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Le lobby des concessionnaires automobiles passe à l'action.
Le texte de loi régissant le marché de l’automobile en Algérie sera bientôt adopté.
C’est ce qu’a indiqué hier l’Association de concessionnaires algériens d’automobiles (Acaa) dans un point de presse tenu en marge de l’inauguration du SIVI. Selon le président de l’association, le projet de loi est actuellement en cours d’élaboration au niveau du ministère du Commerce qui a installé une commission mixte à laquelle l’association a pris part pour présenter ses propositions concernant les réglementations devant régir le marché de l’automobile en Algérie. A la question de savoir quelles sont les mesures proposées par l’association pour empêcher l’entrée sur le marché algérien des véhicules ne répondant pas aux normes internationales, les responsables de l’Acaa ont indiqué qu’il est du ressort des pouvoirs publics d’exiger de telles mesures en empêchant, à travers les services d’homologation, l’importation de véhicules (en provenance d’Asie notamment) qui ne répondent pas aux normes ISO ou Euro. Il est à rappeler que l’association s’est constituée dans le but de contribuer à l’élaboration d’un code de déontologie pour mettre de l’ordre dans le marché de l’importation des véhicules dont l’opacité semble avoir encouragé les pratiques douteuses dans les transactions commerciales. Pour ce qui est des pièces de rechange, l’association a indiqué qu’un début de lutte contre les pièces contrefaites se fait actuellement au niveau des douanes grâce à une collaboration étroite avec les constructeurs et les concessionnaires. Mais de l’avis des professionnels, il s’agit surtout de sensibiliser les consommateurs sur le danger que représente l’utilisation des pièces de rechange de contrefaçon, « même si celles-ci coûtent moins cher que les pièces d’origine ».
L.M. El watan
C’est ce qu’a indiqué hier l’Association de concessionnaires algériens d’automobiles (Acaa) dans un point de presse tenu en marge de l’inauguration du SIVI. Selon le président de l’association, le projet de loi est actuellement en cours d’élaboration au niveau du ministère du Commerce qui a installé une commission mixte à laquelle l’association a pris part pour présenter ses propositions concernant les réglementations devant régir le marché de l’automobile en Algérie. A la question de savoir quelles sont les mesures proposées par l’association pour empêcher l’entrée sur le marché algérien des véhicules ne répondant pas aux normes internationales, les responsables de l’Acaa ont indiqué qu’il est du ressort des pouvoirs publics d’exiger de telles mesures en empêchant, à travers les services d’homologation, l’importation de véhicules (en provenance d’Asie notamment) qui ne répondent pas aux normes ISO ou Euro. Il est à rappeler que l’association s’est constituée dans le but de contribuer à l’élaboration d’un code de déontologie pour mettre de l’ordre dans le marché de l’importation des véhicules dont l’opacité semble avoir encouragé les pratiques douteuses dans les transactions commerciales. Pour ce qui est des pièces de rechange, l’association a indiqué qu’un début de lutte contre les pièces contrefaites se fait actuellement au niveau des douanes grâce à une collaboration étroite avec les constructeurs et les concessionnaires. Mais de l’avis des professionnels, il s’agit surtout de sensibiliser les consommateurs sur le danger que représente l’utilisation des pièces de rechange de contrefaçon, « même si celles-ci coûtent moins cher que les pièces d’origine ».
L.M. El watan