a inspecté ce projet en phase de production et de traitement de gaz naturel.
Selon l’APS qui cite le ministre, l’enveloppe globale de ce projet est de 72 milliards de dinars (1 MD$), avec une capacité de production de 9 milliards de m3/an. D’après M. Khelil, les recettes devant être générées par ce projet qui permettra d’augmenter le volume des exportations gazières algériennes vers le marché européen sont estimées à 2 milliards de dollars par an.
Les capacités de production de ce projet sont de 30 millions de m3/j pour le gaz naturel, de 24,2 millions de m3/j pour le gaz sec, de 4 500 tonnes/j pour le condensat et de 3 500 tonnes/j pour le GPL. Le ministre a également pris connaissance des moyens de transport par pipeline du gaz naturel et du condensat produit, ainsi que des capacités de production prévues par les partenaires de ce projet, notamment pour le traitement du gaz naturel.
Après avoir félicité les partenaires qui ont participé à la concrétisation de ce méga-projet gazier ainsi que les entreprises ayant contribué à sa réalisation, M. Khelil a appelé les représentants des sociétés partenaires à redoubler d’efforts pour atteindre les objectifs prévus par ce projet qui va hisser l’Algérie à un rang supérieur dans le tableau des pays producteurs de gaz. La réalisation de ce projet, qui a accusé un retard de six mois, dû au changement du site (sol inadéquat), a généré près de 5 000 emplois, dont 400 permanents.
Le ministre, qui était accompagné d’une importante délégation de son secteur et de représentants de l’association Sonatrach-British Pétrolieum (BP) et la compagnie norvégienne Statoil, a inspecté ce projet en phase de production et de traitement de gaz naturel.
Selon l’APS qui cite le ministre, l’enveloppe globale de ce projet est de 72 milliards de dinars (1 MD$), avec une capacité de production de 9 milliards de m3/an. D’après M. Khelil, les recettes devant être générées par ce projet qui permettra d’augmenter le volume des exportations gazières algériennes vers le marché européen sont estimées à 2 milliards de dollars par an.
Les capacités de production de ce projet sont de 30 millions de m3/j pour le gaz naturel, de 24,2 millions de m3/j pour le gaz sec, de 4 500 tonnes/j pour le condensat et de 3 500 tonnes/j pour le GPL. Le ministre a également pris connaissance des moyens de transport par pipeline du gaz naturel et du condensat produit, ainsi que des capacités de production prévues par les partenaires de ce projet, notamment pour le traitement du gaz naturel.
Après avoir félicité les partenaires qui ont participé à la concrétisation de ce méga-projet gazier ainsi que les entreprises ayant contribué à sa réalisation, M. Khelil a appelé les représentants des sociétés partenaires à redoubler d’efforts pour atteindre les objectifs prévus par ce projet qui va hisser l’Algérie à un rang supérieur dans le tableau des pays producteurs de gaz. La réalisation de ce projet, qui a accusé un retard de six mois, dû au changement du site (sol inadéquat), a généré près de 5 000 emplois, dont 400 permanents.
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