• Le premier Conseil de gouvernement accorde 50 % du budget aux secteurs sociaux
La priorité à la poursuite des chantiers déjà entamés et à la consolidation des acquis
La moitié du budget aux secteurs sociaux dans le but de combattre la pauvreté, la précarité et l'exclusion.
Le projet de loi prévoit, selon le porte-parole du gouvernement, de
1. Créer 16.000 postes d'emploi par an,
2. Augmenter l'investissement de 37 % et
3. Contenir le déficit budgétaire dans 3 %
tout en poursuivant la réalisation des grands chantiers. De plus, le souci d'améliorer les conditions de vie dans le monde rural et les services de santé et de l'éducation sera pris en compte dans cette loi.
Autres chantiers prioritaires, selon Abbas El Fassi, la lutte contre toute sorte de discrimination et d'extrémisme, la mise à niveau de l'économie nationale, la promotion de l'emploi et « l'adoption de nouvelles politiques énergétiques, agricoles et hydriques qui prennent en considération le développement territorial urbain et rural ».
Les secteurs sociaux ne seront pas en reste selon le responsable gouvernemental, qui a précisé qu'une attention particulière sera accordée à la réforme du système de l'éducation et de l'enseignement, à la poursuite de la mobilisation autour de l'INDH, au renforcement du pouvoir d'achat des citoyens et à l'amélioration des services de santé.
Abdelwahed Rmiche | LE MATIN
La priorité à la poursuite des chantiers déjà entamés et à la consolidation des acquis
La moitié du budget aux secteurs sociaux dans le but de combattre la pauvreté, la précarité et l'exclusion.
Le projet de loi prévoit, selon le porte-parole du gouvernement, de
1. Créer 16.000 postes d'emploi par an,
2. Augmenter l'investissement de 37 % et
3. Contenir le déficit budgétaire dans 3 %
tout en poursuivant la réalisation des grands chantiers. De plus, le souci d'améliorer les conditions de vie dans le monde rural et les services de santé et de l'éducation sera pris en compte dans cette loi.
Autres chantiers prioritaires, selon Abbas El Fassi, la lutte contre toute sorte de discrimination et d'extrémisme, la mise à niveau de l'économie nationale, la promotion de l'emploi et « l'adoption de nouvelles politiques énergétiques, agricoles et hydriques qui prennent en considération le développement territorial urbain et rural ».
Les secteurs sociaux ne seront pas en reste selon le responsable gouvernemental, qui a précisé qu'une attention particulière sera accordée à la réforme du système de l'éducation et de l'enseignement, à la poursuite de la mobilisation autour de l'INDH, au renforcement du pouvoir d'achat des citoyens et à l'amélioration des services de santé.
Abdelwahed Rmiche | LE MATIN
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